Pour Jean d’Ormesson la vie était une fête en larmes. Cette très belle formule, il la devait à la philosophe Jeanne Hersch. Il y avait, depuis, ses débuts en littérature, une vraie jubilation mêlée à une forme d’allégresse désespérée dans chacun de ses livres. Et à son immense popularité on pouvait ajouter un art certain de la conversation, ce qui en fit un subtil hôte durant près de cinquante ans. Le voici, entrant dans la Pleïade, revenir avec un second tome, composé en grande partie de textes autobiographiques.
le figaro
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Jean d’Ormesson, la littérature à l’estomac
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Houellebecq, le désir insatiable de consolation
Véritable enquête littéraire, Agathe Novak-Lechevalier décrypte dans Houellebecq, l’art de la consolation, les livres et l’empreinte dans les lettres françaises l’écrivain français plébiscité mondialement. afin de rétablir des vérités, faire le point, rendre raison à... Houellebecq, souvent mal compris et honnis en France, dont la poésie et les romans sont le triomphe de la consolation française, et de la littérature fin de siècle.
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Jules Renard ou le journal de poil de carottes
« … je n’aime que la vérité » (Journal, 1er janvier 1901).