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Diafoirus à la Maison blanche

Depuis maintenant plusieurs semaines, on s'excite sur les réseaux, on se félicite de la victoire de Biden, alors que d'autres dansèrent dans les rues de New York ou Los Angeles sur des airs de "déjà-vu" à chaque élection d'un pseudo-libérateur de rien du tout.

 
Enfin, les excités qui ont conspué Trump, on ne sait pourquoi, abreuvés sûrement des médias officiels, peuvent exprimer leur joie. On se croirait à la libération en 1945. Ils ont confondu la victoire d’un diafoirus avec l’arrivée d’un de Gaulle sur les Champs-Élysées. Cette victoire, ils pensent l’avoir méritée, conquise. Exit Trump écrivent le hargneux de tous poils. Les rêves sont faciles, la réalité l’est moins...
 
Par exemple, personne ne s’est questionné sur l’état de santé du candidat. Pourquoi choisir le plus fragile de l’équipe des Démocrates et surtout le plus malade (atteint de la maladie d’Alzheimer). Personne ne s’est questionné sur le programme de ce candidat, dont le seul but était le « dégagisme » pourtant bien critiqué en France, lorsqu’il s’agit de sortir Sarkozy, Hollande ou Macron. Personne ne s’est questionné sur ses pertes de mémoires et son énergie de plante verte.
 

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Biden, le candidat réputé pour ses gaffes interminables

 
Pourquoi les médias se sont-ils ainsi déchainés pour faire entrer un diafoirus à la Maison blanche ?
 
Puisque vous ne vous êtes jamais penché sur le mandat de Trump, que vous n’en connaissez que la mèche folle et les courbes de son épouse Mélania, peut-être que vous devriez au moins vous interroger sur les vraies raisons de cette élection.
 
 
En Trump je voyais un outsider, un homme libre, indépendant, qui ne se soumettait pas à l’administration de Washington. Ils l’ont pris pour un clown parce que les médias l’ont dépeint comme tel. Le propre même des crétins, qui demandent qu’on leur serve tout chaud dans l’assiette les informations dont ils ont besoin pour dormir en paix.
 

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Qui a fait élire l'autre : Kamala ou Joe ?

 
Ils n’ont pas vu que Trump se battait contre une certaine administration américaine, que l’on peut appeler l’État profond, il l’a nommait « le marécage », et que cette administration a planté là, un gaffeur, un sénile en fin de vie (enfin quoi ! nous savons tous qu'il ne finira pas son mandat !) pour nous imposer par la force et la coercition un nouveau monde.
 
Lorsque je pense à la supposée défaite de Trump, et ses propos sur la Chine ; le monde que Biden va imposer aux Américains, et, par ricochet, aux Européens, sera certainement bien pire que le monde de Trump ! Toutes ces prophéties, prononcées par un fous clame-t-on des deux côtés de l'Atlantique, cela me rappelle la révolution en Iran, les propos du Shah, lorsque, à la veille de son départ, il annonçait que l’Islam politique serait le futur de ces révolutionnaires qui confondaient l’idéal de l’imagination avec la raison. Ses propos arrivèrent trop tôt...
 
Ceux de Trump aussi...
 
L’avenir nous le dira...
 

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La presse étrangère, nullement neutre dans cette
campagne, s'extasie de la victoire de son favori

Commentaires

  • Joe Biden et sa 3ème participation à la course aux présidentielles....

  • "Joe Biden existe-t-il vraiment? A-t-il vraiment dérapé comme on l’a vu déraper? A-t-il vraiment tenu les propos qu’il a tenus? Au vu de la situation, il est sage et logique de répondre par la négative. Tout cela n’est jamais arrivé et Joe est en parfaite santé mentale. Voici pourquoi."
    Après un rappel d'une toute petite partie du cursus fuligineux de Sleepy Joe et un tas d'autres remembrances utiles à s'étonner de l'enthousiasme de la médiature internationale à le voir s'installer, Slobodan Despot conclut :
    "Pourquoi les journalistes et les sondeurs qui avaient annoncé contre toute vraisemblance une déferlante bleue venant balayer le rouquin et son dernier carré de crétins blancs racistes, se discréditeraient-ils en reconnaissant l’ampleur de la vague rouge alors qu’ils peuvent tout simplement l’ignorer, de même qu’ils ignorent leurs propres et constantes erreurs de jugement ? Dans un univers entièrement médiatisé, il est plus aisé de maquiller ou d’effacer la réalité que de remettre en question les présupposés idéologiques. Aussi la fiction se poursuivra de plus belle. Jusqu’à ce que, comme dans l’ex-URSS, la réalité la rattrape sans prévenir et la fasse crouler du jour au lendemain.
    Dans l’intervalle, et quelle que soit l’issue de ce pugilat électoral, cette élection et les quatre années qui l’ont précédée auront été une incroyable mine d’enseignements. Retenons-en trois pour commencer:
    1) On aura appris que les structures également nommées État profond n’ont plus besoin de personne pour gouverner et que «leur» candidat pourrait être littéralement un simple d’esprit. Cela donne corps à l’idée d’une démocratie simulacre chère à Chomsky et d’une Amérique régie par une aristocratie financière telle qu’exposée, notamment, par le professeur Carroll Quigley, insider du système et maître à penser de Bill Clinton (et sur qui nous reviendrons).
    2) On aura compris pourquoi les Démocrates ont, par deux fois, risqué le suicide en écartant le seul candidat capable de battre Trump dans la vie réelle : le socialiste dogmatique et populiste Bernie Sanders aurait sans doute plus résolument attaqué la mafia Biden-Clinton que le rouquin vantard, lui-même issu de l’oligarchie.
    3) On aura saisi la puissance de la mise en réseau de l’information, décentrée et «citoyenne», qui aura permis à Trump de faire jeu égal avec le candidat des médias de grand chemin malgré l’hostilité irrationnelle du mainstream. Une hostilité que Trump a délibérément entretenue et qui a conduit le mainstream à se discréditer jusqu’au bout — notamment en diffusant n’importe quel bobard lié au Russiagate — tout en ne réussissant pas à entamer la popularité de l’adversaire.
    Rien que pour la leçon de combat médiatique qu’il a fournie au long de ces quatre années, faisant entrer la réalité du deep state dans la conscience et le langage communs, Donald Trump pourrait être rangé parmi les grands lanceurs d’alerte de ce début de millénaire. Ce n’est pas le moins cocasse des paradoxes." Slobodan Despot

  • Et vu de France...Que dire...Les français ont toujours regardé la politique américaine comme des bisounours.

  • C est surtout l'agonie des médias de masse.

  • Je suis d'accord sur l'hostilité des médias mais absolument pas d'accord sur votre bilan de la politique étrangère de Trump. Il n'a en rien bloqué une Chine qui ne cesse de gagner en puissance Il a eu tort de s'appuyer sur les monarchies pétrolières contre l'Iran. Il n'est pas pour grand chose dans la chute, que je crains provisoire, de Daesh. Sur le Proche Orient le rapprochement d'Israël avec les EAU est positif mais loin d'être suffisant. Alors vous avez raison de dire qu'il a poursuivi, à quelques exceptions d'ailleurs négatives comme l'Iran, la politique d'Obama et logiquement a obtenu la même absence de résultat Je crains en effet que ce ne soit pas différent avec Biden

  • Trump, qui reçu d'innombrables prêts des oligarches russes à travers Deutsche Bank, en quoi est-il libre? Avec Putin créditeur, est-il libre? (D'ailleurs, il avait six faillites dans son sac) Quelqu'un qui n'a jamais lu un livre, est-il libre?

  • Le déni du réchauffment climatique et le crime qui a mené à la défaite de Trump. Personne N'en parle ici.

  • Gloire à vous !

  • Ou la cirrhose
    Tout dépend

  • Je pense que s'il y a eu la fraude massive que certains décrivent avec moult détails (bien sur hors medias main-stream), c'est loin d'être terminé, et à mon avis ce sera mieux pour la planète. D'ailleurs certains, comme Putine, ne se sont pas pressés de saluer la victoire du "president-elect".

  • Merci Marc Alpozzo !

  • Biden est totalement bidon !

  • C’est fou les gens jugent sur l’apparence , Trump en jouait et c’est peut-être ça que cela lui a joué des tours . En attendant pendant ces quatre année à la présidence Trump n’a pas fait de guerre . Après le réchauffement climatique c’est une histoire pas très claire , ça me fait penser à HARP . Là aussi on nous culpabilise comme si c’était notre faute . La faute est aux politiciens , à la course de l’espace , aux chemtrails ,ect

  • Son pire ennemie ? La syrose

  • Je ne m'y fais pas à cette victoire....
    Et j'ai cette tendance à me méfier de ceux qui n'ont pas été élus avec le vote du peuple et c'est clairement le cas de Biden (je n'arrive même pas à écrire ce nom!)... 4 ans vraiment, avec lui et, pire encore, Malaka Harris?!?!?
    Non vraiment je ne m'y fais pas...
    J'ai encore ce goût amère du lynchage planétaire que fut la gouvernance Trump: cette kabbale a été sans précédent et d'autant plus dégueulasse que personne n'a rien trouvé à redire à cette persécution mondialiste...

  • @Emmanuel Boutang : Je n'en doute pas une seconde. Biden aux USA à une réputation d'escroc. Mais ça va être difficile de faire pencher la balance maintenant. Il y a un écart énorme et les médias ont validé à eux seuls la victoire de Biden. C'est la mediacratie. C'est eux qui font la pluie et le beau temps. À croire que le délit d'opinion est supérieur à la justice. Mais si Trump veut renverser la vapeur avec des preuves, son dossier a intérêt à être explosif.

  • De ce que j'ai vu, il l'est, après ça peut aussi être de fausses informations,... En tout cas je ne me fie absolument pas aux médias francais. Ce qui est sur c'est que si cette fraude s'avérait exacte, cela mettrait Trump dans une position de force inégalée, et ce serait un signe encourageant pour renverser cette médiocratie. Je rêve sans doute, mais nous verrons bien, j'ai le sentiment que ce n'est pas fini.

  • Une des nombreuses tares politiques du pays, c’est son système électoral archaïque, inchangé depuis plus de deux siècles. Ça fait plus que désordre, ça fait ce que je dénonce : connerie crasse apolitique, avec fixation définitive de la fierté nationale sur ce qui a été fait à l’origine, il y a près de 250 ans et qui *ne doit plus*, pour eux, jamais changer...

  • L'avenir nous le dira Laissons le temps au temps
    La politique c'est ingrat et difficile
    Chaque pays attend un homme providentiel

  • @Pierre Ménat sur la Chine sa politique devait être bonne car les démocrates viennent de le reconnaître et disent vouloir poursuivre dans le même sens. A suivre

  • Une des nombreuses tares politiques du pays, c’est son système électoral archaïque, inchangé depuis plus de deux siècles. Ça fait plus que désordre, ça fait ce que je dénonce : connerie crasse apolitique, avec fixation définitive de la fierté nationale sur ce qui a été fait à l’origine, il y a près de 250 ans et qui *ne doit plus*, pour eux, jamais changer...

  • Une des nombreuses tares politiques du pays, c’est son système électoral archaïque, inchangé depuis plus de deux siècles. Ça fait plus que désordre, ça fait ce que je dénonce : connerie crasse apolitique, avec fixation définitive de la fierté nationale sur ce qui a été fait à l’origine, il y a près de 250 ans et qui *ne doit plus*, pour eux, jamais changer...

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