En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cherchez la femme ! Alors que le mouvement néo-féministe sévit à l'intersection des mouvements transgenre et indigéniste, je montre dans cette tribune un télescopage malheureux, avec pour conséquence la naissance d'une nouvelle génération, filles et fils de Babel. Ma tribune parue dans le site du magazine Entreprendre et dans Question de Philo, n°27, de septembre 2022.Désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Après avoir écrit et publié dans la presse littéraire deux très longues analyses de l'oeuvre deHouellebecq, la première parue en 2005, et reprise dans mon essai Les Âmes sentinelles, en 2011, et laseconde écrite en 2015, et parue dans leGrand Genève Magazine, il était temps de réaliser une synthèse. C'est aussi, grâce à cette véritable enquête littéraire, dans laquelle Agathe Novak-Lechevalier décrypte, dans son essai Houellebecq, l’art de la consolation, les livres, et l’empreinte laissée dans les lettres françaises par l’écrivain français le plus plébiscité mondialement, que je suis parvenu à faire un point, afin de de rétablir des vérités et rendre raison à... Houellebecq, souvent mal compris et encore honnis en France ; il me restera toujours en mémoire, la réaction (presque violente) de Tahar Ben Jelloun, à table, en janvier 2003, alors que nous déjeunions dans le Marais avec un ami commun, à Paris, lorsque j'eus le front de lui dire que la littérature de Houellebecq comptait. Il était donc temps de reprendre sa poésie et ses romans, qui sont le triomphe de la consolation française, et de la littérature fin de siècle. Recension parue dans la revue en ligneBoojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici un entretien philosophique autour de la crise du sens que connait aujourd'hui l'Occident, et des conséquences de ce que le philosophe Jean-François Mattéi appelle la barbarie intérieure, qu'il a diagnostiquée dans un livre portant le même titre, paru en 1999, aux PUF. J'ai eu l'occasion de le rencontrer lors de la parution de son livre Le Regard vide, chez Flammarion, qui traite à juste titre de l'épuisement de la culture européenne. Le philosophe platonicien a d'abord été mon maître et mon professeur à l'Université de Nice Sophia-Antipolis, au début des années 90, avant de devenir un ami. Il a accepté de me retrouver dans une brasserie, place du Palais, dans la vieille ville de Nice, où nous avons longuement bavardé, pour Les carnets de laphilosophiedans lesquels cet entretien est d'abord paru. Désormais, il est disponible dans l'Ouvroir.