Depuis maintenant plusieurs semaines, on s'excite sur les réseaux, on se félicite de la victoire de Biden, alors que d'autres dansèrent dans les rues de New York ou Los Angeles sur des airs de "déjà-vu" à chaque élection d'un pseudo-libérateur de rien du tout.
Politique
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Diafoirus à la Maison blanche
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Gloire aux vaincus !
Disons-le : Joe l’endormi, le gaffeur, l'insider, dont les 47 années passées chez les Démocrates en font un vieux briscard de la politique, a bénéficié d’un « ras-le-bol » irrationnel de la part d’une partie de l’électorat américain, à cause du matraquage des mass media, - ce qui montre à la fois leur nocivité et leur importance dans ce vote démocratique, au point de nous laisser croire que la médiacratie a remplacé la démocratie. Mais bon, ceci est entendu depuis déjà 30 ans !
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Doit-on craindre le transhumanisme ? Du transhumain à la transhumance
En cette période de pandémie mondiale, dans laquelle tous les gouvernements de la planète ont préféré faire passer la santé avant l'économie, ce qui est à ce jour inédit dans l'histoire du capitalisme, la vraie question qui se pose, c’est celle du transhumanisme. Le transhumanisme est-il un humanisme ? On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs délires transhumanistes : le désir d’éternité, donc abolir la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ?