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Philippe Sollers nous a quittés en 2023. Écrivain controversé, autant aimé qu’haï, il nous laisse une œuvre immense. Pascal Louvrier revient sur une histoire de la littérature française à la fois passionnante et romanesque, à l’image du personnage qui a marqué les cinquante dernières années médiatiques et littéraires de la deuxième moitié du XXe siècle. Cet entretien est paru dans le site du magazine Entreprendre et dans Question de Philo.
Le sociologue et professeur émérite à la Sorbonne vient de publier deux ouvrages aux éditions du Cerf, Le temps des peurs (2023) et Logique de l’assentiment (2023) dans lesquels il propose une réflexion profonde sur l’époque d’instabilité grandissante que nous vivons à l’heure actuelle, démontrant que l’élite, qui pressent sa fin, agite les peurs d’un État-Léviathan, tandis que coincée dans la modernité qui s’achève, elle se crispe sur ses valeurs mourantes, accusant le peuple qui ne se reconnait plus dans celles-ci, de mal-penser. Wokisme, complotisme, hygénisation de la société, théâtocratie, société liquide sont les outils de l’instrumentalisation des peurs organisée par les élites, tandis que le peuple recherche l’enracinement, en préférant la tradition, le sacré, le local, etc. Ce grand entretien est paru dans le site du mensuelEntreprendre,dans le n°30 deQuestion de Philode juin 2023, et dans le n°42 de Livr'arbitres. Il figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles) paru aux éditions Ovadia (2024).
La courte autobiographie intellectuelle d’Alain Finkielkraut, joliment intitulée À la première personne, parue chez Gallimard, en 2019 (Folio, 2021), est dédiée à l’écrivain franco-tchèque Milan Kundera. J'ai réalisé une recension à son propos qui a d'abord paru dans le numéro 38 de Livr'arbitres, en juin 2022 et qui figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles)paru aux éditions Ovadia (2024).
En cette période de pandémie mondiale où nous avons privilégié la santé à l'économie, ce qui est à ce jour inédit dans l'histoire du capitalisme, la vraie question qui se pose est celle de ce nouvel humanisme qui vient. Certainement celui du transhumanisme. Mais le transhumanisme est-il seulement un humanisme ? On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs projets transhumanistes, le désir d’éternité, donc d'abolir la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ? Voici quelques pistes (sommaires) que je propose en accès libre dans l'Ouvroir.