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La psychothérapeute Marie de Hennezel est devenue célèbre en 1995 avec un premier essai, La mort intime, préfacé par François Mitterrand. Depuis, elle a exploré notre rapport intime à la vieillesse, mais aussi toutes ces perceptions « inhabituelles » et qui témoignent d’un lien à l'invisible que nous aurions peut-être tous sans le savoir. Dans cet entretien, Marie de Hennezel affirme que nous sommes encadrés d’invisible, un sujet qu’il est encore difficile d’évoquer en société. Cet entretien est paru dans le site du mensuelEntreprendreet le numéro 32 deQuestion de Philo. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Cet article a été écrit pour une rubrique, que je tenais dans le Magazine des livres, qui avait pour titre : La philosophie par gros temps. J'y pars d'un problème, à mon sens majeur : pourquoi l'homme ne peut-il se passer de ses passions tristes, et de son agressivité ? Paru dans le site duMagazine des Livres, en janvier 2010, le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le Magazine des Livres m'a demandé de recenser les derniers Carnets noirs (Léo Scheer, 2009) de Matzneff, dit Gab la rafale, même si je préfère le renommer Matzneff le maudit, tant les critiques et les reproches se multiplient autour de moi et dans la rédaction. On s'obstine à ne voir que l'écrivain sulfureux, amateur de midinettes, là où, préférant la littérature au scandale, je m'attache plutôt à voir l'auteur d'un merveilleux dictionnaire philosophique, Le taureau de phalaris, ou d'une oeuvre qui célèbre l'amour, la joie et la vie. Je sais qu'un parfum de scandale entoure systématiquement l'auteur de Maîtres et complices, et qu'il en est largement responsable. Pourtant, je m'en tiens à lire ce qui m'intéresse, et à délaisser ce qui me déplaît. Une oeuvre, aussi dangereuse soit-elle, n'est jamais à prendre en bloc. C'est ainsi que je privilégie, à l'amant de nymphettes (que je réprouve comme tout un chacun), l'amoureux de l'amour, l'admirateur des stoïciens, de Byron et de Schopenhauer, l'ami de Montherlant, de Hergé et Cioran. Malgré les fortes réprobations dans le comité de rédaction, ma chronique est tout de même parue, dans l'indifférence générale, au sommaire du numéro 20 du magazine, qui était en kiosque durant les mois de novembre et décembre 2009 ; elle est désormais accessible dans l'Ouvroir.