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Parmi les néoféministes, il faudra se pencher au moins sur deux figures majeures : Sandrine Rousseau et Alice Coffin. Commençons par la première. De Sandrine Rousseau à Sardine Ruisseau (sa parodie sur Tweeter), quelle différence réelle ? Qui inspire l'autre ? Si la Madone des barbecues fait régulièrement parler d'elle, il ne faudrait pas oublier que porter le nom d'un philosophe ne fait pas de ses slogans des pensées de haute volée pour autant. Ma tribune parue dans le site du mensuel Entreprendre et dans le n°43 de l'Événement Magazine. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
On ne dira jamais assez combien ce siècle est stupide. On n'en dira jamais assez de mal ! Afin de décrypter les tares et outrances de ce siècle, voici donc, une analyse assez longue du « phénomène » de librairie Cher connard (j’ai peine à utiliser ce terme, mais 65 000 exemplaires déjà écoulés, fin septembre, ça laisse pantois !), afin de décrypter une nouvelle génération de femmes de lettres (j’évite ce terme aussi moche que ridicule d’« écrivaines ») dont les romans sont moins une ode à la littérature, qu’un prétexte à un train de revendications identitaires surannées, et haineuses. Despentes, qui nous fait le film depuis ses débuts, en 1994, en guerre permanente, contre l’homme blanc, contre le bourgeois, contre le patriarcat, et que l’on a tort de comparer à Houellebecq, elle n’en a ni l’envergure ni le talent, encore moins le génie, est une sorte de marxiste perdue au milieu de la libération sexuelle, croyant, comme certains vieux soldats qui n’ont pas été informés que la guerre était finie, que la guerre des sexes est encore d’actualité. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre,puis dans le numéro 28 deQuestion de philodu mois de décembre 2022.La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.