Maryline Desbiolles nous raconte Zouc
Qui était donc cette « femme massive, tout en noir, sans maquillage, sans mèche affriolante, les cheveux tirés et la robe noire comme une paysanne » ? C’était Zouc. Quatre lettres. Un visage. Une personnalité. Un show. Une stature. Cette recension est parue dans le Magazine des livres, numéro 25, de juillet 2010. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.