En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Un hosanna sans fin, le dernier livre de Jean d’Ormesson, est un texte très court, mais non moins intense, profond, et tourné vers le ciel. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Découvert miraculeusement par Gallimard à Nice dans un déballage des compagnons d’Emmaüs, Rien où poser sa tête est le roman d’une fuite française, celle de Françoise Frenkel. D’elle, on ne sait que peu de choses, si ce n’est qu’elle publia ce témoignage en 1945, et qu’elle est morte en 1975, à Nice. Témoignage bouleversant, rare d’une réfugiée juive en France, créatrice d’une librairie française à Berlin. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
De Jacques Chardonne, on retient deux parts : la part amoureuse et la part maudite. Il y a celle de la collaboration, impardonnable, théâtre de textes inexcusables, et celle qui précède, celle de l’enfant gâté de la plume, maître de la prose, et spécialiste de la vie de couple et du phénomène amoureux. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le premier tome du journal de l’écrivain, psychanalyste, poète, essayiste et dramaturge Henry Bauchau, Conversation avec le torrent, Journal 1954-1959, paraît aux éditions Actes Sud. Cette ultime trace de l’aventure intellectuelle et créative d’un grand artiste en devenir, ce laboratoire de l’écrivain est non seulement un grand moment d’émotion, mais aussi un fabuleux témoignage de son combat, de ses combats, de ses espoirs, et d’un long dialogue qu’il entretint avec lui-même. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Pour Jean d’Ormesson, la vie était une fête en larmes. Cette très belle formule, il la devait à la philosophe Jeanne Hersch. Il y avait, depuis, ses débuts en littérature, une vraie jubilation mêlée à une forme d’allégresse désespérée dans chacun de ses livres. Et à son immense popularité, on pouvait ajouter un art certain de la conversation, ce qui en fit un subtil hôte durant près de cinquante ans. Le voici, entrant dans la Pleïade, revenir avec un second tome, composé en grande partie de textes autobiographiques. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Alphonse Boudard, couronné du prestigieux prix Renaudot en 1977 pour Les Combattants du petit bonheur, voit deux de ses romans réédités, La Cerise et Le Café du pauvre. L’occasion de redécouvrir cet écrivain à la gouaille si particulière. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq, auteur d’essais sur Rimbaud ou Simone Weil et d’un roman qui a reçu le Prix Roland-de-Jouvenel décerné par l’Académie française, livre avec Mystica, un trésor d’intelligence et de sagesse. En cette période de gros temps, ce ne sont pas les pamphlets hystérisés par les passions tristes de l’époque qu’il s’agit de lire, mais des livres profonds, peut-être trop pour nous, des livres qui visent la grâce, l’amour, la joie afin de mener une quête de la parole qui soit salutaire, et de cesser de retourner dans nos esprits fatigués le mythe de la mort de Dieu, afin de penser le nouveau Dieu que nous avons créé : un Dieu de la mort. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Après avoir écrit et publié dans la presse littéraire deux très longues analyses de l'oeuvre deHouellebecq, la première parue en 2005, et reprise dans mon essai Les Âmes sentinelles, en 2011, et laseconde écrite en 2015, et parue dans leGrand Genève Magazine, il était temps de réaliser une synthèse. C'est aussi, grâce à cette véritable enquête littéraire, dans laquelle Agathe Novak-Lechevalier décrypte, dans son essai Houellebecq, l’art de la consolation, les livres, et l’empreinte laissée dans les lettres françaises par l’écrivain français le plus plébiscité mondialement, que je suis parvenu à faire un point, afin de de rétablir des vérités et rendre raison à... Houellebecq, souvent mal compris et encore honnis en France ; il me restera toujours en mémoire, la réaction (presque violente) de Tahar Ben Jelloun, à table, en janvier 2003, alors que nous déjeunions dans le Marais avec un ami commun, à Paris, lorsque j'eus le front de lui dire que la littérature de Houellebecq comptait. Il était donc temps de reprendre sa poésie et ses romans, qui sont le triomphe de la consolation française, et de la littérature fin de siècle. Recension parue dans la revue en ligneBoojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
C'est son nouvel éditeur, qui m'a convié à une soirée spécialement consacrée à cet écrivain "hors-normes", à l'Hôtel de ville de Paris. Organisée par l'Association des amis d'Yves Navarre, j'ai eu le plaisir de recevoir ce premier tome des œuvres complètes de l'écrivain. Heureux d'assister à cette soirée, c'est avec une vive délectation que je me suis plongé dans cet ouvrage, redécouvrant avec joie des textes d'Yves Navarre, lus très jeune, et écrits dans les années 70, par cet auteur beaucoup trop oublié à mon goût aujourd'hui. Cette publication qui n’aurait d'ailleurs pas été possible, sans le courage de l’éditeur Henri Dhellemmes, ni sans son audace et sa ténacité, puisque cette noble ambition doit normalement le mener sur de nombreuses années afin de réussir cette entreprise gigantesque mais salutaire pour la littérature et pour l’édition, ainsi que pour l’auteur, injustement enfermé dans l’enfer des bibliothèques depuis bien trop longtemps. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J'ai croisé Amélie Nothomb une fois à Paris, J'étais avec une de ses chères amies, et ce que je me suis dit, c'est que l'auteur à succès n'avait vraiment pas la grosse tête. Avec son ami belge Michel Robert, l’écrivain aux grands chapeaux et aux tirages impressionnants Amélie Nothomb discute, rit, converse, comme des enfants à la récréation, dans un livre curieusement titré La Bouche des carpes, paru en août dernier aux éditions de l’Archipel. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
L’académicien Patrick Grainville nous sert, avec le talent immense que nous lui connaissons, une fresque historique vertigineuse, mêlée d’une saga familiale et amoureuse, évoquant les puissances destructrices de la passion, les pulsions emportées de la création, et les flamboiements insoupçonnés de l’existence. Il y a tout cela dans Falaise des fous, et toute l’histoire de l’impressionnisme. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Au cœur de l’intime, Marceline Loridan-Ivens ouvre les valises de l’amour, et les souvenirs du passé, des camps, pour en traquer les fantômes, et tenter de guérir l’inguérissable, les blessures de l’âme. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Toute l’œuvre de Georges Perros enfin réunie dans un gros volume de la collection « Quarto », composé des œuvres publiées du vivant de l’écrivain français, augmenté de la totalité des textes parus en revue, ainsi qu’un choix de textes inédits, non parus et retrouvés dans des carnets jadis égarés, sous la direction du traducteur et écrivain Thierry Gillyboeuf.
Écrivain, directeur de la collection Folio biographies, membre de l’Académie Royale de langue et de littérature française de Belgique, auteur de plus de soixante-dix livres traduits en ving-cinq langues, Gérard de Cortanze consacre un livre magistral à l’œuvre et à l’écrivain J.M.G. Le Clézio, prix Nobel de littérature. Un livre conçu à partir de longues conversations, d’extraits de l’oeuvre, de traces, au détour de plusieurs étapes d’une vie et de plusieurs dizaines d’ouvrages, afin de découvrir l’œuvre, de soulever le voile. Une magistrale quête, à ne pas manquer…
L’archange aux pieds fourchus rend hommage dans Maîtres et complices à ses sources d’inspiration et à ceux qui formèrent son esprit, le guidèrent sur le chemin de son art. Voici la recension d'un classique de l'oeuvre de Gabriel Matzneff, d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Voici donc une correspondance monumentale qui vient de sortir chez Gallimard, l’éditeur historique d’Albert Camus, à l’initiative heureuse de sa fille Catherine Camus. Huit cent soixante-cinq lettres pour nous montrer ce que l’amour passionnel veut dire. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
L’œuvre de Flaubert sera toujours source de recherches et de réflexion. Sous la direction de Gérard Genette et de Tzvetan Todorov, un recueil paru en 1983 aux éditions du Seuil montre que malgré le projet fou d’annoncer sa mort Gustave Flaubert reste l’auteur le plus moderne et vivant qui soit. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Après son œuvre autobiographique, Blaise Cendrars entre en Pleïade, par la porte du roman et de la poésie cette fois. Deux tomes qui raviront les amateurs et les inconditionnels, dirigés par Claude Leroy, montrant un écrivain qui n’était pas seulement sur le départ, mais qui était aussi un « paradoxe fascinant ». Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J'ai rencontré Alexandre Jardin au café Wepler, à Paris. Il m'a remis ce texte, s'inscrivant dans la série des romans familiaux. Alexandre Jardin ajoute une fois encore une nouvelle pierre à l’édifice d’une famille hors norme, en écrivant un récit tendre et sincère, une lettre à la mère, une bouteille échouée au large de l’amour maternelle, qu’il espère bien voir lue par la personne la plus chère à laquelle il l’adresse. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Nadine Laporte est maître de conférence en littérature à l’université de Pau et des pays de l’Adour. Avec « Nicolas Bouvier, passeur pour notre temps », elle nous offre un portrait sensible et passionnant de ce voyageur insatiable, cet être curieux et inspiré, qui alla voir le monde et les hommes. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.