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Tribune - Page 3

  • Pour un oui ou pour un non (à l'Europe)

    Il semblerait que la philosophie connaisse aujourd’hui une crise de légitimité sans précédent. Si l’on s’en tient par exemple, aux seuls chiffres des concours de recrutement du personnel enseignant dans cette discipline, on n’est tout à fait en droit de penser que c’est l’un des concours de l’éducation nationale les plus sinistrés. Mais on pourrait tout autant appuyer notre conviction profonde sur le lent et vigoureux travail de sape ministériel qui s’opère depuis déjà plusieurs d’années, dans le but, certes non avoué, de se débarrasser de la philosophie des Universités pour à terme, l’exclure des programmes de Terminales. Convictions réalistes ? Fantasmes ? Qui sont-ils donc ces gens qui ont tant peur de la philosophie ? Cette tribune a été publiée dans la revue numérique e-torpedo, dirigée par Franca Maï, qui m'a généreusement invité à venir m'y exprimer. La voici désormais dans l'Ouvroir, en accès libre.

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  • Le sens de l'histoire selon les socialistes ou le désaveu d'un référendum

    Les socialistes sont cloués au pilori. Sur le blog de DSK, à la date de septembre 2004, on trouve ce petit texte, intitulé « le sens de l’histoire ». Rappelez-vous ! C’était au moment de la bataille politique du PS, durant lequel ses rangs étaient divisés autour du référendum sur la constitution de l’Europe. Bref, une des périodes les plus pathétiques du PS où deux monstres s’affrontaient à peine cachés, pour le pouvoir certes, mais où Fabius tout de même s'affirmait aussi comme, très probablement, le leader légitime des « vrais » positions de la gauche, contre le numéro deux, vaste crétin à hublots, bafouillant, et dénué de tout charisme. Cette tribune a été publiée dans la revue numérique e-torpedo, dirigée par Franca Maï, qui m'a généreusement invité à venir m'y exprimer. La voici désormais dans l'Ouvroir, en accès libre.

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  • Sur la question des prostituées

    L’héroïne de Zola, Nana, jouant le rôle de Vénus au théâtre des Variétés, remporte un grand succès dans les dernières années du Second Empire. Un succès qu’elle doit moins à son talent d’actrice, bien médiocre, qu’à la séduction de son corps nu, voilé d’un simple gaze. C’est le fameux thème romanesque de la courtisane, femme galante ou prostituée de haut vol, splendeur et misère de toutes les courtisanes, misère des femmes réduites presque systématiquement à leur plastique, femmes-objets, instrumentalisées par le désir de l’homme, puis par le système social qui n’a guère trouvé mieux, pour museler définitivement la femme, que de la réduire à sa dimension sexuelle… Cette tribune a été publiée dans la revue numérique e-torpedo, dirigée par Franca Maï, qui m'a généreusement invité à venir m'y exprimer. La voici désormais dans l'Ouvroir, en accès libre.

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