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gérald wittock

  • Entretien avec Stéphanie Janicot et Gérald Wittock. Les années disco, les années heureuses ?

    On dit souvent que ce n’était pas mieux avant. Avant, pourtant, c’était les années 1970 et 1980, qui font toujours rêver la jeunesse d’aujourd’hui. Années auxquelles l’on fait immanquablement référence lorsqu’on souhaite parler d’une époque festive et heureuse. Années rock, punk, disco. Années folles. Celles des cinquantenaires d’aujourd’hui, en soif de légèreté et d’ivresse. Pour en parler, j’ai réuni deux écrivains, qui ont publié simultanément, un roman sur la fin des années 1970, Stéphanie Janicot, Disco Queen (Albin Michel, 2023), et un roman nous contant le New York de la fin des années 1970, Gérald Wittock, 1m976 (The Melmac Cat, 2023). Nous avons voulu savoir ce qu’il en était réellement de cette époque ? Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre, et dans le n°30 de Question de Philo de juin 2023. I l est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Sabine Prokhoris et Gérald Wittock : L’ère #MeToo, quelle société pour demain ?

    Une nouvelle génération de féministes agite la société française aujourd’hui. Avec le phénomène de masse #MeToo qui nous est venu des États-Unis, et qui a inspiré chez nous #BalanceTonPorc, les relations hommes-femmes ont été remises en cause. Si certains pensent que c’est une avancée positive de la société, et que cela représente un mouvement social encourageant la prise de parole des femmes, en matière de viol et d’agressions sexuelles, ce que l’on peut saluer en effet, il serait toutefois un peu facile, voire réducteur de ne pas voir aussi, dans ce nouveau phénomène, les chasses à l’homme qui ont eu lieu, notamment dans les milieux médiatiques et politiques, faisant de toute accusation sur les réseaux sociaux ou dans les médias une preuve absolue de la culpabilité de celui qui était dénoncé par la vindicte. Or, si l’on analyse cette dérive, qui consacre le temps médiatique au détriment du temps judiciaire, et qui dépossède les tribunaux au profit des supposées victimes, qui se font vengeance sur les réseaux sociaux, nous ne faisons pas seulement face à un progrès en matière d’égalité hommes-femmes, mais nous plongeons dans une nouvelle société, où les procès staliniens remplacent progressivement les procès équitables, et où le hashtag suffit à faire condamner la personne visée. Or, que cherche cette nouvelle vague de néoféministes ? Cherche-t-elle des purges ? À fonder un homme nouveau, en gommant les différences sexuelles, les relations amoureuses, la virilité, en criminalisant le désir masculin ? Avec Sabine Prokhoris, philosophe et psychanalyste, (Le mirage #MeToo, Le cherche-midi, 2022) et Gérald Wittok, musicien et romancier, (Le diable est une femme, Éditions Verrone, 2021) nous avons fait un tour de table, afin de réfléchir à cette nouvelle forme de judiciarisation des rapports sociaux. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question Philo du mois d'avril 2023. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Gérald Wittock « Le féminisme a du bon pour autant qu’il respecte l’hominisme »

    Gérald Wittock est un auteur-compositeur. Né à Rome en 1966, il voyage depuis son plus jeune âge, ce qui lui permet de parler couramment six langues. En 1992, il crée sa maison d'édition et de production audiovisuelle. En 2005, il monte son propre label, NO2 Records. En 2011, il s'installe à Marseille et il se consacre à l’écriture, après avoir parcouru le monde. Je l’ai rencontré au Petit-Benoît, à la place habituelle de Marguerite Duras. On a discuté de son premier roman, Le Diable est une femme (Editions Vérone, 2022), ce qui nous a entraîné sur les pentes dures de l’idéologie néo-féministe actuelle, et de cette curieuse époque de revendications en tous genres et de diabolisation. Il en est ressorti cet entretien qui est paru dans Boojum. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.

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