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Le brillant essai Sans images ni paroles,Spinoza face à la révélation, de Gilles Hanus, permet de mieux cerner le rôle que Spinoza a joué dans l’interprétation des textes sacrés, notamment de l’Écriture et de la loi. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
C'est son nouvel éditeur, qui m'a convié à une soirée spécialement consacrée à cet écrivain "hors-normes", à l'Hôtel de ville de Paris. Organisée par l'Association des amis d'Yves Navarre, j'ai eu le plaisir de recevoir ce premier tome des œuvres complètes de l'écrivain. Heureux d'assister à cette soirée, c'est avec une vive délectation que je me suis plongé dans cet ouvrage, redécouvrant avec joie des textes d'Yves Navarre, lus très jeune, et écrits dans les années 70, par cet auteur beaucoup trop oublié à mon goût aujourd'hui. Cette publication qui n’aurait d'ailleurs pas été possible, sans le courage de l’éditeur Henri Dhellemmes, ni sans son audace et sa ténacité, puisque cette noble ambition doit normalement le mener sur de nombreuses années afin de réussir cette entreprise gigantesque mais salutaire pour la littérature et pour l’édition, ainsi que pour l’auteur, injustement enfermé dans l’enfer des bibliothèques depuis bien trop longtemps. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Toute l’œuvre de Georges Perros enfin réunie dans un gros volume de la collection « Quarto », composé des œuvres publiées du vivant de l’écrivain français, augmenté de la totalité des textes parus en revue, ainsi qu’un choix de textes inédits, non parus et retrouvés dans des carnets jadis égarés, sous la direction du traducteur et écrivain Thierry Gillyboeuf.
Je me souviens nettement de ma première lecture de ce roman ahurissant ; j’avais alors dix-huit ans, j’étais un fan absolu des écrivains de la Beat Generation, notamment Jack Kerouac, Charles Bukowski, et Henry Miller, et, alors que Demande à la poussière ne m’avait pas totalement convaincu, Mon chien Stupide fut une véritable révélation, un moment éblouissant et inoubliable. C’est donc, avec une certaine appréhension, que je rouvris le livre, presque trente ans plus tard.
Le roman autobiographique Just Kids de Patti Smith sorti en 2010 et devenu culte depuis, ressort chez Gallimard augmenté de 60 photographies, dont les Polaroids de Robert Mapplethorpe. Aussi, après ce livre culte, probablement son chef-d’œuvre, l’icône du rock nous gratifie d'une longue méditation mélancolique et poétique en dix-huit stations de métro, ayant récemment obtenu le Grand Prix héroïne Madame Figaro. Compte-rendu... Ces chronique ont paru dans la revue en ligne Boojum. Elles sont désormais en accès libre dans l'Ouvroir.