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C’est le quarantième anniversaire de la mort de Michel Foucault. L’occasion pour l’écrivain Vincent Petitet de faire la lumière sur l’œuvre et la pensée d'un des grands intellectuels de la deuxième moitié du XXème siècle en 50 pages. Mon compte-rendu paru dans Le Contemporain.
Hélios Azoulay est un ami de trente ans. Mais il est aussi musicien, compositeur et écrivain. Son dernier roman est un délice de facéties et d'intelligence. J'ai réalisé une recension pour la revue Livr'arbitres.
Désormais, « presque » tout le monde sait qu’Emmanuel Kant, le grand philosophe allemand du XVIIIe siècle, a écrit une Critique de la raison pure (1781), une Critique de la raison pratique (1788) et une Critique de la Faculté de Juger (1790). Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans le site du magazine Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Nathan Devers est philosophe et écrivain. Il est l'auteur de quelques romans et d'un essai autobiographique Penser contre soi-même (Albin Michel - Prix Cazes 2024) qui m'a interpelé. Décryptage pour la revue Le Contemporain.
Le mouvement Woke met en place des enjeux idéologiques, dont le but premier est de déconstruire l’histoire et la culture occidentale, dite « trop blanche ». Cettre tribune a été écrite à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Elle est parue dans le site du magazine Entreprendre. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le destin de la littérature sera-t-il bouleversé par l'arrivée des I.A. ? Houellebecq en a déjà fait les frais. Cette tribune a paru dans Le Contemporain.
Nous sommes peut-être à l’aube de la Troisième Guerre mondiale. Tous les indicateurs sont au rouge. On accuse même Macron dans les rangs de l’opposition de vouloir que la France entre en guerre avec la Russie. Après le thème de la consommation et du bien-être, celui de la mondialisation heureuse, celui de la paix perpétuelle entre les peuples, peut-être sommes-nous en train de faire face désormais à deux nouveaux thèmes pour le monde : dla guerre et le mal ? C’était donc l’occasion de réfléchir à la littérature et le Mal, avec Dana Ziyasheva qui a un parcours hors-norme. Née au Kazakhstan, où elle a passé toute sa jeunesse, elle a connu l’Union soviétique, a ensuite été journaliste dans des zones sensibles puis diplomate à l’UNESCO. Cela l’a amenée à vivre en Corée du Nord, en Irak et en Amérique centrale. Aujourd’hui, Dana Ziyasheva est basée à Los Angeles. Elle y écrit et corrige des scénarios pour les géants du cinéma et les grandes plateformes de vidéo à la demande. Rencontre.
« Un livre qui [nous] rendra ivre de le lire » ; ainsi Emmanuel Jaffelin présente-t-il le dernier ouvrage de Marc Alpozzo, Galaxie Houellebecq (et autres étoiles), dont il nous offre ici une « brève présentation ».
Robert Jacquot est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dans lesquels il développe une méditation personnelle sur les mondes visibles et invisibles. Dans ce nouveau chapitre, il ajoute à une œuvre unique, L'homme déshumanisé a la recherche de son cœur perdu (Éditions de La Bruyère, 2024). Ce à quoi l’on assiste aujourd’hui, c’est une remise en cause très profonde de l’humanité de l’homme par les IA, et de l’humanisme des Lumières par le transhumanisme. Ce fut l’occasion d’une rencontre et d’une longue causerie sur une possible déshumanisation d’un homme qui ne recherche pas le progrès mais son cœur perdu. Rencontre
Santiago Espinosa est un spécialiste de la philosophie de Clément Rosset. Philosophe lui-même et élaborant une oeuvre sur le tragique et le réel, il a publié en 2024 un nouvel ouvrage Le savoir tragique.
Le hasard fait bien les choses. Je relisais le premier et sublime roman de Marien Defalvard lorsque j'ai été informé d'un étrange fait-divers à son endroit. L'occasion de m'en faire l'écho tout en le mêlant à sa littérature.
Il n’est pas facile de rencontrer Sylvain Tesson. J’ai bien essayé. Mais à peine avait-il foulé le sol français qu’il était déjà reparti. Sylvain Tesson, c’est l’auteur du Petit traité sur l’immensité du monde (L’équateur), Dans les forêts de la Sibérie (Gallimard) ou encore Géographie de l’instant (Pocket). L’homme n’est pas simplement un voyageur, c’est un marcheur, un nomade, un évadé du monde des hommes.
Mon ami, le philosophe Daniel Salvatore Schiffer m'a gentiment adressé son nouveau livre Rockisme contre wokisme (Editions Erick Bonnier). À peine reçu, je l'ai lu d'une traitre. C'est non seulement un excellent essai, mais aussi un livre très intelligent qui met en relation le rock et le woke, comme base référentielle de nos deux générations, celle issue du XXe et celle issue du XXIe siècle. Cela m'a donné l'occasion de rédiger une tribune, sous forme de manifeste anti-woke, qui a été publiée dans la revue Le Contemporain.
Dans le contexte tendu actuel, l’écrivain Gilles Cosson vient de faire paraître La Russie de demain à la lumière de son histoire littéraire qui n’est rien de moins qu’une courte mais dense réflexion dont l’objet est de tracer et de définir une voie originale à la solution d’un problème de toujours, celui des rapports de la Russie avec l’Occident. C’était alors l’occasion de prolonger la réflexion par un long dialogue. Cet entretien a paru dans la revue en ligne Le Contemporain.
Lorsqu’on est la petite-fille d’un grand écrivain de romans noirs, l’excellent Thomas Narcejac, du duo Boileau-Narcejac, il arrive que l’on ait dans le sang le don et le talent de ce grand-père. C’est le cas d’Hélène Rumer qui signe un roman noir à caractère psychologique, Mortelle petite annonce. Rencontre.
Est-il possible d’écrire et de publier aujourd’hui, un roman qui se veut une ode au plaisir sensuel, une ode au plaisir de la liberté, à travers le personnage d’une femme libre, et qui ose ? C’est du moins le pari de Bernard Méaulle, ancien patron de presse, qui sort ces jours-ci son deuxième roman, Un si brûlant secret (La route de la soie, 2023). Il raconte l’histoire ébouriffante d’une croqueuse d’hommes qui marchande avec le ciel. Son parcours mystico-érotique, brisant les codes et tabous de la bien-pensance de notre époque, vaporise à haute dose un parfum de féminin qui met à terre les vapeurs toxiques du néoféminisme. Rencontre... Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre,et dans le n°30 de Question de Philo de juin 2023. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Alexandre Arditti est un curieux personnage. Journaliste et éditeur de presse dans les loisirs et le voyage, il publie ces jours-ci son second roman, un polar moderne, qui récupère les méthodes du genre pour les subvertir et donné une critique sociale sans concession sur notre monde moderne ainsi que sur l'héritage des figures dont notre époque s’inspire largement. Rencontre.
La musique classique serait trop blanche sur Radio Classique pour la radio d’État France Culture. Elle serait même, disons-le, la production d’une culture musicale « blanche » et de bon ton. Faudra-t-il canceler la musique classique, comme il faudra un jour, selon ces redresseurs de torts payés avec l’argent de nos impôts, brûler les romans classiques, les recueils de poésies, les chansonniers d’avant, etc. ? Pour ne pas sombrer dans cette nouvelle forme de nihilisme, continuons de célébrer notre culture, et pourquoi ne pas en plus mélanger les genres. C’est le pari de Jean-François Charles, compositeur français vivant aux États-Unis, faisant paraitre l’album Missa brevis Abbaye de Thélème, qui est un album inclusif, mêlant le texte, la musique, le silence et la contemplation, avec la voix d’Anika Kildegaard, qui chante Baudelaire, Rabelais, Rimbaud, Verlaine, François Villon, un peu comme un disque hors du temps, ou à contretemps, inactuel, loin des modes et des dogmes de l’époque. Rencontre.