Dans la série des romans familiaux, Alexandre Jardin ajoute une fois encore une nouvelle pierre à l’édifice d’une famille hors-norme, en écrivant un récit tendre et sincère, une lettre à la mère, une bouteille échouée au large de l’amour maternelle, qu’il espère bien voir lue par la personne la plus chère à laquelle il l’adresse.
alexandre jardin
-
Nos mères ont toutes raison - À propos d'Alexandre Jardin
-
Alexandre Jardin, entre nuit et brouillard
Jusqu’ici, nous connaissions Alexandre Jardin pour ses romans d'amours et de liberté à la Feydeau. Alexandre a longtemps été le chouchou de ses dames, dames piquées de littérature ou pas, qui rêvaient d’un gendre idéal, et qui le trouvaient en l’image de ce clown (triste !), à la fois brillant et talentueux, toujours partant néanmoins, pour amuser la « galerie ». Et puis voilà ! A quarante-quatre ans, l’éternel enfant romantique signe la fin de la récrée. A quarante-quatre ans, – l’âge où son papa publia son « hymne d’un fils amoureux de son père » –, il l’écrit en toutes lettres : « FINI DE RIRE » ! Le carnet de bord de sa « lente lucidité » dit-il, est celui d’une confession française. Ce carnet de bord est ce désormais « vrai » roman des Jardin.
Lien permanent Catégories : Ecrivains, L'homme, Le sens de l'Histoire, Politique, Société 0 commentaire