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On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs délires transhumanistes, le désir d’éternité, donc l'abolition de la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ? Nous en avons discuté avec Jean-Pierre Noté, qui vient de sortir un roman fascinant sur le sujet. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Je l'ai montré dans un précédent article, le transhumanisme part visiblement d’une absence de valeurs transcendantes (autrement dit un problème de foi en l’âme et en Dieu), ce qui est peu compatible avec ce qu’est l’humanisme historique. Cette tribune est parue dans le site de la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
On note désormais une inquiétude nouvelle face aux progrès de la civilisation, même si certains s’alarment depuis au moins 50 ans. Ceci dit, la prise de conscience réelle est récente, et s’accélère depuis ces deux dernières décennies, faisant suite à une première dans la seconde moitié du XXe siècle. Cette tribune est parue dans le site du mensuel Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Nous vivons une époque de transition, entamant à la fois un nouveau siècle mais aussi un nouveau millénaire, les bouleversements nombreux, commencent déjà à se faire ressentir, et beaucoup se plaignent du chaos qui règne. De nombreux dangers nous attendent, des défis immenses, le défi climatique, la guerre à nos portes, la crise économique et énergétique, le terrorisme planétaire, à tel point qu’il nous semble que nous vivons un grand basculement. Devant les peurs bien compréhensibles, le politique ne peut pas tout. Il m’a semblé urgent, mais aussi pertinent de m’intéresser à une toute autre approche, une toute autre appréhension de cette période de gros temps. Nous pouvons bien sûr interroger les philosophes, mais pourquoi pas aussi les mystiques. Si Robert Jacquot ne se présente pas comme tel, il a déjà une œuvre, publiée chez La Bruyère, qui analyse le désordre mondial en cours, comme une forme de grand éveil planétaire et salutaire. La thèse est assez curieuse pour donner l’envie d’en savoir plus. J’ai donc rencontré cet écrivain, qui vient de publier Métamorphoses. Prémices d’un effondrement ou saut de conscience (La Bruyère, 2022) où il fait montre d’un regard d’une grande profondeur sur ce saut de conscience individuel et collectif, qui est une sorte de nouveau chemin, de nouvelle vie qui s’offre à l’homme, si ce dernier sait capter en lui la Lumière intérieure qui l’aidera à vivre avec son handicap irréversible, sa si grande fragilité, à condition de s’accepter. Écouter Robert Jacquot, et surtout le comprendre, demande avant tout que l’on décentre, au moins d’un millimètre, son regard habitué sur les choses du monde. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici un ouvrage qui mérite vraiment le détour : je ne sais pas si c’est une ouverture pour demain, mais c’est tout du moins, un livre pour le temps présent. C’est une somme, une Bible : l’intelligence, l’humanité, l’existence y sont abordées de manière moins étriquée que d’habitude. Ses deux auteurs m'ont accordé un entretien, et je jubile déjà de tout ce que je trouve de réponses à mes questionnements, courant sur ces 15 dernières années, à la fois dans leur merveilleux livre, et dans leurs réponses. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre, puis dans le numéro 28 de Question de philo du mois de décembre 2022. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.