En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le Cercle François Villon, exclusivement consacré à la poésie, partage un poème par jour sur sa page Facebook, organise quelques événements (dont une séance de déclamation de Baudelaire dans les catacombes...) et propose des séries d'entretiens sur la poésie. J'ai accepté de répondre à quelques-unes de leurs questions. L'entretien est désormais disponible dans l'Ouvroir.
Élisa Haberer est photographe. Elle décide un jour de retourner sur les traces de son passé, et organise un voyage en Corée du sud. Elle y photographie la vie quotidienne des personnes qu’elle croise, elle photographie les paysages, et la mémoire des lieux. Que recherche-t-elle ? Des petits bouts d’elle-même… Puis, de retour à Paris, elle demande à son ami Simon Hatab d’imaginer, par le truchement du récit, ce qu’elle aurait pu consigner dans un carnet, si elle avait su l’écrire, aussi bien qu’elle a su le photographier.
Didier Goupil nous offre le roman d'un peintre interné dans un service psychiatrique, car, bipolaire, à la personnalité multiple. Son séjour sera l’occasion d’un face à face avec lui-même, d’un retour en pensée sur son itinéraire et vers les personnes qui ont compté dans sa vie. Pour en savoir plus sur la personnalité de l'auteur de ce roman énigmatique et passionnant, j'ai interrogé l'écrivain.
Rémi Karnauch vient de la littérature S.F. Auteur d'un roman dont un des personnages n'est autre que Lovecraft, il revient avec un roman hallucinant paru chez H&O, prenant pour thème un vieil homme malade des neurones de la tête, réfugié dans un escalier de service. De Lovecraft à Beckett, ce roman montre une plume affûtée et ironique. J'ai rencontré cet auteur, pour le moins étrange, au Wepler, à Paris, dans le vingtième arrondissement, pour le Grand Genève Magazine. Voici désormais cet entretien accessible dans l'Ouvroir.
Dominique Maisons a sorti un premier roman en 2011, Le Psychopompe, qui a reçu le prix VSD. Depuis, on le considère comme le nouveau grand espoir du thriller français. Il a sorti un autre roman de 500 pages l'an passé, Le festin des fauves, et un troisième, absolument magnifique qui se déroule dans le vieux Paris de la Belle époque, ces jours-ci : On connait le nom des assassins. Cet entretien est paru dans le Grand Genève magazine. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J'ai rencontré Guillaume Chérel dans une réunion des nuits debout, sur la Place de la République, à Paris. Le bonhomme est assez sympathique, grand, imposant, jovial et blagueur. Il fume le cigare, et il n'est ni avare en mots ni en conseils. Très vite néamoins, on s'aperçoit qu'il souffre d'une boursouflure assez impressionnante de l'ego. Cela dit, la camaraderie naturelle du bonhomme fait passer pas mal de couleuvres. À l'occasion donc, de la parution de son nouveau roman Un bon écrivain est un écrivain mort, qu'il m'a gentiment envoyé dédicacé, j'ai souhaité réaliser un entretien avec cet écrivain a-typique, auteur de plusieurs romans et essais, et qui navigue dans le paysage éditorial, selon ses humeurs et ses envies, en vrai électron libre. Je l'ai rencontré dans un bar du vingtième arrondissement à Paris, pour un entretien destiné au Grand Genève Magazine. Le voici aujourd'hui en accès libre dans l'Ouvroir.
Un ami m'a présenté Waleed Al-husseini, en septembre 2013. Nous avons bien sympathisé. En 2015, il m'apprend que Grasset publiera son premier ouvrage dans quelques semaines, grâce à l'aide précieuse de Pascal Bruckner, suite à la défection des éditions Gallimard. Une fois son livre en main, je suis aussitôt enchanté. Je décide alors de réaliser un entretien avec ce Palestinien, athée d'origine musulmane, et fondateur des Ex-Musulmans de France, autour de son essai Blasphémateur ! Les Prisons d'Allah. Pour l'occasion, nous nous rencontrons dans une brasserie, rue Jacob, à Paris. Cet entretien a été réalisé pour le numéro 5, du Grand Genève Magazine, de juillet 2015. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Seuls. Éloge de la rencontre est sorti en mars 2014, et La Part de l'ombre a été réédité en avril 2015. Elodie Olson-Coons du Grand Genève Magazine a eu la gentillesse de me poser quelques questions autour de ces deux nouvelles publications pour le Grand Genève magazine. Voici l'entretien disponible désormais dans l'Ouvroir.
Cet entretien a été réalisé en 2006, pour La Presse Littéraire. Franca Maï est l'auteure énigmatique de plusieurs romans parus aux éditions du Cherche-midi. De Momo qui kills au dernier Crescendo Franca Maï aura privilégié le malaise qui se perche aux tripes, sans jamais oublier la lumière qui somnole en chacun d'entre nous.
L'histoire de cet entretien est incroyable. J'avais été invité par l'avocat Paul Lombard à déjeuner dans son 400m2, rue Vaugirard, dans le 6e. Je m'y étais rendu avec son attachée de presse. Alors que nous étions servis par un majordome, dans un cadre insolite, la conversation alla bon train. Les nombreuses pièces de ce grand appartement dégorgeaient de toiles de maîtres ; nous étions ceinturés par la grande peinture, qui parlait aux grands de ce monde. Une fois au digestif, enfin, nous eûmes une longue conversation sur Marseille, Me Lombard venait de publier son Dictionnaire amoureux de la ville portuaire de Pagnol. Cet entretien avait été réalisé pour Le Magazine des Livres, et était resté par un concours de circonstances que je ne m'explique pas, inédit. Je le porte donc à la connaissance du public en le publiant dans l'Ouvroir.
L'histoire de cet entretien est assez étonnante. J'ai été fortement marqué par la personnalité de l'auteur, alors qu'elle réalisait une émission avec Thierry Ardisson. J'ai commandé ses livres Bas les voiles !, éd. Gallimard (2003) et de Que pense Allah de l’Europe ? (2004) qui ont été pour moi comme un électrochoc. Lors d'une conférence sur son dernier roman, La muette, éd. Flammarion (2009), j'ai demandé à son attachée de presse à rencontrer cette écrivain controversée, mais celle-ci m'a expliqué qu'elle se méfiait des journalistes. J'ai alors tenté le tout pour le tout, en l'approchant après sa conférence, dans une librairie niçoise, où nous avons réalisé ce court entretien, dans la réserve, à l'abri des regards. Il est paru dans le Magazine des livres, numéro 33, en octobre 2011. Le voici désormais dans l'Ouvroir.
J'ai rencontré Jean-Pierre Denis, le rédacteur en chef du magazine La Croix, dans les locaux du diocèse de Nice, nous loin de la Réserve. Nous avons réalisé, durant une heure ce long entretien, autour d'une question centrale qui questionne et qui choque : être chrétien serait-il scandaleux aujourd'hui ? Cet entretien est paru dans le numéro 31 du Magazine des livres, en juillet et août 2011. Le voici désormais accessible dans l'Ouvroir.
Écrivain et poète de l’arrière-pays niçois, je connais les romans et recueils de poésie de Maryline Desbiolles, et également l'auteur personnellement depuis au moins vingt ans. Elle fut d'abord mon professeur de lettres au lycée, avant de publier sans aucun fracas un premier roman Une femme de rien (Mazarine, 1987) qui m'avait impressionné et marqué, alors que je n'étais encore qu'un adolescent. Il aura fallu attendre un peu plus de dix ans, et la parution de son roman La Seiche (Seuil, 1998) pour voir cette oeuvre connaître un succès modeste mais encourageant sur la scène littéraire française. Depuis, Maryline Desbiolles publie à une belle cadence, au moins un roman par an, et tous prennent place dans la région du sud-est, épousant les couleurs et les senteurs d’une terre baignée de la lumière du soleil, du ciel bleu azur, et de la mer méditerranée. Depuis son subtil roman La seiche (Seuil, 1998), ses récits se font à partir de souvenirs, d’images de la mémoire, qui s’imbriquent, se superposent, comme autant de variations. Maryline Desbiolles est l’écrivain de l’errance, des déambulations de la mémoire, la voyageuse au long cours des moments éphémères, fugaces, discrets, se faufilant entre les personnages qui peuplent sa vie, hommes, femmes, artistes, grands-parents, et les occasions sont nombreuses de saisir les instants les plus fugitifs qui donnent soudain, sous sa plume, du sens à la vie. Cet entretien est paru dans la revue littéraireBoojum. Le voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici un entretien philosophique autour de la crise du sens que connait aujourd'hui l'Occident, et des conséquences de ce que le philosophe Jean-François Mattéi appelle la barbarie intérieure, qu'il a diagnostiquée dans un livre portant le même titre, paru en 1999, aux PUF. J'ai eu l'occasion de le rencontrer lors de la parution de son livre Le Regard vide, chez Flammarion, qui traite à juste titre de l'épuisement de la culture européenne. Le philosophe platonicien a d'abord été mon maître et mon professeur à l'Université de Nice Sophia-Antipolis, au début des années 90, avant de devenir un ami. Il a accepté de me retrouver dans une brasserie, place du Palais, dans la vieille ville de Nice, où nous avons longuement bavardé, pour Les carnets de laphilosophiedans lesquels cet entretien est d'abord paru. Désormais, il est disponible dans l'Ouvroir.
À l'occasion de la sortie de son livre Vous avez dit Métèque ?, Gabriel Matzneff m'avait accordé un entretien dans les bureaux de son éditeur La Table ronde, en août 2008. Compte-rendu dans le Magazine des Livres de février et mars 2009. Le voici désormais dans l'Ouvoir.
Chantal Chawaf est une femme de lettres, née en 1943 à Paris. Elle publie son premier livre en 1974. C'est Antoinette Fouque qui accepte son texte au sein de sa maison Les éditions des femmes, inaugurant ce que la critique de l'époque appelara l'écriture féminine (aux côtés d'Hélène Cixous, Catherine Clément, Julia Kristeva et Luce Irigaray). À travers son œuvre, Chantal Chawaf explore les thèmes de la relation mère-fille, du couple, de la guerre et de l'angoisse, se munissant des outils du langage et de l'écriture pour libérer la partie non verbalisée du corps et de la féminité, et donner ainsi voix à l'expérience directe intime d'une façon rarement abordée en littérature. À l'occasion de la sortie de son roman Les obscures, j'ai rencontré Chantal Chawaf au sein de la vénérable maison dirigée par Antoinette Fouque, au 33 rue Jacob, à Paris. Cet entretien est paru dans le numéro 19, du Magazine des livres,en septembre 2009. Il est désormais accessible dans l'Ouvroir.
J"ai rencontré Monique Saigal, par l'entremise d'Antoinette Fouque, aux siège des éditions des femmes. Elle m'avait alors remis son ouvrages Héroïnes françaises, que j'ai lu d'une traite dans le TGV, alors que je rentrais à Nice. Nous nous sommes rapidement revus, et nous avons réalisé cet entretien autour d'une période particulière de la guerre, où les femmes ont été des héroïnes encore trop méconnues du grand public, et auxquelles nous ne devons pas juste rendre hommage, mais aussi justice. Cet entretien est paru dans numéro 16, de Presse Littéraire, au mois de janvier 2008. Le voici désormais accessible dans l'Ouvroir.
Il s'avère que je connais Maryline Desbiolles depuis mes années de lycée, puisqu'elle a été mon professeur de lettres. J'ai été à la fois très surpris par son premier roman à sa parution, Une femme de rien (Mazarine, 1987), et profondément marqué, au point que je l'ai suivie dans toutes ses séances de signature dans les librairies niçoises, vers la fin des années 80. Le temps est passé, et elle a trouvé une juste reconnaissance avec son roman La seiche (Seuil, 1998). Puis nous sommes devenus amis. Il s'avère qu'en parallèle de cette amitié-là, je me suis attaché à une autre, et celle-ci n'était pas moins que la fille de l'artiste Jean-Pierre Pincemin lui-même, décrit par Maryline Desbiolles dans ce roman. La parution des draps du peintre fut un choc pour cette jeune demoiselle, qui ne décolérait plus depuis sa lecture du portrait de son père qu'en fit Maryline Desbiolles, et qu'elle disait infâme. J'étais alors très embarrassé, car je devais réaliser un entretien pour le Magazine des livres, et j'ai été pris entre deux feux. Mon choix s'est alors porté sur la littérature, dont on connaît ô combien la subjectivité. Si ce peintre, et père de famille, jouissait d'une représentation idéalisée dans l'esprit de sa fille, qu'elle défendait d'ailleurs jalousement, ce qui est parfaitement son droit, Jean-Pierre Pincemin n'en était pas moins un homme public et, à cet effet, pouvait être décrit par une romancière, sous l'angle de sa propre subjectivité. Nous avons donc réalisé cet entretien, avec l'auteur d'Anchise, dans une brasserie à Nice, et celui-ci est paru dans le site du magazine. Le voici désormais accessible dans l'Ouvroir.
C'est au Salon du livre de 2008, que j'ai croisé ce professeur de Sciences-politiques, impressionnant en tout point. Extrêmement accessible par ailleurs, et très prolixe, ce puits de culture et d'histoire, m'a accordé un entretien-fleuve absolument passionnant. Les débats ont été mené avec cet historien spécialiste de l'Europe et de la Grèce antique, dans le cadre de la parution de son nouveau roman L'or d'Alexandre aux éditions H&O. Il est paru dans le numéro 9 du Magazine des livres, et il est désormais accessible dans l'Ouvroir.