Blaise Cendrars, l’errance poétique
Après son œuvre autobiographique, Blaise Cendrars entre en Pleïade, par la porte du roman et de la poésie cette fois. Deux tomes qui raviront les amateurs et les inconditionnels, dirigés par Claude Leroy, montrant un écrivain qui n’était pas seulement sur le départ, mais qui était aussi un « paradoxe fascinant ». Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.