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Milan Kundera ou la hache de l'histoire

Il s’agit d’organiser l’oubli. Organiser l’oubli sur le théâtre de l’Histoire. Théâtre de l’histoire sur lequel se réalise, selon Hegel, l’Esprit universel[1].Une histoire qui sévit avec une grande hache. Et au centre de l’Histoire : l’homme. L’homme écrasé par l’Histoire. Voilà tout le principe des romans de Milan Kundera. Ce long article est paru dans le numéro 6 de la Presse Littéraire, de mai 2006. Il a été revu et augmenté en décembre 2009 et figure dans mon essai, La Part de l'ombre, publié en 2010. Il figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles) paru aux éditions Ovadia (2024).

 

« La lutte de l’homme contre le pouvoir est la lutte de l’homme contre l’oubli », Milan Kundera, Le livre du rire et de l’oubli.

 

Doit-on croire Hegel lorsqu’il prétend que l’Histoire n’est pas contingente ? L’histoire aurait-elle un objet ? Serait-elle le théâtre des opérations de l’Esprit universel qui agite les hommes en vue d’une fin dont ils n’ont pas encore conscience ? En peu de mots : l’histoire aurait-elle donc un sens ?

 

 
La suite de cet article figure dans Galaxie Houellebecq (et autres étoiles)
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Commentaires

  • Qu'il n'ait pas le Nobel est une injustice... même s'il s'en contrefout sûrement

  • J'aime pas Kundera. L'idole des étudiantes en deug, si me rappelle ma jeunesse. J'ai jamais apprécié Kundera, alors d'accord, c'est là ma hache à moi.

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