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Les personnes transgenres, autrefois considérées comme des travestis, ont longtemps été laissées dans l’ombre, même si des artistes ont essayé de les montrer, comme ces 200 clichés rassemblés et présentés par Sébastien Lifshitz dans une exposition à la Galerie du Jour, en 2016. Tous ces clichés présentaient des hommes et des femmes travestis, pris entre 1880 et 1980. Michel Foucault, en 1978, présentait un livre écrit par Abel B., né Herculine Barbin, le 8 novembre 1838 et mort en 1868, qui était une personne intersexe française assignée femme à la naissance. Elle avait été ensuite réassignée homme une vingtaine d'années plus tard après un examen médical. Michel Foucault commenta brillamment le texte de la première personne à voir son identité de genre modifiée à l’état civil en France. Cette tribune est parue dans la revue Entreprendre, puis dans le numéro 26 deQuestion de philodu mois de décembre 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le sociologue et professeur émérite à la Sorbonne vient de publier deux ouvrages aux éditions du Cerf, Le temps des peurs (2023) et Logique de l’assentiment (2023) dans lesquels il propose une réflexion profonde sur l’époque d’instabilité grandissante que nous vivons à l’heure actuelle, démontrant que l’élite, qui pressent sa fin, agite les peurs d’un État-Léviathan, tandis que coincée dans la modernité qui s’achève, elle se crispe sur ses valeurs mourantes, accusant le peuple qui ne se reconnait plus dans celles-ci, de mal-penser. Wokisme, complotisme, hygénisation de la société, théâtocratie, société liquide sont les outils de l’instrumentalisation des peurs organisée par les élites, tandis que le peuple recherche l’enracinement, en préférant la tradition, le sacré, le local, etc. Ce grand entretien est paru dans le site du mensuelEntreprendre,dans le n°30 deQuestion de Philode juin 2023, et dans le n°42 de Livr'arbitres. Il figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles) paru aux éditions Ovadia (2024).
De quoi l’inflation est-elle le nom ? C’est ce que Romain Kroës se donne pour but de nous expliquer dans un livre passionnant, Surchauffe, l’inflation ou l’enflure économiste, chez Libre & Solidaire, 2023. Je l’ai rencontré pour en savoir plus. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le docteur Laurent Sedel (né sous le nom de Laurent Geoffroy), utilise ce nom pour la première fois pour écrire son histoire dans ce livre), intitulé Petite histoire d’un juif français, et sous-titré « Résurrections » (paru aux éditions de L’Harmattan en 2022). Chirurgien orthopédique tombé gravement malade, et ayant subi une greffe de foie, le voilà dans la peau d’un patient. Cette résurrection, tel qu’il l’appelle, et qui peut s’entendre comme une guérison inattendue, ou comme le retour de la mort à la vie dans un contexte plus mystique, nous fait irrémédiablement penser à la résurrection du Christ. Juif de naissance, Laurent Sedel prend alors la plume sous son nom d’origine, né d’une mère nommée Sarah, qui parvient à miraculeusement échapper aux griffes des Nazis, et accouche d’un fils né sous X, appelé Laurent Geoffroy, et non Sedel. Nous sommes alors en 1943. C’est l’attachée de presse de Laurent Sedel qui m’a contacté, pour m’envoyer son livre et le rencontrer. Or, si j’ai accepté, c’est précisément parce que le médecin et écrivain Laurent Sedel/Geoffroy, tel docteur Jekyll et Mister Hyde, est plus qu’intéressant, il est énigmatique et iconoclaste. Nourrissant à la fois l’ambiguïté et le mystère, condamnant l’antisémitisme d’un Soral ou d’un Dieudonné, mais s’attaquant au détournement historique opéré par les grandes figures de la Shoah, Claude Lanzmann et Élie Wiesel, il ne fait pas toujours bonne presse dans la communauté juive, et on peut le comprendre. Censuré pour un article sur Sarah Halimi, Sedel, par la bouche de Geoffroy, accuse Lanzmann et Wiesel de défendre le repli sur soi et le communautarisme. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le second quinquennat de Macron n’a pas commencé sous les meilleurs auspices, d’autant que l’abstention fut importante, et sa campagne introuvable. Mais l’on doit aussi rajouter que le premier s’est assez mal terminé. Pour l’écrivain et intellectuel Christian de Maussion, ce premier quinquennat fut un fiasco national, ce qu’il dénonce et décrit dans un nouveau livre La fin des haricots (5 sens éditions, 2022). Je l’ai rencontré dans un restaurant du VIème arrondissement de Paris. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Claude Rodhain est avocat honoraire. De son enfance bousculée, il en a fait une force, mais aussi une œuvre. À la tête de onze romans déjà, il a connu un grand succès de librairie, en 1986, avec un récit autobiographique, intitulé Un destin bousculé (Robert Laffont, 1986). C’est la suite qu’il a décidé de nous conter, mais à la troisième personne du singulier cette fois. Le temps des orphelins (City, 2022) est l’histoire d’un garçon qui part à la recherche de sa mère, et qui décide de renverser ce destin qui l’a autrefois trahi. Hymne à la vie et à la joie, les romans de Claude Rodhain sont des récits qui montrent comment dans les pires tourments, la résilience chez certaines personnes peut faire basculer une destinée. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
La question peut surprendre, surtout lorsqu’on sait que les médias nous l’ont « vendu » comme un philosophe. Si l’on écoutait d’ailleurs les commentateurs (courtisans) ce n’était pas moins que Platon qui passait la porte de l’Élysée, en 2017, sous prétexte que le jeune énarque élu, avait soutenu un mémoire de D.E.A. de philosophie, et qu’il avait aidé le phénoménologue Paul Ricœur, dans le travail de son dernier ouvrage, en lui récupérant les livres qui lui manquaient à la Bibliothèque nationale. Les journalistes ont toujours été très forts pour faire de la mayonnaise avec des œufs durs ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans la revue Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
On l’appelait autrefois, cette capitale, la « Ville Lumières ». Combien d’écrivains et d’artistes venus de tous les pays, arrivèrent à Paris pour y trouver refuge ? Dès le XIXe siècle, Paris attirait les artistes, et de grands noms se mêlèrent aux Parisiens, tels Picasso, Chagall, Miller, Kerouac, Hemingway, Joséphine Baker, etc. Et en philosophie, il y eut Bergson qui, comme tous les enseignants de cette discipline, remonta de Province à Paris pour y finir par aller chercher son étoile jaune, alors qu’il était gravement malade et atteint d’un prix Nobel de littérature. Le jaune à Paris ? Hidalgo n’a pas apprécié les Gilets Jaunes et, le 19 mars, parlant de leur manifestation à Paris, elle déclara sur RTL : « Il faut sortir de ce cauchemar », comme si cette mairesse avait fait de Paris un rêve ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans le site du magazine Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Ce nouveau siècle déborde d’idéologies, entre le néo-féminisme, l’indigénisme et la théorie du Genre. Ces trois nouveaux mouvements, qui nous sont venus des États-Unis, prétendent se battre à l’intersectionnalité des luttes, en refusant tout débat contradictoire. À propos du Genre, toute critique sera immédiatement condamnée par les militants LGBT, fascisée par l’opinion médiatique, et extrême-droitisée. Cette impossibilité de penser l’idéologie du Genre, en-dehors des thèses autorisées, n’a pas empêché pourtant certains intellectuels de prendre la plume, pour dénoncer une mascarade, voire une escroquerie que l’on impose dans l’espace public comme si désormais le Genre était une évidence pour tout le monde. Cette idéologie, dont on perçoit déjà les abus et les excès, a été analysée dans un petit ouvrage, qui se présente déjà comme un rappel à l’ordre, celui de l’abbé Renaud de Sainte Marie, prêtre et philosophe, qui a publié La supercherie du Genre (Via Romana, 2022). J’ai demandé à le rencontrer pour lui poser quelques questions afin de comprendre ce phénomène de société. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre et dans la livraison n°41 de Livr'arbitres Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Alors que nous vivons une diversité de crises, l’instabilité parlementaire qui présage une dissolution de l’Assemblée nationale, les problèmes énergétiques qui sont autant de problèmes majeurs bientôt, comme celui de l’augmentation des prix qui ne cesse de défier les pouvoirs publics, le dérèglement climatique, la guerre à nos portes, l’insécurité croissante dans les rues de France, sans compter le déboulonnage de la statue de Saint-Michel, symbole du déclin de notre patrimoine, de l’éradication de nos racines culturelles, j’ai questionné l’entrepreneur Guillaume Millo, qui a, me semble-t-il, un rôle énorme à jouer dans cette société moderne. Et, tandis que l’expertise de Guillaume Millo lui a récemment valu de devenir collaborateur du magazine papier Transitions & énergies, également chroniqueur sur Radio Notre-Dame, tandis qu’Emmanuel Macron perdu dans ses éléments de langage a mis comme priorité de son nouveau quinquennat la transition énergétique et l’écologie, pour donner du sens et de l’avenir à nos enfants et petits-enfants, aux vivants et à la planète, dit-il, je me suis intéressé à l’entreprise Rehearth de Guillaume Millo, qui conjugue avec un talent incomparable, et une élégance exceptionnelle, passé et avenir. Pétri d’une dimension humaniste profonde qui guide ses actes, on peut dire que l’homme esttrès attaché au patrimoine historique de la France et à sa transmission, s’étant donné pour mission de diffuser son savoir appris sur le terrain, afin de le rendre pérenne dans le monde de demain. Conscient qu’il faut en préserver l’ADN tout en le projetant dans le futur avec le souci de protéger la planète, c’est-à-dire de décarboner. Pourtant, cette rentrée sur fond de guerre met l’accent sur tous nos problèmes énergétiques, puisque, désormais, nous devons consommer moins – je ne polémiquerai pas ici sur tous les manquements du gouvernement en matière de sécurité énergétique, mais je n’en pense pas moins ! Interlocuteur de premier choix pour conseiller les entreprises, les particuliers et les pouvoirs publics, afin de préserver la richesse historique et culturelle de nos paysages immobiliers, ce sont certainement des entreprises comme Rehearth,ancrées dans nos préoccupations actuelles de développement durable, qui permettront sûrement de réhabiliter nos biens tout en respectant le patrimoine de France, lui donnant de la densité et de l’épaisseur. Ce n’est certainement pas en rasant nos églises, nos bâtiments anciens, en voulant faire table rase du passé, que nous bâtirons l’avenir de notre humanité. J’ai donc été à la rencontre de l’auteur de Comment réhabiliter votre bien immobilier (Rehearth, 2022), parce que Guillaume Millo sait où il souhaite nous emmener, quelle est sa mission de vie. Il a eu la gentillesse de répondre à mes questions. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq publie le dernier volume d’une trilogie de pensées, de maximes et d’aphorismes. Un ouvrage à savourer, à méditer. Cet entretien a paru dans le Livr'arbitres de lalivraison n°41. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Maximilien Friche est un jeune romancier prometteur. À 47 ans, il a déjà trois romans à son actif. Écrivain plutôt confidentiel, il n’en est pas moins un auteur à remarquer. Son dernier roman, Apôtres d’opérette, il me l’a envoyé, et j’ai pu découvrir une fable tragi-comique, sur la littérature qui se voudrait un acte, ou un geste révolutionnaire. Ancien membre de l’équipe éditoriale des éditions du Ring, il a connu Maurice G. Dantec, qui fut lui-même une sorte d’écrivain et d’aventurier des temps modernes, à la croisée de multiples chemins. Ce fut donc l’occasion, dans une entrevue-fleuve, de revoir la littérature sous le jour de l’idéal révolutionnaire, et de se rappeler un Dantec, vers la fin de sa vie, alors qu’il accusait son éditeur, et ses correcteurs, dont il faisait partie, d'être de mauvaises « conseillères de style ». Cet entretien a paru dans la revue en ligne Boojum. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici un pamphlet de Pierre Boutang, Précis de Foutriquet, quelque peu oublié, qui en aura inspiré un autre très récemment, durant la campagne présidentielle de 2022, Foutriquet de Michel Onfray, sans que le philosophe médiatique ne témoigne de sa gratitude envers le maître. Cela inspirera, au passage, une préface à Olivier Véron, « Sans Onfray », dont le titre est un pied-de-nez facile mais mérité. Publié pour la première fois aux éditions Libres-Hallier en 1981, voici une nouvelle édition augmentée de notes et d’une préface, que je recommande, au moins pour le plaisir de lire une écriture vive et corrosive, un goût de la littérature, et de la virtuosité du style, qui n’épargne rien à son pire adversaire, ni même aux autres non plus. Cette recension paraîtra dans le Livr'arbitres de lalivraison n°41 et 44 Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Faut-il encore présenter Alain Renaut ? Professeur à la Sorbonne, et philosophe, auteur de nombreux ouvrages, il explore les choix de valeurs qui correspondent au projet fondamental de la modernité et des sociétés démocratiques. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question de Philo n° 29 d'avril 2023. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Olivier Bauer est psychanalyste en cabinet. Depuis les débuts du mouvement #MeToo aux États-Unis, et #BalanceTonPorc en France, il reçoit en thérapie des hommes brisés, dépressifs suite à une histoire d’amour avec une femme qui a mal tourné. C’est donc par le moyen d’un premier roman Ni Pantins ni soumis (Le Sémaphore, 2022), qu’Olivier Bauer a décidé de sonner le tocsin, au regard de ces évolutions sociétales profondes, certainement positives quand on parle de libérer la parole des femmes victimes, mais dangereuses et inquiétantes si l’on prend en compte les nombreuses logiques de destruction poussées à l’extrême par le mouvement #MeToo. Roman d’une dérive, le premier roman de ce psychanalyste n’a pas plu à tout le monde, au point de recevoir de nombreuses menaces sur les réseaux sociaux. Je suis entré en contact avec ce nouvel auteur, et je l’ai interrogé sur un phénomène de société qui doit être très vite réglementé. L’urgence semble désormais évidente. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Une nouvelle génération de féministes agite la société française aujourd’hui. Avec le phénomène de masse #MeToo qui nous est venu des États-Unis, et qui a inspiré chez nous #BalanceTonPorc, les relations hommes-femmes ont été remises en cause. Si certains pensent que c’est une avancée positive de la société, et que cela représente un mouvement social encourageant la prise de parole des femmes, en matière de viol et d’agressions sexuelles, ce que l’on peut saluer en effet, il serait toutefois un peu facile, voire réducteur de ne pas voir aussi, dans ce nouveau phénomène, les chasses à l’homme qui ont eu lieu, notamment dans les milieux médiatiques et politiques, faisant de toute accusation sur les réseaux sociaux ou dans les médias une preuve absolue de la culpabilité de celui qui était dénoncé par la vindicte. Or, si l’on analyse cette dérive, qui consacre le temps médiatique au détriment du temps judiciaire, et qui dépossède les tribunaux au profit des supposées victimes, qui se font vengeance sur les réseaux sociaux, nous ne faisons pas seulement face à un progrès en matière d’égalité hommes-femmes, mais nous plongeons dans une nouvelle société, où les procès staliniens remplacent progressivement les procès équitables, et où le hashtag suffit à faire condamner la personne visée. Or, que cherche cette nouvelle vague de néoféministes ? Cherche-t-elle des purges ? À fonder un homme nouveau, en gommant les différences sexuelles, les relations amoureuses, la virilité, en criminalisant le désir masculin ? Avec Sabine Prokhoris, philosophe et psychanalyste, (Le mirage #MeToo, Le cherche-midi, 2022) et Gérald Wittok, musicien et romancier, (Le diable est une femme, Éditions Verrone, 2021) nous avons fait un tour de table, afin de réfléchir à cette nouvelle forme de judiciarisation des rapports sociaux. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question Philo du mois d'avril 2023. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici donc la parution, six mois après le premier inédit de Céline, Guerre, du deuxième roman que l’on a retrouvé parmi les manuscrits disparus pendant la Libération, et conservés par Jean-Pierre Thibaudat, puis remis par le journaliste aux ayants droit de l’écrivain, en 2021, celui-ci faisant suite à l’immense succès de librairie que fut le précédent, avec près de 180 000 exemplaires vendus. Cette recension est parue dans Livr'arbitres, livraison n°40. Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Dans le récit quasi-posthume que Gabriel Matzneff consacre à Vanessa Springora, dont on connait le récit Le consentement (Grasset, 2020), et les foudres médiatiques, populaires et même judiciaires qui s’en suivirent, l’écrivain aujourd’hui « maudit » écrit : « J’ai survécu au Coronavirus. Je ne survivrai pas au Vanessavirus ». Or, rien d’excessif ne transparaît de ses lignes, tant la foudre médiatique et judiciaire a été violente dans cette affaire, au point d’« effacer » sans une seule hésitation cinquante années d’une œuvre littéraire en quelques heures. Nous avons été aux premières loges de cette mise-à-mort médiatique et littéraire, lorsque l’ensemble de ses journaux intimes ont été retirés consécutivement des librairies, et sont devenus d’un seul coup, clandestins. Cette recension est parue dans le n°36 de la revue Livr'arbitres. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J'ai répondu aux questions d'Yannick Urrien sur Radio Kernews. Voici ici le compte-rendu. Nous avons évidemment abordé les grandes crises sociétales du moment qui jettent les Français dans l'inquiétude autant que dans l'embarras. Tout converge, dans cette lutte des sexes (néoféminisme), des races (wokisme) et des genres (transidentité) à la guerre totale de tous contre tous. C'est donc un regard sur le monde actuel, vu du prisme j'espère le plus sincère, mais aussi le plus lucide possible. Voici l'entretien, et le lien vers l'émission, en accès libre dans l'Ouvroir.
L’actualité récente et sanglante a déclenché des protestations de haine à l’endroit des policiers, alors qu’une voiture transportant quatre jeunes adultes, interceptée par les forces de l’ordre, a refusé d’obtempérer. Le jeune garçon au volant, était alcoolisé, drogué, sans permis et récidiviste en cavale. Cette tribune est parue dans le site du mensuel Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.