En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
J'ai beaucoup parlé des livres de Christiane Rancé dans ces pages. Son nouveau livre, un récit de voyage, parle de l'Italie, le pays de mes ancêtres. J'ai eu la tentation de l'interroger sur ce très beau texte, qui raconte un périple du Nord au Sud de l'Italie, qui est avant tout une pérégrination intérieure. Cet entretien paraîtra dans le numéro 42 de Livr'arbitres de juin 2023. Le voici déjà en accès libre dans l'Ouvroir.
Livr'arbitres m'a commandé cette analyse. Elle est parue dans la livraison numéro 40, du mois de décembre 2022. Elle figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles)paru aux éditions Ovadia (2024).
La revue Livr'arbitres m'a commandé un article sur Ezra Pound. Il a paru dans la livraison numéro 40, du mois de décembre 2022. Il figure désormais au sommaire de mon livre Galaxie Houellebecq (et autres étoiles)paru aux éditions Ovadia (2024).
Incompris d’abord de son propre père – dois-je rappeler cette tirade de Don Louis dans la pièce de Molière : « Mais sache, fils indigne, que la tendresse paternelle est poussée à bout par tes actions, que je saurai, plus tôt que tu ne le penses, mettre une borne à tes dérèglements, prévenir sur toi le courroux du Ciel et laver par ta punition la honte de t’avoir fait naître », incompris de son valet Sganarelle – qui cherche systématiquement à lui faire la leçon. Cette chronique est parue dans le numéro 38 de Livr'arbitres, en juin 2022. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici le roman de l’errance. Le roman du déracinement. De l’amour, de la recherche du père, de la liberté, de la sculpture de soi. Une heure avant la vie (Le Passeur, 2022) dont le titre, joliment construit, montre la voie d’une écriture exigeante et poétique. Cela fait du bien en cette rentrée plutôt morose et dans laquelle aucune tête ne dépasse une autre. J’ai eu la chance de rencontrer son auteur, Sveltlana Pironko, dans un lieu très littéraire, où l’on y croisait jadis, Jean-Paul Sartre, Marguerite Duras, Gabriel Matzneff, etc. Non, ce n’était ni les Deux Magots, ni le Café Flore. Je vous laisse deviner. En attendant, nous avons réalisé cette interview dans laquelle Sveltlana, traductrice et éditrice à Dublin, revient sur l’écriture de ce premier roman, et sa trame qui nous montre que le chemin d’une vie vaudra toujours plus que la destination, d’autant que toute destination n’est probablement qu’une illusion. Qui sait ? Cet entretien a paru dans le site du mensuel Entreprendre. Il est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.