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  • Houellebecq, le désir insatiable de consolation

    Après avoir écrit et publié dans la presse littéraire deux très longues analyses de l'oeuvre de Houellebecq, la première parue en 2005, et reprise dans mon essai Les Âmes sentinelles, en 2011, et la seconde écrite en 2015, et parue dans le Grand Genève Magazine, il était temps de réaliser une synthèse. C'est aussi, grâce à cette véritable enquête littéraire, dans laquelle Agathe Novak-Lechevalier décrypte, dans son essai Houellebecq, l’art de la consolation, les livres, et l’empreinte laissée dans les lettres françaises par l’écrivain français le plus plébiscité mondialement, que je suis parvenu à faire un point, afin de de rétablir des vérités et rendre raison à... Houellebecq, souvent mal compris et encore honnis en France ; il me restera toujours en mémoire, la réaction (presque violente) de Tahar Ben Jelloun, à table, en janvier 2003, alors que nous déjeunions dans le Marais avec un ami commun, à Paris, lorsque j'eus le front de lui dire que la littérature de Houellebecq comptait. Il était donc temps de reprendre sa poésie et ses romans, qui sont le triomphe de la consolation française, et de la littérature fin de siècle. Recension parue dans la revue en ligne Boojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.

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  • Vive Navarre !

    C'est son nouvel éditeur, qui m'a convié à une soirée spécialement consacrée à cet écrivain "hors-normes", à l'Hôtel de ville de Paris. Organisée par l'Association des amis d'Yves Navarre, j'ai eu le plaisir de recevoir ce premier tome des œuvres complètes de l'écrivain. Heureux d'assister à cette soirée, c'est avec une vive délectation que je me suis plongé dans cet ouvrage, redécouvrant avec joie des textes d'Yves Navarre, lus très jeune, et écrits dans les années 70, par cet auteur beaucoup trop oublié à mon goût aujourd'hui. Cette publication qui n’aurait d'ailleurs pas été possible, sans le courage de l’éditeur Henri Dhellemmes, ni sans son audace et sa ténacité, puisque cette noble ambition doit normalement le mener sur de nombreuses années afin de réussir cette entreprise gigantesque mais salutaire pour la littérature et pour l’édition, ainsi que pour l’auteur, injustement enfermé dans l’enfer des bibliothèques depuis bien trop longtemps. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir

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