Franca Maï ou la parole étouffée
En 2003, paru un roman sous le titre évocateur : Rose bonbon, de Nicolas Jones-Gorlin. Son objet : la dérive d’un pédophile. Écrit à la première personne du singulier, généreux en détails, ce livre de littérature générale créa un tollé avant de disparaître dans un oubli déconcertant. Voici le roman inverse, nouvel opus de Franca Maï, que l'auteur, également amie, m'a fait envoyé par son éditeur, et qui m'a évidemment emporté, comme chacune de ses missives, originales, hors du temps, et si peu comprises par nos contemporains.