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auschwitz

  • Primo Levi, écrire après Auschwitz

    Primo Levi est un écrivain italien, qui nous a légué un livre pour les futures générations, en 1947, intitulé Si c’est un homme. Si ce livre est rapidement devenu un ouvrage de référence pour les historiens. Il est avant tout un des témoignages fondamentaux en ce qui concerne le « génocide hitlérien » et le « système concentrationnaire ». Lorsqu’on lit ce livre, on est avant tout frappé par tous les enjeux autobiographiques que l’on y trouve : témoignage, hommage, jugement, tous les enjeux historiques et éthiques de l’écriture autobiographique revêtant une importance toute particulière se retrouve dans ce texte, au point de nous laisser penser qu’un moyen de lutter contre l’horreur des camps, serait peut-être l’écriture. Peut-être même est-ce le seul en définitive ? Voici une petite méditation, que je propose en accès libre dans l'Ouvroir

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  • L’amour après Auschwitz ? (Marceline Loridan-Ivens)

    Au cœur de l’intime, Marceline Loridan-Ivens ouvre les valises de l’amour, et les souvenirs du passé, des camps, pour en traquer les fantômes, et tenter de guérir l’inguérissable, les blessures de l’âme. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Etty Hillesum, derrière les barbelés la grâce

    Le journal d’Etty Hillesum est un journal bouleversé, bouleversant, qui laisse à son lecteur une trace sans aucune commune mesure. Laissé inachevé au moment de sa déportation, Olympia Alberti imagine ce qu’Etty aurait pu écrire durant ces quelques mois derrière les barbelés. Cette chronique est parue dans le Grand Genève Magazine, numéro 4, d'avril 2015. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Claude Lanzmann, Mémoires du XXe siècle

    On retiendra de Claude Lanzmann le prodigieux documentaire Shoah. Ressusciter, dans un film de six heures, l’une des plus grandes tragédies du XXe siècle. Cet homme de la mémoire, dont la force et la patience de revenir sur un passé profondément douloureux fut salué à l'unanimité, voulut prolonger ce travail rétroactif. Assumer l’entreprise de grande ampleur que représente le témoignage puissant qui nous dit notre siècle, bardé de tragédies, d’horreurs, mais également d’un sens indéniable de la liberté. Un livre de mémoires aux confins du XXe siècle. Cet article est paru dans le numéro 28 du Magazine des Livres, en janvier 2011. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • L’angoisse de l’homme libre ou l’absence de Dieu dans la philosophie de Sartre

    L’angoisse sartrienne nous engage dans une épreuve. Pour Sartre, cette épreuve est celle de la liberté, dont le sentiment d’angoisse est le révélateur. L’angoisse est, en elle-même, chez Sartre, à l’origine d’une remise en question de soi. Certes, l’angoisse sartrienne n’a rien à nous dévoiler par elle-même. Pour Sartre, la question phénoménologique de l’angoisse se concentre précisément sur cette question de la liberté humaine qui, engageant également une disposition permanente, ne déclenche jamais à proprement parler un ébranlement – c’est-à-dire une crise –, mais est l’expression d’une appréhension à affronter ses possibilités. La « vraie vie », nous dit Sartre, n’est pas ailleurs, elle est dans la conscience, elle est dans notre rapport aux autres ; elle est dans cette liberté inconditionnée que l’on reçoit en héritage dès notre arrivée au monde. Il convient sur ce point d’élucider cette interprétation phénoménologique de l’angoisse. Cet article est tiré d'une allocution prononcée à Cornillon le 13 juillet 2011 lors d'un colloque organisé sur Dieu par le philosophe André Villani. Paru dans les Carnets de la Philosophie, numéro 17, de juin 2011, il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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