Relire Bourdieu
Flammarion publie en poche, dans la collection GF, un ouvrage consacré à Pierre Bourdieu, titre qui fait référence à un colloque qui se tint le 16 novembre 2002 à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, à Paris.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Flammarion publie en poche, dans la collection GF, un ouvrage consacré à Pierre Bourdieu, titre qui fait référence à un colloque qui se tint le 16 novembre 2002 à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, à Paris.
Entre « défaire » et « refaire », Georges Balandier nous raconte l’histoire d’un monde qui se « transforme sans achèvements identifiables ».
Johan Heliot est un auteur de SF encore jeune, ayant fit sensation avec la publication de son premier roman La lune seul le sait[1], en 2000. Depuis, il s’est imposé comme l’un des nouveaux chefs de file de l’imaginaire francophone.
Après la sacro-sainte ère du « copyright », défendue à grand renfort d’avocats, de procès, et de tentatives répressives en tous genres, voici venu le temps du : copyleft !
Grand spécialiste anglais du cinéma et des littératures de genre, Kim Newman, on retrouve, en Folio SF, un inédit : Hollywood blues, qui nous décrit Hollywood comme une ville aux pouvoirs surnaturels. C'est son premier roman : il date de 1989. Cette recension est parue dans Boojum. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
La question de l’Europe n’a jamais autant fait écrire, parler, que depuis de débat sur le référendum à la Constitution européenne, débat dans lequel une émeute électorale selon certains « spécialistes » aurait dit « Non ! » à Kant, aux lumières, et… à la « fin de l’histoire ».
Le dernier Nothomb, lu en une heure à la Fnac, en sirotant au bar un petit café. Toujours la peinture d’une certaine laideur... Je vous livre mes impressions à chaud, noté dans un petit carnet, en accès libre dans l'Ouvroir.
Certains romans sont écrits pour dénoncer les petits mécanismes pervers qui nous rendent dépendants d’un système tyrannique, et lutter contre l’inhumanité ambiante qui nous éloigne sans cesse de notre bonheur. C'est grâce à ce roman rapide et sans concession, que j'ai rencontré Franca Maï. Nous sommes devenus amis, et elle m'a invité à venir m'exprimer dans sa revue en ligne résistante e-torpedo. J'y ai largement contribué, et j'ai publié cette chronique dans le Journal de la culture, en 2005. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
C'est d'une urgence que ce blog est né. La « Révolution de velours » du 29 mai 2005, a jeté l’Europe dans le trouble et une crise majeure si l'on écoute la « pensée correcte » actuelle et les spécialistes de tout acabit prêts à tout pour faire la peau au moindre tenant du « Non ». C'est donc au milieu de cette pathétique tempête dans un verre d’eau glacée que je me suis senti poussé par un élan que ne m'explique pas encore, à non seulement relire le génialissime Krisis de Husserl, mais à en commenter ses pages, quatre mois plus tard, jour pour jour. Ce billet est donc le premier de l'Ouvroir. Il méritait bien de prendre son envol à zéro heure zéro zéro, comme la chouette de Minerve prend elle-même son envol au début du crépuscule. J'ai donc démarré à partir de ce grand texte et des réflexions profondes qui en émanent, tout à fait dignes de ce grand phénoménologue allemand, Husserl, qu'il s'agit de désormais mieux cerner, pour saisir quelque chose, je l'espère, de cette époque en détresse...