Michel Foucault sur les ondes

Cette recension a paru dans Livr'arbitres numéro 49.
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Cette recension a paru dans Livr'arbitres numéro 49.
C’est le quarantième anniversaire de la mort de Michel Foucault. L’occasion pour l’écrivain Vincent Petitet de faire la lumière sur l’œuvre et la pensée d'un des grands intellectuels de la deuxième moitié du XXème siècle en 50 pages. Mon compte-rendu paru dans Le Contemporain.
C’est littéralement l’événement éditorial de l’année philosophique. Nous ne l’attentions plus ! Pourtant, tout le monde savait que Michel Foucault travaillait sur un quatrième tome de son Histoire de la sexualité. Trente ans plus tard, voilà Les Aveux de la chair enfin en librairie. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici un article paru dans Les Carnets de la philosophie, en avril 2009. Si je trouve la philosophie de Michel Foucault à la fois inutile et dangereuse à plusieurs égards, il est fort intéressant toutefois de plonger dans son oeuvre, au moins pour bien la connaître, et ainsi, parfaitement la combattre. Voici donc, cette très longue étude, que j'ai tirée de ma lecture du premier tome de son Histoire de la sexualité. Elle est désormais accessible dans l'Ouvroir.
Si l’on recherche chez Foucault une définition du pouvoir, on en trouvera une finalement assez simple, mais risquant néanmoins de bousculer toutes nos idées préconçues. Selon Foucault, le pouvoir est un rapport de forces. Vous noterez que le terme de « force » ici, n’est pas écrit au singulier. En effet, pour Michel Foucault, le rapport de force se conjugue toujours au pluriel. Car précisément, tout rapport de forces est nécessairement un « rapport de pouvoir ». On pourrait même dire avec Foucault qu’une force est toujours en rapport avec une autre, ce qui la conduit à n’avoir aucun autre objet ni aucun autre sujet que la force elle-même. Toute force est alors déjà un rapport, et ainsi un « pouvoir ». Cet article est paru dans les Carnets de la philosophie, numéro 3, d'avril 2008. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.