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« Le Journal de guerre » de Gilles-William Goldnadel : numéro 1 des ventes en France. Est-ce un hasard ? J’y réponds dans cette tribune parue dans Entreprendre. en accès libre désormais dans l'Ouvroir.
Le choix des mots n’est jamais un hasard. Lorsqu’Emmanuel Macron, pendant la crise sanitaire du Covid, fit plusieurs fois référence au mot « guerre », les choses semblèrent progressivement claires ; désormais, en employant le verbe « réarmer », on comprend que la conjuration de l’effondrement du pays devient un combat de tous les instants. Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre.
Si l’on avait annoncé cela six mois plus tôt aux personnes dont la sensibilité politique est à gauche, s’accrochant à Élisabeth Borne, Mohicane venue du Parti socialiste et caution d’une politique plutôt culturelle et sociale à gauche d’Emmanuel Macron, ce grand seigneur du « en même temps » qui a toujours masqué sa véritable aspiration à droite, une droite conservatrice dont il ne s’est jamais départie, personne ne vous aurait cru. Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le second quinquennat de Macron n’a pas commencé sous les meilleurs auspices, d’autant que l’abstention fut importante, et sa campagne introuvable. Mais l’on doit aussi rajouter que le premier s’est assez mal terminé. Pour l’écrivain et intellectuel Christian de Maussion, ce premier quinquennat fut un fiasco national, ce qu’il dénonce et décrit dans un nouveau livre La fin des haricots (5 sens éditions, 2022). Je l’ai rencontré dans un restaurant du VIème arrondissement de Paris. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
La question peut surprendre, surtout lorsqu’on sait que les médias nous l’ont « vendu » comme un philosophe. Si l’on écoutait d’ailleurs les commentateurs (courtisans) ce n’était pas moins que Platon qui passait la porte de l’Élysée, en 2017, sous prétexte que le jeune énarque élu, avait soutenu un mémoire de D.E.A. de philosophie, et qu’il avait aidé le phénoménologue Paul Ricœur, dans le travail de son dernier ouvrage, en lui récupérant les livres qui lui manquaient à la Bibliothèque nationale. Les journalistes ont toujours été très forts pour faire de la mayonnaise avec des œufs durs ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans la revue Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici une longue étude que je propose sur l'oeuvre de Michel Houellebecq. Parue dans le site du magazine Entreprendre, elle figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles) paru aux éditions Ovadia (2024).
Plus qu'une défaite, c'est une déconfiture, un camouflet pour Macron que ces résultats du second tour des législatives. Le roi est-il vraiment nu cependant ? Ma nouvelle tribune dans Entreprendre. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Tout le monde connait les méthodes de l'extrême-gauche : faire taire l'adversaire par tous les moyens, dissoudre le peuple s'il pense mal, entendez s'il ne pense pas comme « l'extreume-gôche ! » Aymeric Caron vient de nous en donner une nouvelle preuve magistrale. Ma tribune parue dans le site de la revue Entreprendre. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Jeu de Nupes, jeu de dupes. Nous vivons une époque étrange et dangereuse. La percée de cette gauche idéologique et dogmatique face à la droite la plus bête du monde, fait craindre l’accouchement de l’immonde. Voici ma tribune inspirée de ces temps d’urgence absolue et parue dans la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Personne ne connaissait Taha Bouhafs jusqu’ici, ou presque... Depuis une semaine, le jeune garçon fait la une des journaux, car l’ex-candidat Insoumis malheureux aux législatives, est accusé d’agressions sexuelles. Dans la tourmente, il n’a de cesse de dénoncer un lynchage de l’extrême-droite, ainsi que des dénonciations calomnieuses émanant des plaignantes. Voilà donc le retour en force de la position « victimaire », une spécialité dans les rangs de l’extrême-gauche. Et pourtant... Cette tribune est parue dans le site de la revue Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le 24 février 2022, à 5 heures du matin, les premières balles tirées par l'armée russe en Ukraine ont définitivement déchiré le rideau de la fin de l'histoire, et cette thèse du philosophe américain Francis Fukuyama, tirée d'un essai du même nom, publié en 1992 et identifié comme l'un des essais les plus importants de la fin du xxe siècle, a définitivement vacillé au point de laisser place à un tout nouveau paradigme. Inspiré par les thèses d'Alexandre Kojève sur la « fin de l'histoire », Francis Fukuyama pensait que la fin de la guerre froide marquait la victoire idéologique de la démocratie et du libéralisme (concept de démocratie libérale) sur les autres idéologies politiques, suite notamment à la chute du Mur, la dislocation du bloc de l'Est, qui allaient entraîner d'importants troubles. Si pourtant, la fin de l'Histoire ne signifiait pas, selon Fukuyama, l'absence de conflits, mais plutôt la suprématie absolue et définitive de l'idéal de la démocratie libérale, lequel ne constituerait pas seulement l'horizon indépassable de notre temps mais se réaliserait effectivement en éliminant tout risque de nouvelles guerres en Europe, de l'ampleur des guerres de 14-18 ou de 39-45, l'idée même d'une 3ème guerre mondiale devenait impensable. Pourtant, la Russie de Poutine, et son offensive en Ukraine, commencée le 24 février 2022, signa un tournant historique, qui a forcé l'histoire à reprendre manu militari du service. Ma tribune dans l'Ouvroir.
Depuis maintenant plusieurs semaines, on s'excite sur les réseaux, on se félicite de la victoire de Biden, alors que d'autres dansèrent dans les rues de New York ou Los Angeles sur des airs de "déjà-vu" à chaque élection d'un pseudo-libérateur de rien du tout.
Si George Orwell avait eu connaissance de l'année 2020, il n'en aurait sûrement pas cru un mot. En moins de dix mois, on est passé d'une existence normale (ou presque, puisqu'il y eut tout de même les gilets jaunes et une vague de répressions policières déjà très inquiétantes) à une autre complètement rocambolesque, effrayante, pour ne pas dire calquée sur les pires romans de science-fiction de notre jeunesse. Désormais, on ne sait à quel saint se vouer. Cette courte chronique, relatant la folie sanitaire du début de ce siècle, a été écrite pour le numéro 2 de L'insurgé. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Qu’est-ce que la politique ? L’hypothèse communiste ? Les révolutions sont-elles mises à l’épreuve de l’histoire ? De quoi la gauche est-elle aujourd’hui le nom ? L’élection de Macron est-elle un coup d’État démocratique ? Autant de questions fondamentales et très contemporaines que pose le nouvel essai que le philosophe français communiste Alain Badiou publie sous forme d’entretiens avec la journaliste Aude Lancelin. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.