En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Avec la parution aujourd’hui même du Consentement, de Vanessa, personnage qui apparaît régulièrement dans les journaux et romans de Gabriel Matzneff, le malaise dans le petit milieu littéraire parisien est à son comble. Cette tribune est parue dans le numéro 5 d'Instinct nomades, au printemps 2020. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
L’archange aux pieds fourchus rend hommage dans Maîtres et complices à ses sources d’inspiration et à ceux qui formèrent son esprit, le guidèrent sur le chemin de son art. Voici la recension d'un classique de l'oeuvre de Gabriel Matzneff, d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Cet article a été écrit pour une rubrique, que je tenais dans le Magazine des livres, et qui avait pour titre : La philosophie du temps qui passe. J'y pars d'un problème, à mon sens majeur : que vaut l'amour narcissique et la passion amoureuse ? Parue dans le numéro 34, de décembre 2011, voici désormais cette chronique en accès libre dans l'Ouvroir.
Mais qu’est-ce qui fait courir Don Juan ? On n’a cessé de causer, d’écrire sur cette figure mythique de la séduction masculine. Plus d’un millier d’adaptions, et la psychanalyse qui s’en empare pour créer son concept de don juanisme. On le traite bien, on le traite mal. On l’aime, on le déteste. On le compare très frauduleusement à un épicurien, mais parce qu’on a si mal compris Épicure. Et l’on a si mal compris Don Juan par la même occasion. Cette longue étude était d'abord une allocution que j'ai faite dans un groupe lacanien. Je l'ai transformée en article, pour le numéro 19, desCarnets de la philosophie, de janvier 2012. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Ses jeunes maîtresses et ses vieux maîtres ont toujours été la grande affaire de Gabriel Matzneff. Ses jeunes maîtresses ont occupé sa vie ; elles y ont introduit une bonne dose d’amour et de sensualité, donnant un sens certain à son existence. Ses vieux maîtres lui ont procuré cette « famille esthétique et spirituelle à laquelle on appartient[1] ». Or, appartenir à une lignée de pensée, c’est très nettement se définir un lien ou une filiation et un art de vivre : une diététique. Ce long article a trouvé une place dans l'ouvrage collectif dirigé par F. Georgesco, paru aux éditions du Sandre, en 2010, et sobrement intitulé Gabriel Matzneff. Le voilà désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
« Ceux qui pensent que leur vie vaut d'être racontée, devraient toujours s'en charger eux-mêmes ». Ainsi nous parle Marc-Antoine Muret au commencement de son récit. Sa voix, lourde de tout ce que la mémoire offre de faillibles, d'inventions, de divagations, de menteries, résonne du fin fond du XVIème siècle, et nous parvient, dans ce grand bruit assourdissant, pas toujours très intelligible, d'un siècle révolu, baroque, lumineux et cruel à la fois. Un siècle humaniste. Recension parue dans le Magazine des livres, numéro 18, de juillet et août 2009. Le voici désormais accessible dans l'Ouvroir.
À l'occasion de la sortie de son livre Vous avez dit Métèque ?, Gabriel Matzneff m'avait accordé un entretien dans les bureaux de son éditeur La Table ronde, en août 2008. Compte-rendu dans le Magazine des Livres de février et mars 2009. Le voici désormais dans l'Ouvoir.
Le Magazine des Livres m'a demandé de réaliser un entretien avec l'auteur de Ivre du vin perdu et de Mes amours décomposés. Reçu très aimablement par Matzneff aux éditions de la Table ronde, je ne pouvais publier cet entretien, d'un écrivain que je lis depuis l'âge de seize ans, avec une ferveur et une passion que je ne renie toujours pas, sans avoir toutefois établi ce qui était parfaitement scandaleux dans son oeuvre, et ce qui méritait un peu d'attention. J'ai donc bénéficié d'une parfaite liberté, et n'ai subi aucune censure, ni la moindre pression. Il est d'ailleurs évident que j'aurais refusé cette tâche si je n'avais pas été complètement libre. C'est donc une analyse et une approche de l'écrivain franco-russe totalement subjective et personnelle qui a été publiée aux côtés de cette interview dans le numéro 14 des mois de février et mars 2009 du Magazine des Livres, et que je propose désormais dans l'Ouvroir. Je crois personnellement qu'une oeuvre littéraire est faite pour être lue et commentée, et que toute censure doit demeurer exceptionnelle.