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« Un livre qui [nous] rendra ivre de le lire » ; ainsi Emmanuel Jaffelin présente-t-il le dernier ouvrage de Marc Alpozzo, Galaxie Houellebecq (et autres étoiles), dont il nous offre ici une « brève présentation ».
Robert Jacquot est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dans lesquels il développe une méditation personnelle sur les mondes visibles et invisibles. Dans ce nouveau chapitre, il ajoute à une œuvre unique, L'homme déshumanisé a la recherche de son cœur perdu (Éditions de La Bruyère, 2024). Ce à quoi l’on assiste aujourd’hui, c’est une remise en cause très profonde de l’humanité de l’homme par les IA, et de l’humanisme des Lumières par le transhumanisme. Ce fut l’occasion d’une rencontre et d’une longue causerie sur une possible déshumanisation d’un homme qui ne recherche pas le progrès mais son cœur perdu. Rencontre
Mon ami, le philosophe Daniel Salvatore Schiffer m'a gentiment adressé son nouveau livre Rockisme contre wokisme (Editions Erick Bonnier). À peine reçu, je l'ai lu d'une traitre. C'est non seulement un excellent essai, mais aussi un livre très intelligent qui met en relation le rock et le woke, comme base référentielle de nos deux générations, celle issue du XXe et celle issue du XXIe siècle. Cela m'a donné l'occasion de rédiger une tribune, sous forme de manifeste anti-woke, qui a été publiée dans la revue Le Contemporain.
Est-il possible d’écrire et de publier aujourd’hui, un roman qui se veut une ode au plaisir sensuel, une ode au plaisir de la liberté, à travers le personnage d’une femme libre, et qui ose ? C’est du moins le pari de Bernard Méaulle, ancien patron de presse, qui sort ces jours-ci son deuxième roman, Un si brûlant secret (La route de la soie, 2023). Il raconte l’histoire ébouriffante d’une croqueuse d’hommes qui marchande avec le ciel. Son parcours mystico-érotique, brisant les codes et tabous de la bien-pensance de notre époque, vaporise à haute dose un parfum de féminin qui met à terre les vapeurs toxiques du néoféminisme. Rencontre... Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre,et dans le n°30 de Question de Philo de juin 2023. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Alexandre Arditti est un curieux personnage. Journaliste et éditeur de presse dans les loisirs et le voyage, il publie ces jours-ci son second roman, un polar moderne, qui récupère les méthodes du genre pour les subvertir et donné une critique sociale sans concession sur notre monde moderne ainsi que sur l'héritage des figures dont notre époque s’inspire largement. Rencontre.
Le 7 octobre 2023 restera gravé dans nos mémoires comme un des jours les plus tristes de notre existence. Marqué au fer rouge comme étant le retour des pogroms depuis 1945, Bernard-Henri Lévy y apporte une respiration, avec un livre d’une profonde amplitude, un message d’espoir, mais aussi un pamphlet dénonçant la grande mécanique des mensonges et des manipulations. Solitude d’Israël est une analyse sans concession des conséquences de cet événement sans nom, mais aussi une émouvante ode à l’Esprit du judaïsme et du sionisme. Cette tribune a été publiée pour la première fois dans le site du magazine Entreprendre.
Depuis Raymond Moody, et son Life after life (La vie après la vie), qui a été un succès planétaire dans la deuxième moitié des années 70, et où il recueillait depuis déjà vingt ans des témoignages de personnes affirmant avoir vécu une expérience de mort imminente, le thème des EMI (Expérience de Mort Imminente) n’a jamais faibli en popularité. En 2006, le Père François Brune publie, en deux tomes, un livre, Les morts nous parlent, qui demeure un classique du genre. L’ouvrage de Laurent Kasprowicz apporte une autre pierre à l’édifice. En publiant des témoignages sur des coups de fils venus de l’au-delà, l’auteur inscrit ses travaux dans la droite ligne de Scott Rogo et Raymond Bayless, dont le livre, Phone Calls From The Dead, a paru en 1979. Publiant chez Guy Trédaniel un ouvrage intitulé Des coups de fil de l'au-delà ? Enquête sur un incroyable phénomène paranormal, l’auteur reprend alors le thème des « coups de téléphone post-mortem ». Il y compile des témoignages d'appels téléphoniques provenant de proches décédés, afin de soulever une question essentielle pour l'humanité : sont-ils la preuve d'une après-vie ? Cet entretien s’inscrit dans une série qui a commencé avecMarie de Hennezel et le Dr Thierry Paul Millemann(publiés dans ce Blog), à propos de preuves ou suppositions apportées dans notre monde moderne et ultra-scientifique, d’une possibilité de vie après la vie. Ce troisième entretien ayant pour vocation de questionner sans préjuger cette délicate question aujourd’hui, et qui n’est rien de moins que le prolongement de croyances antiques, comme la transmigration des âmes chez Platon, n’a pas pour vocation de démontrer l’objectivité de ces allégations parapsychologiques, mais de se présenter comme une forme d’enquête métaphysique et morale. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre et dans Question de Philo.Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Un livre important sort ces jours-ci. Le titre est le suivant : L'humain au centre du monde. Pour un humanisme des temps présents et à venir. Ce collectif, dirigé par Daniel Salvatore Schiffer autour de 33 intellectuels majeurs, paraîtra ce 7 mars 2024 aux Éditions du Cerf. C’était donc l’occasion de rencontrer le directeur de ce collectif pour discuter de ce livre. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre.
Un livre important sort ces jours-ci. Le titre est le suivant : L'humain au centre du monde. Pour un humanisme des temps présents et à venir. Ce collectif, dirigé par Daniel Salvatore Schiffer autour de 33 intellectuels majeurs, paraîtra ce 7 mars 2024 aux Editions du Cerf.
Au lendemain des attaques terroristes et barbares menées par le Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, l’avocat et essayiste Gilles-William Goldnadel a commencé un journal de guerre pour témoigner de son indignation et de ses sentiments. C’est un document essentiel publié chez Fayard sous le titre Journal de Guerre. C’est l’Occident qu’on assassine, qui a rapidement atteint la tête des ventes, n°1 toutes catégories confondues sur Amazon. Aussi, dans un souci de clarté, et d’information, j’ai décidé de rencontrer l’auteur pour entendre, et faire entendre sa voix, sur ce sujet crucial, qui ne peut laisser personne indifférent. Cet entretien est paru dans le magazine Entreprendre de mars 2024.
Thomas Morales est une voix importante dans le paysage français. Auteurs de livres remarqués, notamment Éloge de la voiture. Défense d’une espèce en voie de disparition et Un été chez Max Pécas, signant par ailleurs des tribunes régulières dans Le Figaro, il revient avec un livre marquant, Monsieur Nostalgie (Héliopoles, 2023), sorte de requiem pour la France, sa langue, sa culture, son bon goût, son art de vivre. Tout autant un plaidoyer pour un pays rayonnant qu’un récit mélancolique face à ce qu’il est devenu, ce texte est à la fois brillant et subtil, et Thomas Morales, nous y livrant ses impressions, ses commentaires sur notre Patrie, nous révèle également son univers très particulier. La France, était-ce mieux avant ? Réponse dans cet entretien mené à bâtons rompus. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre.
Je note un défaut majeur chez nos contemporains : le pavlovisme ! En me faisant l’écho du livre de Romaric Sangars La dernière avant-garde. Le Christ ou le néant (Cerf, 2023), qu’ila eu la gentillesse de m’adresser à sa sortie, en citant sa thèse la plus importante et la plus essentielle pour un esprit qui réfléchit, et qui en se contente pas seulement d’aller bêler avec ses congénères suivistes (qui ne comprennent rien à leur propre pensée, pensée d’ailleurs qui ne pense pas !), à savoir, face à l’urgence de l’époque, le choix est binaire : le Christ-roi ou le néant, je sais déjà que les remarques seront acides, ironiques ou encore méprisantes. J’ai envie de dire à ces gens-là : lisez ! instruisez-vous ! Réfléchissez ! Votre monde est déjà mort ! J’ai donc eu la chance de recevoir ce livre, écrit par un vrai écrivain de notre époque (il en reste, en effet !) dont je connaissais déjà la réputation, et au milieu de la monotonie et de la médiocrité masturbatoire de la création ou de la réflexion de notre piètre temps, j’ai trouvé un souffle, un cap, une révélation, une dynamique spirituelle qui nous extirpe du chaudron de bégaiements suivistes qui remplissent notre modernité presque éteinte. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J’ai réalisé une tribune sur la fin (possible) de l’infotainment et de la propagande organisée par cette nouvelle forme de divertissement par le rire moqueur et les sarcasmes. Cette tribune est parue dans Entreprendre.
On entend dire dans la presse (on dira plutôt de gauche) que le wokisme est un humanisme. Je pense tout le contraire. Le wokisme est un péril, et sa révolution culturelle n’est pas une révolution morale, mais une purge culturelle de très grande ampleur. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme. Je le fais dans cette nouvelle tribune, poussé par une nouvelle actualité dans « l’affaire Sylvain Tesson », qui est parue dans Entreprendre. À lire et à partager. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Aujourd'hui, mercredi 14 février, un hommage national sera tenu à midi place Vendôme en l'honneur de l'ancien garde des Sceaux, homme de droit et avocat, Robert Badinter, qui nous a quitté le 9 février dernier. Grand homme, homme de l'abolition de la peine de mort, grand défenseur des droits et de l'état de droit, j'ai réalisé une tribune en hommage à cette personnalité politique de gauche, cette grande figure de l'histoire, ministre de la Justice et ami fidèle de François Mitterrand. Cette tribune sort simultanément dans le site du magazine Entreprendre et dans l'Ouvroir.
Allez, un peu de sang bien frais pour réjouir la meute : j’ai réalisé une courte tribune pour défendre le poète et écrivain voyageur Sylvain Tesson. Première salve à l’attention des petits roquets de la « cancel culture », enragés et despotiques, génération de petits procureurs en quête de coupables. Il serait temps que cette époque fasciste fasse son examen de conscience. Cette tribune est parue en doublon dans Entreprendre et le nouveau numéro de Journal de France (en kiosque).
« Le Journal de guerre » de Gilles-William Goldnadel : numéro 1 des ventes en France. Est-ce un hasard ? J’y réponds dans cette tribune parue dans Entreprendre. en accès libre désormais dans l'Ouvroir.
Le choix des mots n’est jamais un hasard. Lorsqu’Emmanuel Macron, pendant la crise sanitaire du Covid, fit plusieurs fois référence au mot « guerre », les choses semblèrent progressivement claires ; désormais, en employant le verbe « réarmer », on comprend que la conjuration de l’effondrement du pays devient un combat de tous les instants. Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre.
Si l’on avait annoncé cela six mois plus tôt aux personnes dont la sensibilité politique est à gauche, s’accrochant à Élisabeth Borne, Mohicane venue du Parti socialiste et caution d’une politique plutôt culturelle et sociale à gauche d’Emmanuel Macron, ce grand seigneur du « en même temps » qui a toujours masqué sa véritable aspiration à droite, une droite conservatrice dont il ne s’est jamais départie, personne ne vous aurait cru. Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre.