Doit-on parler de la maladie de Nietzsche ? Le philosophe allemand Karl Jaspers le pense, car, chez notre penseur du dix-neuvième siècle, ce qui prédomine dans son œuvre, c’est une idée existentielle de la grande santé. Et cette idée, qui traverse toute l’œuvre, « se rapporte à la valeur de l’homme dans la totalité de son rang existentiel ».
peter sloterdjik
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Le surhomme de Nietzsche, cet homme malade
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Peter Sloterdijk et le parc humain. Faut-il craindre la science ?
Dans son article Réflexions sur Hiroshima, Jean-Paul Sartre nous dit clairement que la bombe atomique inaugure une nouvelle ère. L’ère de l’homme sans Dieu. Ou plutôt de l’homme-dieu, cet homme qui a définitivement pris la place de Dieu, ce fauteuil si grand pour lui.