Depuis maintenant plusieurs semaines, on s'excite sur les réseaux, on se félicite de la victoire de Biden, alors que d'autres dansèrent dans les rues de New York ou Los Angeles sur des airs de "déjà-vu" à chaque élection d'un pseudo-libérateur de rien du tout.
Le progressisme à tête de linotte
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Diafoirus à la Maison blanche
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Doit-on craindre le transhumanisme ? Du transhumain à la transhumance
En cette période de pandémie mondiale, dans laquelle tous les gouvernements de la planète ont préféré faire passer la santé avant l'économie, ce qui est à ce jour inédit dans l'histoire du capitalisme, la vraie question qui se pose, c’est celle du transhumanisme. Le transhumanisme est-il un humanisme ? On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs délires transhumanistes : le désir d’éternité, donc abolir la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ?
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La crise de l’éducation selon Hannah Arendt
Hier une amie, tout fraîchement agrégée d’anglais, démarre dans son nouveau bahut et m’écrit le soir même le mail suivant : « De mon côté, je suis ravie d'être dans mon petit collège du Cannet... avec mes petits 6èmes... j'essaie d'être ludique et ça me rappelle beaucoup mon expérience de lectrice aux E.U. » Eh oui, les États-Unis sont le laboratoire (de catastrophe générale ?) qui a inspiré nos nouveaux pédagogues.