En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L'écrivain et éditeur Stéphane Barsacq nous propose un livre enthousiasmant sur deux écrivains qui ont influencé la fin du XXe siècle et la première moitié du XXIe. Dominique Rolin et Philippe Sollers n'étaient pas seulement deux intellectuels de premier plan, deux grands stylistes, deux formidables romanciers, ils étaient aussi des amants clandestins, de grands amoureux, deux amis du bonheur. Stéphane Barsacq qui les a bien connus, nous propose un opuscule d'un peu plus de cent pages, en forme d'hommage mais aussi d'acte littéraire, d'exercice d'admiration. Nous avons réalisé un entretien autour de ce livre, qui est autant éclairant sur cette œuvre mais aussi sur notre époque et ses points aveugles.
L'écrivain et éditeur Stéphane Barsacq m'a fait l'amitié de m'envoyer son nouveau livre sur Sollers et Rolin. J'ai évidemment recenser ce très bel essai dans Livr'arbitres.
Depuis déjà de longues années, Christopher Gérard tient un journal de bord de ses lectures, qui sont pour le moins éclectique, et on ne peut que l’en féliciter. Depuis déjà des décennies, la gauche culturelle a verrouillé le débat littéraire en imposant ses codes, ses règles de morale et ses thèmes. La littérature étant devenue le champ de bataille des chapelles idéologiques, avec ses bons et ses mauvais samaritains, les romans que l’on doit absolument lire et ceux qui ne méritent que censure et quolibets. C’était d’ailleurs le sujet de son précédent ouvrage Quolibets paru en 2013, et réédité par les éditions La Nouvelle Librairie, augmenté du double des textes. Parmi les nobles voyageurs, comme aime les appeler l’auteur de ce beau livre, on trouve surtout des parias et des exilés de la littérature française, – que quelques libraires préfèrent appeler « francophone » pour paraître plus « inclusifs ». Bien sûr, les lectures de Christopher Gérard ne s’en tiennent pas à l’hexagone, et sa culture littéraire, plurielle et ouverte sur l’autre, mêle des textes de catégories bien différentes. Ce sont donc des voix singulières, qui honorent les lettres et les idées, qui sont plurielles et souvent indisciplinées, loin des romans de pacotille, souvent idéologiques, souvent moralistes que notre siècle produit à présent, comme si la littérature n’avait jamais été dissidente, révoltée, subversive. Il est à noter qu’au pays des Woke, ces indignés permanents qui font de leur éveil à la discrimination un commerce lucratif et un prétexte à l’élimination systématique, ce carnet de notes paraît exhaler une fraîcheur particulière : celle de la liberté ! Cet entretien m'a été demandé par la revue Livr'arbitres. Il est paru dans le n°45. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq publie le dernier volume d’une trilogie de pensées, de maximes et d’aphorismes. Un ouvrage à savourer, à méditer. Cet entretien a paru dans le Livr'arbitres de lalivraison n°41. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
On ne parle plus assez de cet écrivain et poète André Suarès, qui fit partie du premier groupe de la Nouvelle Revue Française. Dans un volume intitulé Vues sur Baudelaire (Éditions des instants, 2021), on retrouve tous les textes qu’il consacra au génie de la poésie moderne, Charles Baudelaire, ce Dante d’une époque déchue, comme le nommait Barbey d’Aurevilly. Baudelaire vu par Suarès, Baudelaire ce malfaisant, dandy doté d'un singulier plaisir aristocratique de déplaire, ange déchu vu par un autre héros de la solitude, un aristocrate de la vie spirituelle à son image, le plus méconnu de tous les grands écrivains certainement, et peu nous importe qu’’il fut l'un des trois ou les trois à la fois, ce moderne aux visions apocalyptiques de la modernité a été étudié par un d'Artagnan ascétique, cet Alceste tiré à quatre épingles, cette âme ardente, ce caractère atrabilaire, chacun devant être lu pour ce qu'il est : un génie de la prose dont le verbe, dans son exil, a été le secours qu'il nous apporte à notre présent. Cette édition a été établie par Stéphane Barsacq. Cet entretien paraîtra dans le numéro 37 de Livr'arbitres, en mars 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Au milieu de parutions de plus en plus alimentaires, dont le but de cette nouvelle littérature est de servir les besoins de lecteurs en mal de divertissement, fleurit, loin des projecteurs, une poésie exigeante et intelligente, forte et courageuse. Parmi ces publications qui sont le sang neuf de la littérature du 21e siècle, on trouve quelques textes roboratifs. Hospitalité des gouffres, de Réginald Gaillard, emprunte à ceux-ci cette aspiration au jour nouveau. L'auteur m'a aimablement envoyé un exemplaire dédicacé. L'oeuvre étant si belle et intense. J’ai eu la chance de pouvoir poser quelques questions à l’auteur pour la revue Boojum. Voici désormais le compte-rendu en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacqétait d'abord un ami de plume, avant de devenir un ami à la ville, depuis déjà quelques années. C'est également un écrivain et moraliste pour notre temps. Auteur de plusieurs ouvrages et de nombreuses préfaces, avec ce nouveau livre Météores, il nous donne une suite à son sublime Mystica, Présenté comme un abécédaire intelligent et décalé, faisant le point, dans son élévation, sur notre effondrement, j’ai souhaité très logiquement, creuser plus en profondeur les nombreuses thématiques qui nourrissent cet essai de très grande qualité. Nous nous sommes retrouvés à sa cantine, La Rotonde, à Paris, et nous avons réalisé ce long entretien, qui estparu dansla revueInstinct nomade, numéro 7, consacrée à Marguerite Duras, il est interdit d'interdire. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Proposé comme une suite à son sublimeMystica, ce nouveau texte de l’écrivain, préfacier et éditeur Stéphane Barsacq, se présente comme un abécédaire intelligent et décalé, faisant le point dans son élévation sur notre effondrement. L'auteur m'a envoyé son essai, gentiment dédicacé. Séduit par ce texte de très grande qualité, je me suis empressé de réaliser une chronique, qui est parue dans la revue en ligne Boojum, et qui est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Poète et prophète par vocation, André Suarès, cet écrivain de la première moitié du XXème siècle ne semble pas être passé à la postérité. Pourtant, le talent est là ! Grâce à cette édition Miroir du temps, paru chez Bartillat, nous pouvons désormais découvrir l’ampleur des thèmes chers à l’écrivain, sous une forme inédite, et goûté à cet immense talent, dans une édition établie par l’écrivain Stéphane Barsacq. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq propose avec Le Piano dans l’éducation des jeunes filles un roman de formation. C’est l’histoire de l’éducation sentimentale d’un jeune homme épris d’absolu. Paru en 2016 aux éditions Albin Michel, et couronné du prix Roland de Jouvenel 2016, il paraît au Livre de poche.
De Jacques Chardonne, on retient deux parts : la part amoureuse et la part maudite. Il y a celle de la collaboration, impardonnable, théâtre de textes inexcusables, et celle qui précède, celle de l’enfant gâté de la plume, maître de la prose, et spécialiste de la vie de couple et du phénomène amoureux. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq, auteur d’essais sur Rimbaud ou Simone Weil et d’un roman qui a reçu le Prix Roland-de-Jouvenel décerné par l’Académie française, livre avec Mystica, un trésor d’intelligence et de sagesse. En cette période de gros temps, ce ne sont pas les pamphlets hystérisés par les passions tristes de l’époque qu’il s’agit de lire, mais des livres profonds, peut-être trop pour nous, des livres qui visent la grâce, l’amour, la joie afin de mener une quête de la parole qui soit salutaire, et de cesser de retourner dans nos esprits fatigués le mythe de la mort de Dieu, afin de penser le nouveau Dieu que nous avons créé : un Dieu de la mort. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Paru et édité par Stéphane Barsacq chez Albin Michel, L’Enchantement musical de Vladimir Jankélévitch réunit des textes peu connus, inédits, ou depuis longtemps inaccessibles, consacrés notamment à Liszt, Ravel, Fauré, la musique espagnole, et les génies de la musique russe.