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La morale de Thomas Morales est d'un autre temps. Ses passions aussi ! L'auteur français aime la province, la culture populaire et la nostalgie. De quoi être à contretemps ! Son livre Tendre est la province m'a été porté récemment. J'en ai tiré une brève recension pour Livr'arbitres.
Thomas Morales, cet hussard moderne, héritier d'un sentiment de nostalgie inaltérable nous revient avec un livre sur les boites des bouquinistes et plein de souvenirs. Une recension qui a paru dans Livr'arbitres.
Depuis déjà de longues années, Christopher Gérard tient un journal de bord de ses lectures, qui sont pour le moins éclectique, et on ne peut que l’en féliciter. Depuis déjà des décennies, la gauche culturelle a verrouillé le débat littéraire en imposant ses codes, ses règles de morale et ses thèmes. La littérature étant devenue le champ de bataille des chapelles idéologiques, avec ses bons et ses mauvais samaritains, les romans que l’on doit absolument lire et ceux qui ne méritent que censure et quolibets. C’était d’ailleurs le sujet de son précédent ouvrage Quolibets paru en 2013, et réédité par les éditions La Nouvelle Librairie, augmenté du double des textes. Parmi les nobles voyageurs, comme aime les appeler l’auteur de ce beau livre, on trouve surtout des parias et des exilés de la littérature française, – que quelques libraires préfèrent appeler « francophone » pour paraître plus « inclusifs ». Bien sûr, les lectures de Christopher Gérard ne s’en tiennent pas à l’hexagone, et sa culture littéraire, plurielle et ouverte sur l’autre, mêle des textes de catégories bien différentes. Ce sont donc des voix singulières, qui honorent les lettres et les idées, qui sont plurielles et souvent indisciplinées, loin des romans de pacotille, souvent idéologiques, souvent moralistes que notre siècle produit à présent, comme si la littérature n’avait jamais été dissidente, révoltée, subversive. Il est à noter qu’au pays des Woke, ces indignés permanents qui font de leur éveil à la discrimination un commerce lucratif et un prétexte à l’élimination systématique, ce carnet de notes paraît exhaler une fraîcheur particulière : celle de la liberté ! Cet entretien m'a été demandé par la revue Livr'arbitres. Il est paru dans le n°45. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Thomas Morales est une voix importante dans le paysage français. Auteurs de livres remarqués, notamment Éloge de la voiture. Défense d’une espèce en voie de disparition et Un été chez Max Pécas, signant par ailleurs des tribunes régulières dans Le Figaro, il revient avec un livre marquant, Monsieur Nostalgie (Héliopoles, 2023), sorte de requiem pour la France, sa langue, sa culture, son bon goût, son art de vivre. Tout autant un plaidoyer pour un pays rayonnant qu’un récit mélancolique face à ce qu’il est devenu, ce texte est à la fois brillant et subtil, et Thomas Morales, nous y livrant ses impressions, ses commentaires sur notre Patrie, nous révèle également son univers très particulier. La France, était-ce mieux avant ? Réponse dans cet entretien mené à bâtons rompus. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre.
Dominique Guiou m'a gentiment envoyé son premier roman, co-écrit avec son complice Thomas Morales. L'ayant dévoré en une matinée, au commencement de l'été, je me suis fendu d'une chronique, pour Boojum, et j'ai demandé aux deux auteurs facétieux, s'ils acceptaient de répondre à quelques questions. Voici donc le compte-rendu, en exclusivité dans l'Ouvroir.