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gérard depardieu

  • Le péril Woke

    On entend dire dans la presse (on dira plutôt de gauche) que le wokisme est un humanisme. Je pense tout le contraire. Le wokisme est un péril, et sa révolution culturelle n’est pas une révolution morale, mais une purge culturelle de très grande ampleur. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme. Je le fais dans cette nouvelle tribune, poussé par une nouvelle actualité dans « l’affaire Sylvain Tesson », qui est parue dans Entreprendre. À lire et à partager. Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Affaire Depardieu : les hallucinés du Nouveau Monde

    Ce que nous apprennent les dernières grandes crises sociales depuis quelques temps, c’est la difficulté pour la révolution morale moderne de se réaliser proprement. La grande affaire de fin d’année, l’affaire Depardieu (qui est devenue une affaire d’État), dans sa forme à la fois grotesque et démesurée, comme dans le fond, peut tout à fait nous rappeler une remarque de Marx, que j’énonce ici par pur cynisme et ironie : « L'histoire se répète, d'abord comme une tragédie, puis comme une farce. » Cette tribune a paru dans le site du magazine Entreprendre et dans le n°97 du Journal de France.

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  • Affaire Depardieu : que la bête meure !

    L'affaire Depardieu a nourri tellement de controverses que je me suis senti obligé de prendre la plume. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre et dans Journal de France, n°98, février 2024.

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  • Depardieu, un corps rabelaisien au pays des Woke

    On ne trouve pas plus binaires que les wokistes : soyez des Élus de notre nouvel ordre moral, sinon vous serez les Damnés. Dernière cible en date : Gérard Depardieu. Condamné à un procès médiatique sans appel et une cabale populaire moyenâgeuse, suite au documentaire essentiellement à charge de « Complément d’enquête » (qui refuse de produire les images incriminées à ceux qui les demandent) on a assisté en direct à l’assassinat d’un homme et à la lâcheté et la haine des « commissaires aux mains propres », commissaires politiques qui confisquent systématiquement le débat au nom du Bien absolu (le leur !) et près à tout pour en découdre, refusant à l’acteur et icône déchue tout autre forme de procès que le tribunal médiatique et l’exécution publique. C’est dans ce contexte, et essentiellement dans ce contexte, que j’ai décidé de défendre Gerard Depardieu, par cette tribune parue dans le site du magazine Entreprendre et dans Journal de France, n°98, février 2024.

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