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Le Cercle François Villon, exclusivement consacré à la poésie, partage un poème par jour sur sa page Facebook, organise quelques événements (dont une séance de déclamation de Baudelaire dans les catacombes...) et propose des séries d'entretiens sur la poésie. J'ai accepté de répondre à quelques-unes de leurs questions. L'entretien est désormais disponible dans l'Ouvroir.
Stéphane Barsacq, auteur d’essais sur Rimbaud ou Simone Weil et d’un roman qui a reçu le Prix Roland-de-Jouvenel décerné par l’Académie française, livre avec Mystica, un trésor d’intelligence et de sagesse. En cette période de gros temps, ce ne sont pas les pamphlets hystérisés par les passions tristes de l’époque qu’il s’agit de lire, mais des livres profonds, peut-être trop pour nous, des livres qui visent la grâce, l’amour, la joie afin de mener une quête de la parole qui soit salutaire, et de cesser de retourner dans nos esprits fatigués le mythe de la mort de Dieu, afin de penser le nouveau Dieu que nous avons créé : un Dieu de la mort. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Christiane Rancé est une écrivain profonde et généreuse, que je connais depuis quelques mois, et dont j'apprécie à la fois la plume et l'amitié. Elle m'a envoyé ce magnifique essai, sur notre Pape François, pour lequel j'ai de fortes réserves, lui préférant Joseph Aloisius Ratzinger, dit Benoît XVI, que je trouve moins prosélyte et plus sagace. Mais j'ai volontiers accepté de réaliser une recension de son nouvel ouvrage, qui établit un point très rigoureux sur le Pape actuel. En effet, depuis son élection, le Pape François ne cesse de susciter des questions, de l'enthousiasme ou de l'indignation. Qui est-il ? À quel bord politique appartient-il ? D’où vient-il et où va-t-il ? Pétris de contradictions, il nous fallait un récit écrit dans l’encre de la ferveur et la lucidité pour mieux cerner cet homme de Dieu et le début de son pontificat. Et c’est Christiane Rancé qui nous l’offre avec François, un pape parmi les hommes. Cette recension est parue dans la revue en ligne Boojum, et est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
C'est son nouvel éditeur, qui m'a convié à une soirée spécialement consacrée à cet écrivain "hors-normes", à l'Hôtel de ville de Paris. Organisée par l'Association des amis d'Yves Navarre, j'ai eu le plaisir de recevoir ce premier tome des œuvres complètes de l'écrivain. Heureux d'assister à cette soirée, c'est avec une vive délectation que je me suis plongé dans cet ouvrage, redécouvrant avec joie des textes d'Yves Navarre, lus très jeune, et écrits dans les années 70, par cet auteur beaucoup trop oublié à mon goût aujourd'hui. Cette publication qui n’aurait d'ailleurs pas été possible, sans le courage de l’éditeur Henri Dhellemmes, ni sans son audace et sa ténacité, puisque cette noble ambition doit normalement le mener sur de nombreuses années afin de réussir cette entreprise gigantesque mais salutaire pour la littérature et pour l’édition, ainsi que pour l’auteur, injustement enfermé dans l’enfer des bibliothèques depuis bien trop longtemps. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum ; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
L’historien et épistémologue français François Dosse nous gratifie d’une somme, La Saga des intellectuels français. Un monument en deux tomes et un événement qu’il s’agit de saluer… Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
J'ai croisé Amélie Nothomb une fois à Paris, J'étais avec une de ses chères amies, et ce que je me suis dit, c'est que l'auteur à succès n'avait vraiment pas la grosse tête. Avec son ami belge Michel Robert, l’écrivain aux grands chapeaux et aux tirages impressionnants Amélie Nothomb discute, rit, converse, comme des enfants à la récréation, dans un livre curieusement titré La Bouche des carpes, paru en août dernier aux éditions de l’Archipel. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum, et elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Depuis 1966, le Séminaire d’Alain Badiou jouit d’une très grande renommée. C’est un laboratoire où le philosophe teste, nourrit et les affûte ses idées. Ouvrons le seizième volume, consacré à l’année de 1990-1991 : Théorie du mal, théorie de l’amour. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
L’académicien Patrick Grainville nous sert, avec le talent immense que nous lui connaissons, une fresque historique vertigineuse, mêlée d’une saga familiale et amoureuse, évoquant les puissances destructrices de la passion, les pulsions emportées de la création, et les flamboiements insoupçonnés de l’existence. Il y a tout cela dans Falaise des fous, et toute l’histoire de l’impressionnisme. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum; elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Herta Müller est un écrivain roumain née en 1953, vivant en Allemagne, et couronnée d’innombrables prix dont le plus prestigieux, le Nobel de littérature en 2009. Ce fut une surprise, encore trop peu de ses livres étaient traduits en français à cette époque. Auteur de plusieurs romans, récits et essais, elle nous offre avec Dépressions, dix-neuf nouvelles qui dévoilent un univers fermé dans une communauté des années 70. Cette recension est d'abord parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Au cœur de l’intime, Marceline Loridan-Ivens ouvre les valises de l’amour, et les souvenirs du passé, des camps, pour en traquer les fantômes, et tenter de guérir l’inguérissable, les blessures de l’âme. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Paru et édité par Stéphane Barsacq chez Albin Michel, L’Enchantement musical de Vladimir Jankélévitch réunit des textes peu connus, inédits, ou depuis longtemps inaccessibles, consacrés notamment à Liszt, Ravel, Fauré, la musique espagnole, et les génies de la musique russe.
Les cinq volumes du moine bouddhiste Thich Nhat Hanh, Manger, S’asseoir, Marcher, Aimer et Se détendre sont réunis en un seul volume aux éditions Belfond. Quelques petits guides inspirants afin de montrer à chacun d’entre nous que le chemin est en nous, et jamais ailleurs.
Toute l’œuvre de Georges Perros enfin réunie dans un gros volume de la collection « Quarto », composé des œuvres publiées du vivant de l’écrivain français, augmenté de la totalité des textes parus en revue, ainsi qu’un choix de textes inédits, non parus et retrouvés dans des carnets jadis égarés, sous la direction du traducteur et écrivain Thierry Gillyboeuf.
Écrivain, directeur de la collection Folio biographies, membre de l’Académie Royale de langue et de littérature française de Belgique, auteur de plus de soixante-dix livres traduits en ving-cinq langues, Gérard de Cortanze consacre un livre magistral à l’œuvre et à l’écrivain J.M.G. Le Clézio, prix Nobel de littérature. Un livre conçu à partir de longues conversations, d’extraits de l’oeuvre, de traces, au détour de plusieurs étapes d’une vie et de plusieurs dizaines d’ouvrages, afin de découvrir l’œuvre, de soulever le voile. Une magistrale quête, à ne pas manquer…
Peut-on penser la mort ? N’y a-t-il pas un aspect moral malsain à penser la mort ? La mort est-elle simplement pensable ? Et pourquoi la mort de quelqu’un est-elle toujours une sorte de scandale ? Pourquoi cet événement si normal éveille-t-il chez ceux qui en sont les témoins autant de curiosité et d’horreur ? Autant de questions que pose La Mort, de Vladimir Jankélévitch, paru chez Flammarion en 1966, et réédité à l’occasion des 40 ans de la collection « Champs », accompagné d’une préface inédite du philosophe Frédéric Worms. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Je me souviens nettement de ma première lecture de ce roman ahurissant ; j’avais alors dix-huit ans, j’étais un fan absolu des écrivains de la Beat Generation, notamment Jack Kerouac, Charles Bukowski, et Henry Miller, et, alors que Demande à la poussière ne m’avait pas totalement convaincu, Mon chien Stupide fut une véritable révélation, un moment éblouissant et inoubliable. C’est donc, avec une certaine appréhension, que je rouvris le livre, presque trente ans plus tard.
Qu’est-ce que la politique ? L’hypothèse communiste ? Les révolutions sont-elles mises à l’épreuve de l’histoire ? De quoi la gauche est-elle aujourd’hui le nom ? L’élection de Macron est-elle un coup d’État démocratique ? Autant de questions fondamentales et très contemporaines que pose le nouvel essai que le philosophe français communiste Alain Badiou publie sous forme d’entretiens avec la journaliste Aude Lancelin. Cette chronique est parue dans la revue en ligne Boojum. Elle est désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Le roman autobiographique Just Kids de Patti Smith sorti en 2010 et devenu culte depuis, ressort chez Gallimard augmenté de 60 photographies, dont les Polaroids de Robert Mapplethorpe. Aussi, après ce livre culte, probablement son chef-d’œuvre, l’icône du rock nous gratifie d'une longue méditation mélancolique et poétique en dix-huit stations de métro, ayant récemment obtenu le Grand Prix héroïne Madame Figaro. Compte-rendu... Ces chronique ont paru dans la revue en ligne Boojum. Elles sont désormais en accès libre dans l'Ouvroir.
Élisa Haberer est photographe. Elle décide un jour de retourner sur les traces de son passé, et organise un voyage en Corée du sud. Elle y photographie la vie quotidienne des personnes qu’elle croise, elle photographie les paysages, et la mémoire des lieux. Que recherche-t-elle ? Des petits bouts d’elle-même… Puis, de retour à Paris, elle demande à son ami Simon Hatab d’imaginer, par le truchement du récit, ce qu’elle aurait pu consigner dans un carnet, si elle avait su l’écrire, aussi bien qu’elle a su le photographier.