L’année 2020 aura amené son lot de croyances obligatoires, et, l’usage du terme de « complotisme » par l’orthodoxie de la bien-pensance n’aura jamais fait autant recette. De quoi se pencher sur un livre datant du 1er trimestre 2019, qui nous parle d’une notion importante dans cette grande mascarade contemporaine, interdisant formellement le doute (qu’il soit cartésien ou sceptique) et l’esprit critique (pourtant cher à nos Lumières allemandes du 18e siècle !), celle de la force de l’imaginaire.
Le progressisme à tête de linotte
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Michel Maffesoli, Contre l’orthodoxie de la bien-pensance
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Diafoirus à la Maison blanche
Depuis maintenant plusieurs semaines, on s'excite sur les réseaux, on se félicite de la victoire de Biden, alors que d'autres dansèrent dans les rues de New York ou Los Angeles sur des airs de "déjà-vu" à chaque élection d'un pseudo-libérateur de rien du tout.
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Doit-on craindre le transhumanisme ? Du transhumain à la transhumance
En cette période de pandémie mondiale, dans laquelle tous les gouvernements de la planète ont préféré faire passer la santé avant l'économie, ce qui est à ce jour inédit dans l'histoire du capitalisme, la vraie question qui se pose, c’est celle du transhumanisme. Le transhumanisme est-il un humanisme ? On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs délires transhumanistes : le désir d’éternité, donc abolir la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ?