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Folie sanitaire (3). Il est interdit de vendre des livres

Comment doit-on recevoir l'annonce totalement surréaliste, - je vais finalement rejoindre certaines analyses très sérieuses qui nous disent que nous sommes désormais plongés en pleine dystopie -, disant que les libraires, y compris Fnac ouverte, mais empêchée de vendre ses livres et ses disques, devront garder leurs portes fermées ? Il était urgent de faire un rapport de police dans l'Ouvroir. C'est fait ! Voici donc la chronique d'une folie sanitaire du début de ce siècle.

Au début, j'ai pris cela comme une blague. Je pensais que la presse avait mal entendu l'annonce. Et puis quelques messages plus tard, je réalisais dans l'effroi, que c'était bien vrai.
 
En France, terre des Lumières, sous prétexte d'un virus, à peine plus dangereuse qu'une grippe, l'exécutif en profite pour forcer les libraires à fermer, et les éditeurs à ajourner voire annuler leurs parutions à venir...
 
Comment appelle-t-on cela ? Est-ce que quelqu'un à un mot pour nommer ce qui est en train de se passer sous nos yeux, et dans l'indifférence générale, - les Français ayant préféré fuir dans les campagnes ou à la montagne ?
 
Si vous êtes simplement outré ou scandalisé, c'est bien que vous n'avez pas compris ce qui se passe, sous couvert de Covid...
 

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Information du 30 octobre 2020

 

Nous vivons une période noire, obscure, sans précédent...
 
J'ai le sentiment net que mes contemporains (excepté quelques-uns toutefois) sont incapables de se représenter ce qui arrivera demain, par manque d'anticipation ou de jugement.
 
Nous avons eu la guerre en mars 2020, l'exode (j'y reviendrai dans un prochain post) en octobre 2020, les bombardements de la culture et de la vie nocturne en automne, l'occupation, la police des masques, l'enfermement. Voilà qui pourrait nous terrifier, et à juste titre, et pourtant le peuple français s'en accommode...
 

covid-19,fermeture des librairies,soljenitsyne

Tweet du 30 octobre 2020

 
Ce que j'en retiens de ce que m'a rapporté ma mère ou ma marraine (respectivement 11 et 14 ans durant la SecondeG mondiale et résidant à Paris 8e/14e) c'est que les Juifs eux-mêmes ne voyaient pas la malédiction peser sur eux.
 
Pareille malédiction pour le Goulag russe. Pendant 40 ans, l'Occident n'a pas voulu les voir. Pourtant, dès 1930, on en parlait. En 1950, il était décrit dans des livres. Mais il faudra Soljenitsyne, et des centaines de témoignages, pour que l'Occident cesse avec son déni freudien et commence à ouvrir les yeux...
 
Nous sommes en plein dedans...
 


"1984" : l’oeuvre d’Orwell, un miroir de nos existences en 2020 ?

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