« Messieurs les censeurs, bonjour ! » La fin de la liberté d’expression ?
Une nouvelle affaire de censure vient de tomber. Je m'en fais l'écho dans La Tribune juive.
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Une nouvelle affaire de censure vient de tomber. Je m'en fais l'écho dans La Tribune juive.
Désormais, « presque » tout le monde sait qu’Emmanuel Kant, le grand philosophe allemand du XVIIIe siècle, a écrit une Critique de la raison pure (1781), une Critique de la raison pratique (1788) et une Critique de la Faculté de Juger (1790). Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans le site du magazine Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le mouvement Woke met en place des enjeux idéologiques, dont le but premier est de déconstruire l’histoire et la culture occidentale, dite « trop blanche ». Cettre tribune a été écrite à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Elle est parue dans le site du magazine Entreprendre. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Mon ami, le philosophe Daniel Salvatore Schiffer m'a gentiment adressé son nouveau livre Rockisme contre wokisme (Editions Erick Bonnier). À peine reçu, je l'ai lu d'une traitre. C'est non seulement un excellent essai, mais aussi un livre très intelligent qui met en relation le rock et le woke, comme base référentielle de nos deux générations, celle issue du XXe et celle issue du XXIe siècle. Cela m'a donné l'occasion de rédiger une tribune, sous forme de manifeste anti-woke, qui a été publiée dans la revue Le Contemporain.
Alexandre Arditti est un curieux personnage. Journaliste et éditeur de presse dans les loisirs et le voyage, il publie ces jours-ci son second roman, un polar moderne, qui récupère les méthodes du genre pour les subvertir et donné une critique sociale sans concession sur notre monde moderne ainsi que sur l'héritage des figures dont notre époque s’inspire largement. Rencontre.
Je propose depuis aujourd'hui un recueil d’articles et d’entretiens qui regroupent vingt ans de publications dans diverses revues littéraires. Ce livre ne se présente nullement comme une analyse d’expert de l’œuvre de Michel Houellebecq. C’est plutôt un panorama subjectif et amoureux de la littérature. En mêlant de nombreuses voix, au-delà des clivages politiques et des diverses chapelles, l’objet de cet ouvrage est d’arpenter des univers aussi particuliers qu’uniques, avec l’ambition à peine voilée de réhabiliter l’écriture dans un seul objectif : questionner ses limites, tout en interrogeant le statut de l’écrivain de nos jours. En librairie le 10 mai 2024.
Un livre important sort ces jours-ci. Le titre est le suivant : L'humain au centre du monde. Pour un humanisme des temps présents et à venir. Ce collectif, dirigé par Daniel Salvatore Schiffer autour de 33 intellectuels majeurs, paraîtra ce 7 mars 2024 aux Éditions du Cerf. C’était donc l’occasion de rencontrer le directeur de ce collectif pour discuter de ce livre. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre.
L'écrivain et philosophe Rémi Soulié a fait paraître un livre sur Frédéric Mistral, célébrant un grand écrivain aujourd'hui oublié, par la presse littéraire mais aussi la majeure partie des professeurs de lettres. Frédéric Mistral, probablement parce qu'il a consacré sa vie et son œuvre à valoriser la culture de sa Provence natale, n’a plus l’écho qu’il mérite aujourd’hui, alors même qu’il était jadis considéré comme un des plus grands écrivains de son époque. On ne peut que saluer, donc, ce petit ouvrage qui respire la générosité et le goût des lettres. Il serait peut-être bon de noter également, que Mistral aura été le premier écrivain à recevoir le prix Nobel de littérature en 1904, pour une œuvre en langue régionale. Il est donc bon de le savoir ressuscité par un très beau livre paru aux Éditions de la Nouvelle librairie, et par une plume affûtée. Rencontre.
Un livre important sort ces jours-ci. Le titre est le suivant : L'humain au centre du monde. Pour un humanisme des temps présents et à venir. Ce collectif, dirigé par Daniel Salvatore Schiffer autour de 33 intellectuels majeurs, paraîtra ce 7 mars 2024 aux Editions du Cerf.
J’ai réalisé une tribune sur la fin (possible) de l’infotainment et de la propagande organisée par cette nouvelle forme de divertissement par le rire moqueur et les sarcasmes. Cette tribune est parue dans Entreprendre.
On entend dire dans la presse (on dira plutôt de gauche) que le wokisme est un humanisme. Je pense tout le contraire. Le wokisme est un péril, et sa révolution culturelle n’est pas une révolution morale, mais une purge culturelle de très grande ampleur. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme. Je le fais dans cette nouvelle tribune, poussé par une nouvelle actualité dans « l’affaire Sylvain Tesson », qui est parue dans Entreprendre. À lire et à partager. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Aujourd'hui, mercredi 14 février, un hommage national sera tenu à midi place Vendôme en l'honneur de l'ancien garde des Sceaux, homme de droit et avocat, Robert Badinter, qui nous a quitté le 9 février dernier. Grand homme, homme de l'abolition de la peine de mort, grand défenseur des droits et de l'état de droit, j'ai réalisé une tribune en hommage à cette personnalité politique de gauche, cette grande figure de l'histoire, ministre de la Justice et ami fidèle de François Mitterrand. Cette tribune sort simultanément dans le site du magazine Entreprendre et dans l'Ouvroir.
Allez, un peu de sang bien frais pour réjouir la meute : j’ai réalisé une courte tribune pour défendre le poète et écrivain voyageur Sylvain Tesson. Première salve à l’attention des petits roquets de la « cancel culture », enragés et despotiques, génération de petits procureurs en quête de coupables. Il serait temps que cette époque fasciste fasse son examen de conscience. Cette tribune est parue en doublon dans Entreprendre et le nouveau numéro de Journal de France (en kiosque).
« Le Journal de guerre » de Gilles-William Goldnadel : numéro 1 des ventes en France. Est-ce un hasard ? J’y réponds dans cette tribune parue dans Entreprendre. en accès libre désormais dans l'Ouvroir.
Le choix des mots n’est jamais un hasard. Lorsqu’Emmanuel Macron, pendant la crise sanitaire du Covid, fit plusieurs fois référence au mot « guerre », les choses semblèrent progressivement claires ; désormais, en employant le verbe « réarmer », on comprend que la conjuration de l’effondrement du pays devient un combat de tous les instants. Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre.
On ne trouve pas plus binaires que les wokistes : soyez des Élus de notre nouvel ordre moral, sinon vous serez les Damnés. Dernière cible en date : Gérard Depardieu. Condamné à un procès médiatique sans appel et une cabale populaire moyenâgeuse, suite au documentaire essentiellement à charge de « Complément d’enquête » (qui refuse de produire les images incriminées à ceux qui les demandent) on a assisté en direct à l’assassinat d’un homme et à la lâcheté et la haine des « commissaires aux mains propres », commissaires politiques qui confisquent systématiquement le débat au nom du Bien absolu (le leur !) et près à tout pour en découdre, refusant à l’acteur et icône déchue tout autre forme de procès que le tribunal médiatique et l’exécution publique. C’est dans ce contexte, et essentiellement dans ce contexte, que j’ai décidé de défendre Gerard Depardieu, par cette tribune parue dans le site du magazine Entreprendre et dans Journal de France, n°98, février 2024.
Qu'est-ce que la cause trans ? Cette tribune est parue dans la revue Entreprendre, puis dans le numéro 28 de Question de philo du mois de décembre 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Les personnes transgenres, autrefois considérées comme des travestis, ont longtemps été laissées dans l’ombre, même si des artistes ont essayé de les montrer, comme ces 200 clichés rassemblés et présentés par Sébastien Lifshitz dans une exposition à la Galerie du Jour, en 2016. Tous ces clichés présentaient des hommes et des femmes travestis, pris entre 1880 et 1980. Michel Foucault, en 1978, présentait un livre écrit par Abel B., né Herculine Barbin, le 8 novembre 1838 et mort en 1868, qui était une personne intersexe française assignée femme à la naissance. Elle avait été ensuite réassignée homme une vingtaine d'années plus tard après un examen médical. Michel Foucault commenta brillamment le texte de la première personne à voir son identité de genre modifiée à l’état civil en France. Cette tribune est parue dans la revue Entreprendre, puis dans le numéro 26 de Question de philo du mois de décembre 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
La question peut surprendre, surtout lorsqu’on sait que les médias nous l’ont « vendu » comme un philosophe. Si l’on écoutait d’ailleurs les commentateurs (courtisans) ce n’était pas moins que Platon qui passait la porte de l’Élysée, en 2017, sous prétexte que le jeune énarque élu, avait soutenu un mémoire de D.E.A. de philosophie, et qu’il avait aidé le phénoménologue Paul Ricœur, dans le travail de son dernier ouvrage, en lui récupérant les livres qui lui manquaient à la Bibliothèque nationale. Les journalistes ont toujours été très forts pour faire de la mayonnaise avec des œufs durs ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans la revue Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
On connait Descartes pour sa méthode et son rationalisme, on le connaît moins pour ses pérégrinations et ses errances. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.