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Pour Jean d’Ormesson, la vie était une fête en larmes. Cette très belle formule, il la devait à la philosophe Jeanne Hersch. Il y avait, depuis, ses débuts en littérature, une vraie jubilation mêlée à une forme d’allégresse désespérée dans chacun de ses livres. Et à son immense popularité, on pouvait ajouter un art certain de la conversation, ce qui en fit un subtil hôte durant près de cinquante ans. Le voici, entrant dans la Pleïade, revenir avec un second tome, composé en grande partie de textes autobiographiques. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Après avoir écrit et publié dans la presse littéraire deux très longues analyses de l'oeuvre deHouellebecq, la première parue en 2005, et reprise dans mon essai Les Âmes sentinelles, en 2011, et laseconde écrite en 2015, et parue dans leGrand Genève Magazine, il était temps de réaliser une synthèse. C'est aussi, grâce à cette véritable enquête littéraire, dans laquelle Agathe Novak-Lechevalier décrypte, dans son essai Houellebecq, l’art de la consolation, les livres, et l’empreinte laissée dans les lettres françaises par l’écrivain français le plus plébiscité mondialement, que je suis parvenu à faire un point, afin de de rétablir des vérités et rendre raison à... Houellebecq, souvent mal compris et encore honnis en France ; il me restera toujours en mémoire, la réaction (presque violente) de Tahar Ben Jelloun, à table, en janvier 2003, alors que nous déjeunions dans le Marais avec un ami commun, à Paris, lorsque j'eus le front de lui dire que la littérature de Houellebecq comptait. Il était donc temps de reprendre sa poésie et ses romans, qui sont le triomphe de la consolation française, et de la littérature fin de siècle. Recension parue dans la revue en ligneBoojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Cette longue étude, m'a été demandée par leMagazine des Livres, pour un dossier sur les journaux intimes des écrivains. Elle est parue dans le numéro 24, du mois de mai-Juin 2010. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.