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Henry Miller est un écrivain américain, dont on ne parle plus assez aujourd’hui, qui fit scandale dans l’Amérique puritaine des années 30, avec des romans comme les deux Tropique ou la Crucifixion en rose, puisqu’il écrivit une littérature de la libération par la débauche. Cette recension a paru dans le Livr'arbitres de lalivraison n°42 Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
Voici donc la parution, six mois après le premier inédit de Céline, Guerre, du deuxième roman que l’on a retrouvé parmi les manuscrits disparus pendant la Libération, et conservés par Jean-Pierre Thibaudat, puis remis par le journaliste aux ayants droit de l’écrivain, en 2021, celui-ci faisant suite à l’immense succès de librairie que fut le précédent, avec près de 180 000 exemplaires vendus. Cette recension est parue dans Livr'arbitres, livraison n°40. Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.
On ne dira jamais assez combien ce siècle est stupide. On n'en dira jamais assez de mal ! Afin de décrypter les tares et outrances de ce siècle, voici donc, une analyse assez longue du « phénomène » de librairie Cher connard (j’ai peine à utiliser ce terme, mais 65 000 exemplaires déjà écoulés, fin septembre, ça laisse pantois !), afin de décrypter une nouvelle génération de femmes de lettres (j’évite ce terme aussi moche que ridicule d’« écrivaines ») dont les romans sont moins une ode à la littérature, qu’un prétexte à un train de revendications identitaires surannées, et haineuses. Despentes, qui nous fait le film depuis ses débuts, en 1994, en guerre permanente, contre l’homme blanc, contre le bourgeois, contre le patriarcat, et que l’on a tort de comparer à Houellebecq, elle n’en a ni l’envergure ni le talent, encore moins le génie, est une sorte de marxiste perdue au milieu de la libération sexuelle, croyant, comme certains vieux soldats qui n’ont pas été informés que la guerre était finie, que la guerre des sexes est encore d’actualité. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre,puis dans le numéro 28 deQuestion de philodu mois de décembre 2022.La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Je ressors de mes tiroirs une vieille recension, parue jadis dans La Presse littéraire, en 2007. Elle avait comme mérite de balayer cette époque débilitante, dans laquelle les écrivains décarbonés font la pluie et le beau temps. J'y aborde le début du siècle, et une certaine littérature qui se crut en avance, celle des écrivants de droite, alors qu'elle appartenait déjà au siècle passé. La vraie question, alors que ce siècle stupide ne cache déjà plus son nom, est bien le problème du roman, du texte littéraire au XXIème siècle, de l'écriture dans un siècle qui peine à naître... Où j'aborde entre autres dans cette tribune, Juan Asensio, Maurice G. Dantec, Éric-Bénier Burckiel, Marc-Édouard Nabe, Sarah Vajda, Raymond Abellio, et les myrmidons du Quartier latin... Cette tribune est parue dans le site du mensuel Entreprendre, puis dans le numéro 3 des Carnets de la philosophiedu mois d'octobre 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Au moment de sa parution, le roman inédit Guerre, de Louis-Ferdinand Céline, a divisé, forcément divisé dans une France encore très fragmentée. Le roman Guerre, et le premier inédit d'un longue série, qui sera forcément chroniquée dans ces pages. On sait combien Céline a fait couler d'encre, depuis son premier voyage, son premier chef-d'oeuvre, le Voyage au bout de la nuit. C'est ainsi, d'un voyage dans le voyage, dont il est question grâce à ces inédits, qui demeurent des brouillons de romans qui n'auront jamais vu le jour. Cette recension est parue dans le numéro 39 de Livr'arbitres. Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.