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Marc Alpozzo (Ouvroir de réflexions potentielles) - Page 5

  • Entretien avec John-Frédéric Lippis. Dans les cœurs de Mozart et Jean-Paul II

    Qui était Mozart ? Qui était Karol Józef Wojtyła, dit Jean-Paul II ? Pourquoi un musicien compositeur de notre siècle a décidé d’écrire sur ces deux hautes personnalités, qui nous parlaient directement au cœur ? C’est ce que j’ai essayé de comprendre en interrogeant John-Frédéric Lippis, auteur de merveilleux essais, un sur le pianiste et compositeur de génie, l’autre sur le pape et homme de foi. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Claude Rodhain : « L’homme est fait pour trahir son destin »

    Claude Rodhain est avocat honoraire. De son enfance bousculée, il en a fait une force, mais aussi une œuvre. À la tête de onze romans déjà, il a connu un grand succès de librairie, en 1986, avec un récit autobiographique, intitulé Un destin bousculé (Robert Laffont, 1986). C’est la suite qu’il a décidé de nous conter, mais à la troisième personne du singulier cette fois. Le temps des orphelins (City, 2022) est l’histoire d’un garçon qui part à la recherche de sa mère, et qui décide de renverser ce destin qui l’a autrefois trahi. Hymne à la vie et à la joie, les romans de Claude Rodhain sont des récits qui montrent comment dans les pires tourments, la résilience chez certaines personnes peut faire basculer une destinée. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Pourquoi Macron a-t-il abandonné la philosophie pour prendre le pouvoir politique ?

    La question peut surprendre, surtout lorsqu’on sait que les médias nous l’ont « vendu » comme un philosophe. Si l’on écoutait d’ailleurs les commentateurs (courtisans) ce n’était pas moins que Platon qui passait la porte de l’Élysée, en 2017, sous prétexte que le jeune énarque élu, avait soutenu un mémoire de D.E.A. de philosophie, et qu’il avait aidé le phénoménologue Paul Ricœur, dans le travail de son dernier ouvrage, en lui récupérant les livres qui lui manquaient à la Bibliothèque nationale. Les journalistes ont toujours été très forts pour faire de la mayonnaise avec des œufs durs ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans la revue Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Descartes, philosophe de l'errance

    On connait Descartes pour sa méthode et son rationalisme, on le connaît moins pour ses pérégrinations et ses errances. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Paris, la Capitale qui capitule… sans Capitole !

    On l’appelait autrefois, cette capitale, la « Ville Lumières ». Combien d’écrivains et d’artistes venus de tous les pays, arrivèrent à Paris pour y trouver refuge ? Dès le XIXe siècle, Paris attirait les artistes, et de grands noms se mêlèrent aux Parisiens, tels Picasso, Chagall, Miller, Kerouac, Hemingway, Joséphine Baker, etc. Et en philosophie, il y eut Bergson qui, comme tous les enseignants de cette discipline, remonta de Province à Paris pour y finir par aller chercher son étoile jaune, alors qu’il était gravement malade et atteint d’un prix Nobel de littérature. Le jaune à Paris ?  Hidalgo n’a pas apprécié les Gilets Jaunes et, le 19 mars, parlant de leur manifestation à Paris, elle déclara sur RTL : « Il faut sortir de ce cauchemar », comme si cette mairesse avait fait de Paris un rêve ! Cet article a été écrit à quatre mains avec Emmanuel Jaffelin, philosophe, essayiste, et auteur de Célébrations du bonheur, paru chez Michel Lafon (dont j'ai eu l'occasion de parler dans ces pages.) Cet article est paru dans le site du magazine Entreprendre. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Jean Winiger « L’œuvre de Grossman nous permet de nous réconcilier avec nous-mêmes »

    Jean Winiger est avant tout un comédien. Homme de théâtre, acteur et metteur en scène, il partage sa vie entre Fribourg et Paris. Sa vie de scène est d’ailleurs relatée dans un récit autobiographique : D’où viens-tu, mon grand ? (L’Aire, 2010). Pendant le confinement, l’idée d’un roman germe alors dans son esprit, prenant pour personnages principaux, la Russie et la France, mais aussi l’écrivain Vassili Grossman, l’auteur du monumental Vie et Destin, né en Ukraine, et futur dissident soviétique, suite à une carrière comme journaliste pour le magazine de l’Armée rouge, qui l’aura conduit à documenter la famine en Ukraine planifiée par Staline (l’Holodomor) et la « Shoah par balles ». Alors que le maître du Kremlin a attaqué l’Ukraine, le 24 février 2022, nous nous sommes questionnés ensemble sur l’origine de l’œuvre de l’écrivain russe, né le 12 décembre 1905, à Berdytchiv, en Ukraine, mais aussi sur la littérature russe du XIXème, et sur la possibilité de réconcilier les irréconciliables. De la tragédie du nazisme dans la première moitié du XXème siècle, jusqu’à la guerre de la Russie de Poutine contre l’Ukraine, et la menace d’une apocalypse nucléaire, nous avons essayé de comprendre par quel chemin nous pouvions arriver collectivement à la lucidité, à la paix, et à la lumière. Et cela tombe bien, car c’est précisément le sujet du nouveau roman de Winiger, intitulé Un amour aveugle et muet. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre, puis dans le numéro 28 de Question de philo du mois de décembre 2022.  Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • J.M.G. Le Clézio, saisir la roue du temps

    La revue Livr'Arbitres m'a demandé pour son numéro de septembre, d'écrire sur un écrivain du sud-est. Je n'avais alors pas beaucoup le choix. Tandis que j'étais encore très jeune, j'habitais à Nice, et l'écrivain qui était l'enfant du pays, c'était J.M.G. Le Clézio. Bien sûr, il y en avait d'autres, comme Louis Nucéra, que j'avais rencontré chez lui, et qui me donna de précieux conseils d'écriture, Raoul Mille, que l'on croisait régulièrement sur sa Vespa, ou Thomas Narcejac, qui habitait près de la gare des trains. Mais Le Clézio était particulier. Il hantait la ville comme une ombre, et à peine vous pensiez le tenir, qu'il vous échappait. Il habitait un immeuble dont les fenêtres  donnaient sur le port de Nice. J'ai souvent fait le pied de grue sous ces fenêtres. Pourtant, pas l'ombre de Le Clézio. Il était déjà reparti...  

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  • Entretien avec Robert Jacquot « Tout miser sur le cerveau est une faute, une méconnaissance de la nature humaine »

    Nous vivons une époque de transition, entamant à la fois un nouveau siècle mais aussi un nouveau millénaire, les bouleversements nombreux, commencent déjà à se faire ressentir, et beaucoup se plaignent du chaos qui règne. De nombreux dangers nous attendent, des défis immenses, le défi climatique, la guerre à nos portes, la crise économique et énergétique, le terrorisme planétaire, à tel point qu’il nous semble que nous vivons un grand basculement. Devant les peurs bien compréhensibles, le politique ne peut pas tout. Il m’a semblé urgent, mais aussi pertinent de m’intéresser à une toute autre approche, une toute autre appréhension de cette période de gros temps. Nous pouvons bien sûr interroger les philosophes, mais pourquoi pas aussi les mystiques. Si Robert Jacquot ne se présente pas comme tel, il a déjà une œuvre, publiée chez La Bruyère, qui analyse le désordre mondial en cours, comme une forme de grand éveil planétaire et salutaire. La thèse est assez curieuse pour donner l’envie d’en savoir plus. J’ai donc rencontré cet écrivain, qui vient de publier Métamorphoses. Prémices d’un effondrement ou saut de conscience (La Bruyère, 2022) où il fait montre d’un regard d’une grande profondeur sur ce saut de conscience individuel et collectif, qui est une sorte de nouveau chemin, de nouvelle vie qui s’offre à l’homme, si ce dernier sait capter en lui la Lumière intérieure qui l’aidera à vivre avec son handicap irréversible, sa si grande fragilité, à condition de s’accepter. Écouter Robert Jacquot, et surtout le comprendre, demande avant tout que l’on décentre, au moins d’un millimètre, son regard habitué sur les choses du monde. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Le réel selon Clément Rosset

    Clément Rosset a été mon maître et mon professeur à l'Université de Nice Sophia-Antipolis. Pour la petite anecdote, je connaissais ce philosophe du réel depuis une émission de Michel Polac, en 1988. C'est alors qu'au lycée, j'ai commencé à feuilleter très timidement ses essais philosophiques, notamment Le Réel, traité de l'idiotie et, bien évidemment, Le Réel et son double. Plus tard, une fois libéré de mes obligations militaires, et alors que j'étais étudiant en deuxième année de droit, un ami me révéla que Clément Rosset enseignait à la fac de philo de Nice. N'en croyant pas mes oreilles, je quittai, après les examens, des études juridiques qui m'ennuyaient à mourir, et m'inscrivis à l'Université des lettres, pour suivre son enseignement. Si toutefois, je me suis retrouvé, au cours de mes études, plus platonicien et stoïcien que schopenhauerien et nietzschéen, et que la philosophie de Cioran me laissait totalement froid, lorsque j'ai reçu des éditions de Minuit L'école du réel, son nouvel essai, je n'ai pas résisté à écrire une longue contribution à cette philosophie, considérée par certains comme secondaire, au regard certainement des cathédrales kantiennes et hégéliennes allemandes, ou grecques, mais toutefois significatives, puisque c'est une sagesse en réalité. Et quoi que l'on puisse en dire, on reviendra toujours à cette brillante philosophie du réel de Clément Rosset. J'ai proposé dans cet article, un état des lieux, certes très personnel, paru dans le numéro 12 des Carnets de la Philosophie, en juillet 2010. Il a fait l'objet d'une conférence au Patronage Laïque de Jules Vallès, le 9 février 2023, dont cette nouvelle version est tirée. La voici en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec l’abbé Renaud de Sainte Marie : Y a-t-il une supercherie du Genre ?

    Ce nouveau siècle déborde d’idéologies, entre le néo-féminisme, l’indigénisme et la théorie du Genre. Ces trois nouveaux mouvements, qui nous sont venus des États-Unis, prétendent se battre à l’intersectionnalité des luttes, en refusant tout débat contradictoire. À propos du Genre, toute critique sera immédiatement condamnée par les militants LGBT, fascisée par l’opinion médiatique, et extrême-droitisée. Cette impossibilité de penser l’idéologie du Genre, en-dehors des thèses autorisées, n’a pas empêché pourtant certains intellectuels de prendre la plume, pour dénoncer une mascarade, voire une escroquerie que l’on impose dans l’espace public comme si désormais le Genre était une évidence pour tout le monde. Cette idéologie, dont on perçoit déjà les abus et les excès, a été analysée dans un petit ouvrage, qui se présente déjà comme un rappel à l’ordre, celui de l’abbé Renaud de Sainte Marie, prêtre et philosophe, qui a publié La supercherie du Genre (Via Romana, 2022). J’ai demandé à le rencontrer pour lui poser quelques questions afin de comprendre ce phénomène de société. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre et dans la livraison n°41 de Livr'arbitres Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Guillaume Millo « Transmettre c’est laisser quelque chose en héritage comme une source d’inspiration »

    Alors que nous vivons une diversité de crises, l’instabilité parlementaire qui présage une dissolution de l’Assemblée nationale, les problèmes énergétiques qui sont autant de problèmes majeurs bientôt, comme celui de l’augmentation des prix qui ne cesse de défier les pouvoirs publics, le dérèglement climatique, la guerre à nos portes, l’insécurité croissante dans les rues de France, sans compter le déboulonnage de la statue de Saint-Michel, symbole du déclin de notre patrimoine, de l’éradication de nos racines culturelles, j’ai questionné l’entrepreneur Guillaume Millo, qui a, me semble-t-il, un rôle énorme à jouer dans cette société moderne. Et, tandis que l’expertise de Guillaume Millo lui a récemment valu de devenir collaborateur du magazine papier Transitions & énergies, également chroniqueur sur Radio Notre-Dame, tandis qu’Emmanuel Macron perdu dans ses éléments de langage a mis comme priorité de son nouveau quinquennat la transition énergétique et l’écologie, pour donner du sens et de l’avenir à nos enfants et petits-enfants, aux vivants et à la planète, dit-il, je me suis intéressé à l’entreprise Rehearth de Guillaume Millo, qui conjugue avec un talent incomparable, et une élégance exceptionnelle, passé et avenir. Pétri d’une dimension humaniste profonde qui guide ses actes, on peut dire que l’homme est très attaché au patrimoine historique de la France et à sa transmission, s’étant donné pour mission de diffuser son savoir appris sur le terrain, afin de le rendre pérenne dans le monde de demain. Conscient qu’il faut en préserver l’ADN tout en le projetant dans le futur avec le souci de protéger la planète, c’est-à-dire de décarboner. Pourtant, cette rentrée sur fond de guerre met l’accent sur tous nos problèmes énergétiques, puisque, désormais, nous devons consommer moins – je ne polémiquerai pas ici sur tous les manquements du gouvernement en matière de sécurité énergétique, mais je n’en pense pas moins ! Interlocuteur de premier choix pour conseiller les entreprises, les particuliers et les pouvoirs publics, afin de préserver la richesse historique et culturelle de nos paysages immobiliers, ce sont certainement des entreprises comme Rehearth, ancrées dans nos préoccupations actuelles de développement durable, qui permettront sûrement de réhabiliter nos biens tout en respectant le patrimoine de France, lui donnant de la densité et de l’épaisseur. Ce n’est certainement pas en rasant nos églises, nos bâtiments anciens, en voulant faire table rase du passé, que nous bâtirons l’avenir de notre humanité. J’ai donc été à la rencontre de l’auteur de Comment réhabiliter votre bien immobilier (Rehearth, 2022), parce que Guillaume Millo sait où il souhaite nous emmener, quelle est sa mission de vie. Il a eu la gentillesse de répondre à mes questions. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre.  Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Erik Andler et Jean-Marc Bastière « Si le temps marque notre finitude, il n'est pas fatalement un malheur »

    Le temps est un mystère. Mais qu’est-ce que le temps ? L’artiste Erik Andler qui expose pour la première fois à Paris consacre une œuvre au temps. Jean-Marc Bastière, philosophe et journaliste au Figaro a consacré un très beau livre au temps Les sept secrets du temps (Stock, 2018). À l’occasion de l’exposition d'Erik Andler qui s’intitulera « Distorted Date » et qui aura lieu du jeudi 09 (vernissage) au jeudi 23 février (clôture) 2023 à l'Hôtel La Louisiane dans le VIème arrondissement de Paris, j’ai profité d’un tour de table pour en savoir plus sur le temps, même si cette notion est l’une des plus complexes en philosophie. Cet entretien est paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Spinoza, une œuvre de sagesse

    L'oeuvre complète de Spinoza vient de paraître dans une nouvelle édition et de nouvelles traductions dans la Pléiade, chez Gallimard. C'était l'occasion de proposer une radiographie de l'objet lui-même, et de l'ensemble de la philosophie de ce sage de l'Occident, qui fut, comme un philosophe providentiel, pour toute âme de bonne volonté qui aura le courage et la patience d'affronter cette oeuvre aussi subversive et dérangeante, que roborative et libératrice. Cette recension a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question de Philo n°29 d'avril 2023 Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Stéphane Barsacq « Ma morale est avant tout une morale du feu poétique »

    Stéphane Barsacq publie le dernier volume d’une trilogie de pensées, de maximes et d’aphorismes. Un ouvrage à savourer, à méditer. Cet entretien a paru dans le Livr'arbitres de la livraison n°41. Il est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.

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  • Jim Harrison, « La recherche de l’authentique », cette si fragile façon d’exister

    Ça fait cinq ans que Big Jim nous a quitté. Cinq ans que nous nous sentons orphelins. Pour nous consoler sûrement, les éditions J'ai lu font paraître un dernier texte, last but not least, traduit et préfacé par Brice Matthieussent, qui écrit «  je crois que Jim manque à tous ceux qui, de près ou de loin, l'ont connu ». Comment ne pas abonder dans son sens ? Cette recension est parue dans Boojum. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Maximilien Friche « Mes héros sont à droite… peut-être, et pas sûr »

    Maximilien Friche est un jeune romancier prometteur. À 47 ans, il a déjà trois romans à son actif. Écrivain plutôt confidentiel, il n’en est pas moins un auteur à remarquer. Son dernier roman, Apôtres d’opérette, il me l’a envoyé, et j’ai pu découvrir une fable tragi-comique, sur la littérature qui se voudrait un acte, ou un geste révolutionnaire. Ancien membre de l’équipe éditoriale des éditions du Ring, il a connu Maurice G. Dantec, qui fut lui-même une sorte d’écrivain et d’aventurier des temps modernes, à la croisée de multiples chemins. Ce fut donc l’occasion, dans une entrevue-fleuve, de revoir la littérature sous le jour de l’idéal révolutionnaire, et de se rappeler un Dantec, vers la fin de sa vie, alors qu’il accusait son éditeur, et ses correcteurs, dont il faisait partie, d'être de mauvaises « conseillères de style ». Cet entretien a paru dans la revue en ligne Boojum. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Pierre Boutang, « Précis de Foutriquet », un contre-Giscard corrosif et virtuose

    Voici un pamphlet de Pierre Boutang, Précis de Foutriquet, quelque peu oublié, qui en aura inspiré un autre très récemment, durant la campagne présidentielle de 2022, Foutriquet de Michel Onfray, sans que le philosophe médiatique ne témoigne de sa gratitude envers le maître. Cela inspirera, au passage, une préface à Olivier Véron, « Sans Onfray », dont le titre est un pied-de-nez facile mais mérité. Publié pour la première fois aux éditions Libres-Hallier en 1981, voici une nouvelle édition augmentée de notes et d’une préface, que je recommande, au moins pour le plaisir de lire une écriture vive et corrosive, un goût de la littérature, et de la virtuosité du style, qui n’épargne rien à son pire adversaire, ni même aux autres non plus. Cette recension paraîtra dans le Livr'arbitres de la livraison n°41 et 44 Elle est désormais en accès libre dans l’Ouvroir.

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  • Que faire face à la fin de l’autorité ?

    Faut-il encore présenter Alain Renaut ? Professeur à la Sorbonne, et philosophe, auteur de nombreux ouvrages, il explore les choix de valeurs qui correspondent au projet fondamental de la modernité et des sociétés démocratiques. Cette tribune a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question de Philo n° 29 d'avril 2023. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Olivier Bauer : Phénomène #MeToo : les hommes sont-ils tous en danger ?

    Olivier Bauer est psychanalyste en cabinet. Depuis les débuts du mouvement #MeToo aux États-Unis, et #BalanceTonPorc en France, il reçoit en thérapie des hommes brisés, dépressifs suite à une histoire d’amour avec une femme qui a mal tourné. C’est donc par le moyen d’un premier roman Ni Pantins ni soumis (Le Sémaphore, 2022), qu’Olivier Bauer a décidé de sonner le tocsin, au regard de ces évolutions sociétales profondes, certainement positives quand on parle de libérer la parole des femmes victimes, mais dangereuses et inquiétantes si l’on prend en compte les nombreuses logiques de destruction poussées à l’extrême par le mouvement #MeToo. Roman d’une dérive, le premier roman de ce psychanalyste n’a pas plu à tout le monde, au point de recevoir de nombreuses menaces sur les réseaux sociaux. Je suis entré en contact avec ce nouvel auteur, et je l’ai interrogé sur un phénomène de société qui doit être très vite réglementé. L’urgence semble désormais évidente. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre.  Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Entretien avec Sabine Prokhoris et Gérald Wittock : L’ère #MeToo, quelle société pour demain ?

    Une nouvelle génération de féministes agite la société française aujourd’hui. Avec le phénomène de masse #MeToo qui nous est venu des États-Unis, et qui a inspiré chez nous #BalanceTonPorc, les relations hommes-femmes ont été remises en cause. Si certains pensent que c’est une avancée positive de la société, et que cela représente un mouvement social encourageant la prise de parole des femmes, en matière de viol et d’agressions sexuelles, ce que l’on peut saluer en effet, il serait toutefois un peu facile, voire réducteur de ne pas voir aussi, dans ce nouveau phénomène, les chasses à l’homme qui ont eu lieu, notamment dans les milieux médiatiques et politiques, faisant de toute accusation sur les réseaux sociaux ou dans les médias une preuve absolue de la culpabilité de celui qui était dénoncé par la vindicte. Or, si l’on analyse cette dérive, qui consacre le temps médiatique au détriment du temps judiciaire, et qui dépossède les tribunaux au profit des supposées victimes, qui se font vengeance sur les réseaux sociaux, nous ne faisons pas seulement face à un progrès en matière d’égalité hommes-femmes, mais nous plongeons dans une nouvelle société, où les procès staliniens remplacent progressivement les procès équitables, et où le hashtag suffit à faire condamner la personne visée. Or, que cherche cette nouvelle vague de néoféministes ? Cherche-t-elle des purges ? À fonder un homme nouveau, en gommant les différences sexuelles, les relations amoureuses, la virilité, en criminalisant le désir masculin ? Avec Sabine Prokhoris, philosophe et psychanalyste, (Le mirage #MeToo, Le cherche-midi, 2022) et Gérald Wittok, musicien et romancier, (Le diable est une femme, Éditions Verrone, 2021) nous avons fait un tour de table, afin de réfléchir à cette nouvelle forme de judiciarisation des rapports sociaux. Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre et Question Philo du mois d'avril 2023. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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