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Plus qu'une défaite, c'est une déconfiture, un camouflet pour Macron que ces résultats du second tour des législatives. Le roi est-il vraiment nu cependant ? Ma nouvelle tribune dans Entreprendre. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Ancien conseiller de Gorbatchev, Christian Mégrelis a vécu la chute de l’URSS, qu’il analyse dans un ouvrage Le naufrage de l’Union soviétique (Transcontinental d’éditions, 2020). Dans un long entretien nous revenons ensemble sur l’effondrement de l’Union soviétique, qui aura marqué l’histoire de la fin du XXe siècle, et il propose une analyse la stratégie de Vladimir Poutine, qui a envahi l’Ukraine, le 24 février 2021. Cette tribune est parue dans le site de la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Tout le monde connait les méthodes de l'extrême-gauche : faire taire l'adversaire par tous les moyens, dissoudre le peuple s'il pense mal, entendez s'il ne pense pas comme « l'extreume-gôche ! » Aymeric Caron vient de nous en donner une nouvelle preuve magistrale. Ma tribune parue dans le site de la revue Entreprendre. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Jeu de Nupes, jeu de dupes. Nous vivons une époque étrange et dangereuse. La percée de cette gauche idéologique et dogmatique face à la droite la plus bête du monde, fait craindre l’accouchement de l’immonde. Voici ma tribune inspirée de ces temps d’urgence absolue et parue dans la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Dominique Motte est suisse par sa mère et français par son père. Durant de nombreuses années dans les affaires, avant d’être consultant, il rachète l’IFOP en 1988. Homme de terrain et d'engagements, sa connaissance du monde des affaires et des enjeux législatifs lui ont inspiré des milliers de notes afin d’établir et réfléchir au meilleur modèle démocratique. Serait-il français ? Américain ? En réalité non, le seul exemple qui l’emporte à ses yeux et l’exemple suisse. De la démocratie en Suisse (La Route de la soie, 2021) est un ouvrage qui se présente comme un dictionnaire et qui nous instruit sur un modèle démocratique que la France serait bien inspirée de copier... Je l’ai rencontré dans un restaurant du XIVe arrondissement de Paris. Il en est ressorti cet entretien qui est paru dans Boojum. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Aux États-Unis, le droit à l’avortement est menacé, et déjà, dans les rangs des Démocrates, on crie à la « régression », à la remise en cause des « droits individuels », au scandale. Qu'en est-il réellement ? Peut-on se satisfaire d'un droit autorisant l'IVG, parce que ce droit est dit « émancipateur » pour les femmes, sans revenir sur quelques points fondamentaux, afin de se questionner sur ce changement de paradigme et d'en vérifier la pertinence et la légitimité ? Le droit à l'avortement n'est-il pas un abus juridique et moral ? C'est à toutes ces questions que cette tribune tente d'esquisser un commencement de réponse. Elle a été écrite à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans le site de la revue Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Cet article a d'abord été une allocution que j'ai prononcée à Spa, en Belgique, le jeudi 24 février 2022. Le Spa Waux-Hall Club m'a invité à un Dinner Business Meeting, afin d'y débattre de la vraie rencontre, qui ne se nourrit ni du désir, ni de l'utilité, ni du plaisir mais de l'attention portée à l'autre en tant qu'il est un autre moi - c'est-à-dire une fragilité et un infini. Voici désormais cette allocution en accès libre dans l'Ouvroir.
Jean-Baptiste Giraud est un journaliste spécialisé dans l’économie. Pendant un temps, présentateur de la matinale sur BFM (1995-2003). Aujourd’hui, intervenant régulier sur les plateaux de CNews, ce fondateur du journal gratuit l’Économie matin en 2004, a réalisé un livre édifiant, avec la collaboration de Jacques Bichot, économiste, professeur des universités, membre honoraire du Conseil économique et social, dans lequel ils montrent que la France n’est pas bien loin de l’effondrement général. Proche de la paralysie, de l’engorgement économique, de l’ensauvagement. Grâce à ce document fouillé, argumenté, on comprend que les urgences de notre pays devront être prises en compte par les candidats aux élections présidentielles de 2022. J’ai eu l’occasion de rencontrer ce journaliste et romancier. Je remercie David Serra, fondateur et directeur des éditions Ring, et Loïc di Stefano, responsable d’édition, d’avoir favorisé cette rencontre. Cet entretien est paru dans Boojum. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Le 24 février 2022, à 5 heures du matin, les premières balles tirées par l'armée russe en Ukraine ont définitivement déchiré le rideau de la fin de l'histoire, et cette thèse du philosophe américain Francis Fukuyama, tirée d'un essai du même nom, publié en 1992 et identifié comme l'un des essais les plus importants de la fin du xxe siècle, a définitivement vacillé au point de laisser place à un tout nouveau paradigme. Inspiré par les thèses d'Alexandre Kojève sur la « fin de l'histoire », Francis Fukuyama pensait que la fin de la guerre froide marquait la victoire idéologique de la démocratie et du libéralisme (concept de démocratie libérale) sur les autres idéologies politiques, suite notamment à la chute du Mur, la dislocation du bloc de l'Est qui allaient entraîner d'importants troubles. Si pourtant, la fin de l'Histoire ne signifiait pas, selon Fukuyama, l'absence de conflits, mais plutôt la suprématie absolue et définitive de l'idéal de la démocratie libérale, lequel ne constituerait pas seulement l'horizon indépassable de notre temps mais se réaliserait effectivement en éliminant tout risque de nouvelles guerres en Europe, de l'ampleur des guerres de 14-18 ou de 39-45, l'idée même d'une 3ème guerre mondiale devenait impensable. Pourtant, la Russie de Poutine, et son offensive en Ukraine, commencée le 24 février 2022, signa un tournant historique, qui a forcé l'histoire à reprendre manu militari du service. Ma tribune dans l'Ouvroir.
Roland Jaccard, auteur de plusieurs journaux et essais, dont La tentation nihiliste (PUF), bien connu pour son goût pour les lolitas et les jeunes asiatiques, publie son Journal du Monde d'avant, chez Serge Safran (2021), qui traite des années 83 à 88, du siècle dernier, et d'un monde ancien et aujourd'hui disparu. Je lui ai proposé un entretien pour un dossier spécial sur les journaux intimes des écrivains dans le numéro 36 de la revue Livr'arbitres, ce qu'il a aussitôt accepté. Suite à son suicide, le 20 septembre 2021, cet entretien qu'il a eu la gentillesse de réaliser avec moi, devient par conséquent, son dernier et ultime entretien. En accès libre dans l'Ouvroir.
Le titre du pavé de Roland Jaccard, paru chez Serge Safran, Le Monde d’avant, renvoie forcément, en guise de référence hypertextuelle, au Monde d’hier de Stephan Zweig. Ce Monde d’avant là, est celui d’un monde que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, celui des années 80, des années Mitterrand, de la libération des mœurs, de la liberté d’expression ; c’est le Monde (journal dirigé par Jacques Fauvet puis André Fontaine à l’époque) d’un monde qui se défaisait peu à peu d’une morale trop rigide, plombée. C’était un monde qui avait un avenir et un horizon. Tout l’inverse d’aujourd’hui en somme ! Cette recension est parue dans le n°36 de Livr'arbitres. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Avocat, intervenant régulier sur la chaîne CNews, notamment dans l’émission de Pascal Praud, Gilles-William Goldnadel, auteur entre autres du Nouveau bréviaire de la haine (Ramsay, 2001) et de Réflexions sur la question blanche, (éditions Jean-Claude Gawsewitch, 2011), revient sur une grande question de notre temps : les antifascistes ont-ils changé de camp ? Sont-ils toujours les garants de la paix et de la concorde et peuvent-ils toujours prétendre incarner le barrage entre la haine de l’autre et le vivre-ensemble ? Cette recension est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
La courte autobiographie intellectuelle d’Alain Finkielkraut, joliment intitulée À la première personne, parue chez Gallimard, en 2019 (Folio, 2021), est dédiée à l’écrivain franco-tchèque Milan Kundera. Et, l’on sait combien l’auteur de L’insoutenable légèreté de l’être est un immense écrivain, et combien il est suspect pour un certain politiquement correct de notre époque, continuellement en guerre avec l’académicien également, coupable pour la bien-pensance, de prises de position intolérables. Souvenons-nous de ce manifestant, lors d’un défilé des Gilets jaunes, keffieh palestinien à carreaux noir et blanc autour du cou, scandant à l’écrivain qui sortait de chez lui : « Finkie, tu es un haineux ! » Souvenons-nous de cette émission où Alain Finkielkraut, interviewé au bord du canal Saint Martin, est interpelé par un passant qui lui hurle : « Finkie, jette-toi ! » Tant d’hostilité, tant de brutalité dans les débats contemporains peuvent largement choquer ou interpeler. Or, qu’en est-il de ce réactionnaire ? Jadis, classé à gauche, cet intellectuel français est progressivement passé à droite, jusqu’à être qualifié aujourd’hui de penseur d’extrême droite. À cette accusation, à cette fascisation de sa pensée, à cette nazification parfois même, Alain Finkielkraut a décidé de répondre par un livre. Sans faux-fuyants, sans complaisance, et en écrivant à la première personne. Cette recension est d'abord parue dans le numéro 37 de Livr'arbitres, en mars 2022. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le 17 novembre 2021, le pronom « iel » entre dans Le Robert. Ce pronom définit une personne ne se reconnaissant pas dans un genre binaire, crée alors la polémique, d'autant que, jusque-là, un dictionnaire reprenait un mot que l'on trouvait dans le langage courant, alors que dans ce cas précis, Le Robert semble souscrire tout simplement à l'idéologie. Or, si certaines voient dans l'écriture inclusive une « ressource linguistique disponible » (je pense à Julie Neveux entre autres, voir Je parle comme je suis, Grasset, 2020), reconnaissons qu'elle est surtout une grande menace pour notre langue, sa cohérence et sa compréhension. Cette tribune est parue dans le site de la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Dans un ouvrage intitulé sobrement Promenades (Herscher, 2021), l’ancien président de la République, autant adulé qu’honnis, fait paraître une courte méditation sur l’identité de la France, environ 70 pages, à travers laquelle il nous raconte les chefs d’œuvres de l’art et de la littérature française, qui l’ont particulièrement marqué et inspiré. S’éloignant progressivement de la politique, ou feignant de s’en éloigner, Nicolas Sarkozy nous montre une autre facette de l’ancien chef d’État, même s’il ne l’a pas tout à fait incarné durant son mandat (2007-2012), et qui devrait personnifier tout président de la République, autrement dit celle que revêt la figure de l’amateur d’art, du passionné de littérature, ce qui est, soit dit en passant, nous dit-il à raison, une expression même de l’identité française. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Dans son immense solitude, Céline est toujours vivant. Céline, toujours là auprès de nous, vivant, malgré la plus touchante bêtise de quelques-uns, lui reprochant son œuvre, lui reprochant le coup de grâce porté à l’idée de la littérature, à l’homme, à la meute. Céline réformateur ? Céline styliste ? Céline inventeur d’une langue morte ? Céline chroniqueur ? Cet article est paru dans le numéro 33 de Livr'Arbitres, du mois d'avril 2021. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
À quelques semaines de la présidentielle de 2022, l'ancien directeur de LCI et du réseau des radios régionales France Bleu, intervenant régulier à CNEWS, Éric Revel, une des grandes figures du journalisme en France, sonne le tocsin, et nous prévient dans un essai bref, mais brillant, Fenêtre de tir (Ring, 2021), que cette élection doit être une élection sous le signe du retour de l’ordre et de l’autorité, sans quoi, ce sera l’effondrement. Le risque que court alors la France ce sera d'aller à l'abîme. Essai à la fois vif et alarmiste, le journaliste n'hésite pas à aborder toutes les grandes problématiques sociétales qui menacent notre pays, notamment l'autorité bafouée, l'explosion de la violence, la tabou de l'immigration, la cancel culture et la contestation par l'ultragauche des forces de l'ordre, critiquées depuis des années, sans compter l'idéologie écologiste. Son pessimisme mêlé à ses analyses rappelle les thèses d’Éric Zemmour. Jamais désabusé, il reste un observateur de la vie politique française et fait le constat qu’il ne manque qu’une chose pour que la France reprenne le chemin d’elle-même. Une chose qu’il développe dans son essai, comme un pamphlet contre les temps de wokisme et de dénis qui sont les nôtres. Et cette chose, si simple mais si attaquée aussi, c’est l’autorité. Celle du Pater familias qui a constitué pendant des siècles le socle de notre civilisation. Mais surtout celle qui fait défaut aux gouvernants, celle, naturelle, et pour laquelle on peut vouloir s’engager : celle du chef. J’ai eu l’occasion de rencontrer ce journaliste et romancier. Je remercie David Serra, fondateur et directeur des éditions Ring, et Loïc di Stefano, responsable d’édition, d’avoir favorisé cette rencontre. Cet entretien est paru dans Boojum. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
On ne parle plus beaucoup de ce réalisateur polonais très controversé, Andrzej Zulawski, depuis sa disparition en 2016, ni de ses films révélant un univers cérébral, cruel et chaotique dans lequel les sentiments se rencontrent dans une splendide mise à nu de la matière humaine. Cherche-t-on désormais à brûler ce cinéma d’auteur à la fois singulier, exigeant, onirique, expressionniste, violent, en marge du politiquement correct ? Cette chronique est parue dans le numéro 35 de Livr'arbitres, en septembre 2021. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
1984 est un roman philosophique et d’anticipation écrit par George Orwell et publié en 1949. L’action se situe dans un monde totalitaire où les idéologies ont triomphé de l’individu. La ferme des animaux, publié en 1945, raconte, un jour de juin, en Angleterre, une révolte des animaux. Deux classiques de la littérature anglaise, qui racontent le système soviétique et totalitaire communiste de Joseph Staline, mais aussi, une société, à la lecture de ces deux œuvres éclairantes, assez proche de la nôtre. Deux romans pour notre temps, écrits par un écrivain populaire, éducateur des masses. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le 13 novembre 2015, des attentats de très grande ampleur frappent la France. Six ans plus tard, jour pour jour, nous fêtons ce triste anniversaire, alors que le procès-fleuve de ce terrible attentat islamiste bat son plein au tribunal de Paris. Aux éditions Le Sémaphore, Daniel Monforte nous offre une fiction L'ennemi intérieur, inspirée de ce terrible drame français, où les protagonistes, deux familles, l'une chrétienne et l'autre musulmane, dialoguent et ensemble recherchent la vérité, frappées de plein fouet par le choc de ce terrible événement. J'ai eu l'occasion de rencontrer l'auteur, par l'entremise de son éditeur, Jean-Charles Lonne. Voici le compte-rendu de cet entretien d'abord paru dans la revue en ligne Boojum. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.