Jim Harrison, « La recherche de l’authentique », cette si fragile façon d’exister
Ça fait cinq ans que Big Jim nous a quitté. Cinq ans que nous nous sentons orphelins. Pour nous consoler sûrement, les éditions J'ai lu font paraître un dernier texte, last but not least, traduit et préfacé par Brice Matthieussent, qui écrit « je crois que Jim manque à tous ceux qui, de près ou de loin, l'ont connu ». Comment ne pas abonder dans son sens ? Cette recension est parue dans Boojum. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.