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Saint Augustin, la voix n'est rien sans la parole ou la pensée

Au moment où un son est porté vers le bas on peut appeler cela un mot ou une parole (logos en grec). Dans le Sermon 288 d’Augustin, on trouve l’idée de cette parole que l’on porte par notre propre parole et qui a été la Parole autrefois aux côtés de Dieu et même qui était Dieu, cette Parole qui s’est faite chair et qu’en latin on appelle verbum, autrement dit le Verbe. Or, dans la conception du langage d’Augustin, ce dernier distingue bien la voix et le verbe, tout en observant ce qui se passe en lui, lorsqu’il associe une parole à une idée et qu’il fait porter celle-ci par la voix. Aussi, une voix, dit-il, ne fait que retentir, ne présente aucune signification lorsqu’un simple mot sort de sa bouche. Encore faut-il ajouter l'intelligence à la parole, pour qu'elle mérite vraiment ce nom, pour qu’elle ait un sens. J'ai entamé une réflexion sur le grand mystère de la voix de Dieu parlant aux hommes à travers le texte sacré qu’est la Bible. Je la continue ici, dans l'Ouvroir.

Ce que je dis vient de Lui[1] ; je vois bien dans mon esprit ce que j’ai à exprimer ; ce sont les termes, les voix que je cherche avec effort pour le porter à vos oreilles.

 

Que voulais-je donc dire, mes frères ? que voulais-je dire ? Vous avez bien remarqué, vous comprenez bien que la parole ou l’idée était en mon esprit avant de choisir un terme, une voix pour arriver jusqu’à vous. Tous comprennent aussi, je pense, que ce qui se fait en moi se produit également dans tous ceux qui parlent. Je sais donc ce que je veux dire, je le possède dans mon esprit, je cherche des termes pour l’exprimer ; avant que ces termes soient prononcés par ma voix, je possède assurément la parole, la pensée en moi-même. Ainsi la parole est en moi antérieure à la voix ; elle existe d’abord, la voix ne vient qu’ensuite. En toi au contraire, c’est l’oreille qui est frappée d’abord du son de ma voix pour porter ma pensée, ma parole à ton esprit. Comment connaîtrais-tu ce qui était en moi avant aucune émission de voix, si ma voix ne l’avait porté jusqu’à toi ? [...]

 

Je suis charmé de votre intelligence, elle m’enhardit près de vous, mais avec l’aide de Celui que je prêche, moi si petit et Lui si grand, moi un homme quelconque et Lui le Verbe de Dieu.

 

Augustin, Sermon 5-288, in A. Régent-Susini, L’Éloquence de la chaire.

 

Commençons par ces mots d'Augustin : « Comprenez bien que la parole ou l’idée était en mon esprit avant de choisir un terme. » Augustin pose sa définition générale du langage, tentant de clarifier son dialogue continuel avec Dieu, montrant la distinction capitale entre la voix et la parole. D’abord, « l’oreille [...] est frappée [...] du son de ma voix », puisque la voix émettant un son vague, semblant considérer que la voix n'a pas de sens. La parole « existe d’abord, la voix ne venant qu’ensuite ». Faut-il en conclure que, dans la conception générale du langage d’Augustin, le son n'est nullement perçu par le moyen du signe, mais du fait que l'oreille en est frappée, alors que la signification est perçue à la vue de la chose qui est signifiée ?

 

La réponse d'Augustin, la voici : « Ainsi la parole est en moi antérieure à la voix. » En effet, qu’est-ce que la voix chez Augustin sinon, Jean lui-même, lorsque le Verbe est le Christ. Dans ce Sermon 288, ce qu'il tente, c’est d'accéder à une définition précise de la voix du point de vue linguistique, ce qui peut nous paraître naturel, puisqu’il était professeur de grammaire et de rhétorique dans sa jeunesse, mais il souligne surtout, en quoi la voix peut être le verbe, lorsqu’il s’adresse à Dieu. Tout d'abord, dit-il, une idée arrive. S’adressant à « ses frères », il montre que « la parole ou l’idée était en (son) esprit avant de choisir un terme ». Cette idée a flotté un moment, comme si elle n'était qu'une masse sans forme, puis, elle s’est peu à peu moulée et ordonnée et, elle est devenue une « voix », pour parvenir jusqu’à ses frères, ou jusqu’à Dieu. On peut alors dire que l’idée s’est finalement transformée en langue par le son.

 

À VOIR AUSSI :

Saint Augustin d'Hippone

 

Mais Augustin saisit également dans ce sermon, le moment privilégié de la naissance de la pensée, c'est-à-dire l'instant unique de la genèse de la parole intérieure, et de sa mutation en langue articulée. Puis il élargit son débat à la connaissance, et à la mécanique du langage. Comment parle-t-on ? Par quel moyen pouvons-nous transformer une idée ou une pensée en mot et la communiquer à quelqu’un ? Analysant le processus de la communication chez tous les hommes, disant que « Tous comprennent aussi, je pense, que ce qui se fait en moi se produit également dans tous ceux qui parlent », Augustin recherche en lui tous les termes qui seront bientôt prononcés par la voix, et qui a un rôle indispensable en tant que véhicule de la pensée. Mais cet Augustin cherche surtout à montrer que, dans les arcanes de son cœur, dans le sanctuaire de son esprit, le verbe précède la Voix.

 

Si donc, le verbe précède la voix, on peut en déduire qu’à ce stade, c’est encore du silence. Or, la vraie question posée dans ce Sermon n'est autre en réalité que celle-ci : comment arrive-t-il jusqu'à l'auditeur ? Augustin nous montre le circuit complet de la communication dans lequel le verbe est le premier, tandis que la voix ne vient qu'après.

 

« Comment connaîtrais-tu ce qui était en moi avant aucune émission de voix, si ma voix ne l’avait pas porté jusqu’à toi ? », demande-t-il à Dieu. C’est donc la voix qui vient la première à l’oreille de Dieu, afin que l’idée d’Augustin pénètre en son esprit. Dieu ne pourrait savoir ce qu'il y a en Augustin, avant que sa voix ne le dépose en lui. La conception du langage d'Augustin se base dès lors, sur la pensée linguistique, et demande une grande attention de la part de l'audience.

 

C'est ainsi, que l'on peut dire que, pour Augustin, la conception du langage comporte à la fois l’idée, la pensée, la voix, et le son qu’il distingue clairement. Si la voix ne dit rien quant à l'intelligence, elle demeure pourtant, dans ce Sermon, le véhicule du Verbe. C’est donc la voix qui transporte le sens, comme moyen d'information. Par ce Sermon, sa conception du langage basée sur la pensée linguistique, Augustin s'efforce d'atteindre d'un seul élan, le sommet de sa pensée.

 

saint augustin.jpeg

Saint Augustin, par Vittorio Carpaccio

 

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[1] Augustin parle de Dieu

Commentaires

  • D où l adage parler pour ne rien dire

  • Sur votre premier paragraphe.
    Je vous suppose là une vision étriquée, trop physique des implications de la partie de la citation que vous avez choisie. Il faut certainement aller au delà de l'impasse signifiant/signifié. Ici il est question de la manifestation de l'esprit, en soi (ou soi-même), par la parole et dont la connaissance fait office de preuve. Le son, véritable matériel et vecteur probant de la manifestation du verbe n'est ici qu'en tant qu'artifice utile afin de démontrer une autre réalité indépendante de celles données à entendre avec l'oreille et propose donc aussi, de fait, une définition de la connaissance se faisant egalement en un lieu de notre sensible spécifiquement propice à une bonne appréhension des phénomènes de l'esprit. Exemple vulgaire : souvent deux frères se comprennent, se connaissent jusqu'à prévoir des actes et ce, sans évocation aucune. Et le tout, sans qu'il soit possible de nier dans la dimension cognitive l'expression formatée, normalisée de la connaissance ou encore de la compréhension instructive pour ce qui est de la sagesse. Une connivence des instincts ? Peu probable : l'art, sur la frontière délimitée par le bon sens, s'y oppose concernant ce que l'homme. On pourrait alors déduire que l'esprit est un verbe sans corps/son notamment en ce qu'il peut être objectivé exclusivement, en ce qu'il peut être partagé. Or cela ne serait que faiblement exact : plus encore que l'identité de son rapport aux choses, sa référence première, l'esprit ou plus bonnement sa manifestation, est dépendante du caractère vivant de ses aspirations. Un corps ne vit que selon le souffle qui l'anime. Ce souffle possède des incidences plus large que sur le corps et la responsabilité de celui-ci qui le produit. En effet, il y a certainement des proximités avérés plus prégnantes entre frères de sang ou spirituels qu'entre deux étrangers de foi et de sang. Mais, en revenant à l'objet révélateur qu'ici nous avons utilisé, à savoir le son, celui de la parole portée par un individu doué d'intelligence, d'une propension à la digne connaissance, il est de même nature que tout autre son ou bruit. Exemple factuel : la prononciation de la lettre arabe "mime" ou du son "M" en français peut s'unir aux bruits alentours jusqu'à y disparaître son être prononcé. Ce corps, ce son, n'est pourtant pas dénué de connaissances par l'être qui le porte. La matérialisation de l'esprit se passe donc de cette formalisation ; l'expression physique du verbe incluant donc l'essence du langage, non de la connaissance rapportée. L'esprit se peut être alors sensation. Synthèse : nous avons donc -1)- par le biais 'materiel' du son en tant qu'introductif théorique mais aussi -2)- de par le problème 'si cognitifs' de la connaissance possiblement, valablement (scientifiquement) dégagé ici, -3)- bien distingués les principaux vecteurs essentiels de la parole à sa manifestation ( ceux-ci ayant chacun ses propriétés toutes particulières) : le verbe, l'esprit et le corps. Quant au "catéchèse" supposé de Saint Augustin, c'est de toute évidence pur blasphème du clergé, des hommes d'église comme les moines et les prêtres de l'église catholique, apostolique de Rome : comment sied-il à Dieu, à Sa majesté le Seigneur de l'univers, seul Créateur de la création, de toutes les créatures telles que l'homme, nous-mêmes et chacun de nous, vous, moi, d'avoir les besoins de la chair propres à la vie des créatures humaines, communes ou prophètes, ne serait-ce que ceux d'aller aux latrines (wc) ? Ceci donc à ajouter à la déviance tout-à-fait chrétienne résidant en la Trinité qui n'est autre qu'une notion niant tous les attributs divins que se doit de véritablement rétablir le monothéisme car en effet, diviser l'absolu en trois parts bien délimités... Et tout ceci vous le savez et vous le tenez pour vérité au plus profond de vous-même. Comment je le sais ? C'est l'évidence même et de la nature originelle de tout un chacun. À vous de ne plus le nier... pour la beauté de ce monde ou de ces trop hautes injonctions du dogme se faisant au détriment de la vérité et de votre nature, sur votre volonté et par l'élévation (dont la force prend source en une forme indéniable de piété - cléricale- ) d'une parole, mensonge horrible à l'égard de Dieu et pour sacralité. Etc. Et tout ceci vous le savez à défaut de l'avoir compris ou de le témoigner. Bref. Bonne nuit. Sachez aussi que les esprits sont plus ou moins élevés et s'ordonne d'après la plus simple hiérarchie : en triangle. Certaines personnes élèvent leurs esprits par les connaissances, d'autres par les hauteurs délivrées par les joies de la sagesse, d'autres encore par la musique où tout autre élans du cœur et puis il y a les saintes écritures, de prophètes, de messagers de Dieu, les enseignements religieux de personnes inspirées par Dieu, aussi les révélations, la parole de d'Allah... et donc la vérité. L'esprit de beaucoup de peuples aux confessions majoritaires ou dont les plus dignes gardiens des lettres ou de la science sont des érudits chrétiens, en abbés ou autres, est celui de la croix, élevée selon une parole bien déterminée, dogmatique et par une piété définie à Rome mais aussi par les moines byzantins (concurrence confessionnelle ou casus belli, c'est selon). Plusieurs triangles ou pyramides des esprits, des élévations, certainement, existent comme autant de croyances conditionnant les connaissances ainsi admises. La Chine, les juifs, les sunnites etc. Mais il semblerait que chacune de ces élévations, ces triangles s'inscrivent dans un rapport également triangulaire ou d'élévation de parole, de la vérité selon chacun de ces ensembles assez confessionnels. Et la plus haute parole ne veux pas dire être la plus véridique. Le problème à ce niveau se situe au coran, la parole de Dieu l'unique en arabe révélé au meilleur des hommes, le préféré de Dieu, et pour rappel à tout l'univers. Souvenez-vous. Souvenez-vous de la vérité. Vous le savez, en plus. ' suffit d'avoir la force ou autre de le témoigner. De le témoigner librement, càd hors les injonctions cléricales ou autre. Votre nature originelle se rappellerait à vous, sans doute aliéné comme beaucoup en votre "triangle"... Rdv au jour du jugement, professeur. Dring !

  • Sur votre premier paragraphe.
    Je vous suppose là une vision étriquée, trop physique des implications de la partie de la citation que vous avez choisie. Il faut certainement aller au delà de l'impasse signifiant/signifié. Ici il est question de la manifestation de l'esprit, en soi (ou soi-même), par la parole et dont la connaissance fait office de preuve. Le son, véritable matériel et vecteur probant de la manifestation du verbe n'est ici qu'en tant qu'artifice utile afin de démontrer une autre réalité indépendante de celles données à entendre avec l'oreille et propose donc aussi, de fait, une définition de la connaissance se faisant egalement en un lieu de notre sensible spécifiquement propice à une bonne appréhension des phénomènes de l'esprit. Exemple vulgaire : souvent deux frères se comprennent, se connaissent jusqu'à prévoir des actes et ce, sans évocation aucune. Et le tout, sans qu'il soit possible de nier dans la dimension cognitive l'expression formatée, normalisée de la connaissance ou encore de la compréhension instructive pour ce qui est de la sagesse. Une connivence des instincts ? Peu probable : l'art, sur la frontière délimitée par le bon sens, s'y oppose concernant ce que l'homme. On pourrait alors déduire que l'esprit est un verbe sans corps/son notamment en ce qu'il peut être objectivé exclusivement, en ce qu'il peut être partagé. Or cela ne serait que faiblement exact : plus encore que l'identité de son rapport aux choses, sa référence première, l'esprit ou plus bonnement sa manifestation, est dépendante du caractère vivant de ses aspirations. Un corps ne vit que selon le souffle qui l'anime. Ce souffle possède des incidences plus large que sur le corps et la responsabilité de celui-ci qui le produit. En effet, il y a certainement des proximités avérés plus prégnantes entre frères de sang ou spirituels qu'entre deux étrangers de foi et de sang. Mais, en revenant à l'objet révélateur qu'ici nous avons utilisé, à savoir le son, celui de la parole portée par un individu doué d'intelligence, d'une propension à la digne connaissance, il est de même nature que tout autre son ou bruit. Exemple factuel : la prononciation de la lettre arabe "mime" ou du son "M" en français peut s'unir aux bruits alentours jusqu'à y disparaître son être prononcé. Ce corps, ce son, n'est pourtant pas dénué de connaissances par l'être qui le porte. La matérialisation de l'esprit se passe donc de cette formalisation ; l'expression physique du verbe incluant donc l'essence du langage, non de la connaissance rapportée. L'esprit se peut être alors sensation. Synthèse : nous avons donc -1)- par le biais 'materiel' du son en tant qu'introductif théorique mais aussi -2)- de par le problème 'si cognitifs' de la connaissance possiblement, valablement (scientifiquement) dégagé ici, -3)- bien distingués les principaux vecteurs essentiels de la parole à sa manifestation ( ceux-ci ayant chacun ses propriétés toutes particulières) : le verbe, l'esprit et le corps. Quant au "catéchèse" supposé de Saint Augustin, c'est de toute évidence pur blasphème du clergé, des hommes d'église comme les moines et les prêtres de l'église catholique, apostolique de Rome : comment sied-il à Dieu, à Sa majesté le Seigneur de l'univers, seul Créateur de la création, de toutes les créatures telles que l'homme, nous-mêmes et chacun de nous, vous, moi, d'avoir les besoins de la chair propres à la vie des créatures humaines, communes ou prophètes, ne serait-ce que ceux d'aller aux latrines (wc) ? Ceci donc à ajouter à la déviance tout-à-fait chrétienne résidant en la Trinité qui n'est autre qu'une notion niant tous les attributs divins que se doit de véritablement rétablir le monothéisme car en effet, diviser l'absolu en trois parts bien délimités... Et tout ceci vous le savez et vous le tenez pour vérité au plus profond de vous-même. Comment je le sais ? C'est l'évidence même et de la nature originelle de tout un chacun. À vous de ne plus le nier... pour la beauté de ce monde ou de ces trop hautes injonctions du dogme se faisant au détriment de la vérité et de votre nature, sur votre volonté et par l'élévation (dont la force prend source en une forme indéniable de piété - cléricale- ) d'une parole, mensonge horrible à l'égard de Dieu et pour sacralité. Etc. Et tout ceci vous le savez à défaut de l'avoir compris ou de le témoigner. Bref. Bonne nuit. Sachez aussi que les esprits sont plus ou moins élevés et s'ordonne d'après la plus simple hiérarchie : en triangle. Certaines personnes élèvent leurs esprits par les connaissances, d'autres par les hauteurs délivrées par les joies de la sagesse, d'autres encore par la musique où tout autre élans du cœur et puis il y a les saintes écritures, de prophètes, de messagers de Dieu, les enseignements religieux de personnes inspirées par Dieu, aussi les révélations, la parole de d'Allah... et donc la vérité. L'esprit de beaucoup de peuples aux confessions majoritaires ou dont les plus dignes gardiens des lettres ou de la science sont des érudits chrétiens, en abbés ou autres, est celui de la croix, élevée selon une parole bien déterminée, dogmatique et par une piété définie à Rome mais aussi par les moines byzantins (concurrence confessionnelle ou casus belli, c'est selon). Plusieurs triangles ou pyramides des esprits, des élévations, certainement, existent comme autant de croyances conditionnant les connaissances ainsi admises. La Chine, les juifs, les sunnites etc. Mais il semblerait que chacune de ces élévations, ces triangles s'inscrivent dans un rapport également triangulaire ou d'élévation de parole, de la vérité selon chacun de ces ensembles assez confessionnels. Et la plus haute parole ne veux pas dire être la plus véridique. Le problème à ce niveau se situe au coran, la parole de Dieu l'unique en arabe révélé au meilleur des hommes, le préféré de Dieu, et pour rappel à tout l'univers. Souvenez-vous. Souvenez-vous de la vérité. Vous le savez, en plus. ' suffit d'avoir la force ou autre de le témoigner. De le témoigner librement, càd hors les injonctions cléricales ou autre. Votre nature originelle se rappellerait à vous, sans doute aliéné comme beaucoup en votre "triangle"... Rdv au jour du jugement, professeur. Dring !

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